Archives de catégorie : associations

Société d’Études Historiques et Naturelles du pays de Grosne et Guye – SEHN

Réaliser et publier des études sur l’histoire régionale, le paysage, la faune et la flore, ainsi que la conservation et la valorisation du patrimoine local.

SEHN – Mairie – 71460 SAINT-GENGOUX-le-NATIONAL
Elisabeth CHEVAU, présidente
sehn71@wanadoo.fr
https://sehn.fr/

Organisation de conférences mensuelles, de promenades, édition d’un bulletin annuel, publications.

Créée en 1994, la SEHN réalise et publie des études sur l’histoire régionale, le paysage, la faune et la flore. Elle contribue à la conservation et à la valorisation du patrimoine local.

Pour cela, elle publie un « Bulletin annuel », distribué à ses adhérents, qui contient généralement une dizaine d’articles sur des sujets variés. Certains reprennent les thèmes des conférences mensuelles que la SEHN organise, et qui sont ouvertes à tous et gratuites.

Elle publie également des brochures, qui relatent des événements historiques locaux, mais abordent aussi des thèmes plus généraux. La liste actuelle des ouvrages disponibles est :

  • Histoire de Saint-Gengoul-le-Royal par Gérard Mignot 12 €
  • Histoire des métiers à Saint-Gengoux-le-Royal au Moyen Âge par Gérard Mignot  18 €
  • Métiers et boutiques à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par Gérard Mignot 15 €
  • Les écoles de Saint-Gengoux-le-National au cours du temps et de l’histoire par Hélène Mondange 15 €
  • Saint-Gengoux-le-National – Les dates qui ont marqué l’histoire de la cité et de son site par Gérard Mignot 10 €
  • Voyage en Moyen Âge : Saint-Gengoux, Saint-Hippolyte, La Chapelle de Bragny, Malay, Sercy accompagné par Elisabeth Chevau 18 €
  • Découverte de la Bourgogne méridionale protohistorique et romaine par la photo aérienne – de François Cognot 18 €
  • De la mémoire à la réalité – Les eaux souterraines par Gilles Valentin-Smith – 17 €

Parfois, les adhérents se retrouvent pour une « sortie » : visite d’un musée, d’un village, recherche des traces des voies romaines, ou observation de la flore.

Les adhérents sont prévenus personnellement, par e-mail, des conférences et sorties, elles paraissent sur le site de la FAPPAH, et sont aussi annoncées par affichage à Saint-Gengoux-le-National et dans quelques villages alentour.

Chaque samedi matin, une permanence est assurée, ouverte à tous, de 10 h à 11 h 30 au Foyer Rural, rue des Tanneries à Saint-Gengoux-le-National.

C’est l’occasion de conversations, de recherches collectives, de consultation des archives et de la bibliothèque.

Connaître les environs de Saint-Gengoux-le-National :

Gilles Valentin-Smith,  membre de la SEHN, est l’auteur d’un site qui propose de découvrir le petit patrimoine et les curiosités, dans un rayon de 6 à 7km autour de Saint-Gengoux, sous forme ludique, à travers des photos et des questions :
autour-de-saint-gengoux.e-monsite.com

2021 : centenaire de la naissance de Maurice Bonnefoy

À l’occasion du centenaire de sa naissance, la SEHN tient à rappeler à la mémoire de nous tous le souvenir d’un homme d’exception : Maurice Bonnefoy (1921 – 2014). Les liens entre lui et la SEHN sont anciens, multiples et profonds. Scientifique autodidacte, personnalité remarquable, explorateur passionné, Maurice Bonnefoy était exemplaire dans son engagement dans la découverte et la sauvegarde du patrimoine de notre Bourgogne du sud.
Pour consulter une présentation de Maurice Bonnefoy, cliquerMaurice Bonnefoy

Association de sauvegarde et de mise en valeur de Saint-Clément-sur-Guye

Sauvegarde et mise en valeur du patrimoine : menhirs, cimetière mérovingien, église romane, tour, habitat, moulin à vent.

ASSOCIATION DE SAUVEGARDE ET DE MISE EN VALEUR DE SAINT-CLEMENT-SUR-GUYE  – 2 rue de Corcelles Le Bourg 71460 SAINT-CLEMENT sur GUYE
Georges FOUCHET, président – 06 87 79 41 58
asso.sauvegarde.st.clement@gmail.com
www.stclement-patrimoine.org/

Restauration de cadoles, croix de chemins, puits, stages pierres sèches, conférences-projections, concerts, expositions, balades guidées, édition de brochures, cartes postales avec dessins de Michel Bouillot et bibliothèque de prêt. Projet : restauration du moulin à vent « Billebaud ».

Les habitants du village de Saint-Clément-sur-Guye, de l’ancien canton de Mont-Saint-Vincent et du département de Saône-et-Loire connaissent bien l’Association créée le 29 février 1976 et qui a été agréée d’Éducation Populaire dès 1978 et agréée d’Urbanisme et d’Environnement en 1980.
Ils se souviennent que ses initiatives lui ont souvent conféré  un rôle de précurseur dans l’étude, la restauration et l’animation du patrimoine.
En effet, lorsque la restauration de la petite maison de l’Association a été entreprise en 1977 grâce à des bénévoles, le chantier de Saint-Clément était le seul en Saône-et-Loire qui n’était pas consacré à une église ou à un château. L’habitat rural ne suscitait encore que peu d’intérêt.

la petite maison de l’Association, les deux menhirs

Les réalisations de l’association : restauration de cadoles, croix de chemins, puits, stages pierres sèches, conférences-projections, concerts, expositions, balades guidées, édition de brochures, cartes postales avec dessins de Michel Bouillot et bibliothèque de prêt.

la restauration d’une cadole

Projet : restauration du moulin à vent « Billebaud » :

Lire un article extrait de la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 183 : Sauvetage de la cadole du chemin des moulins à St Clement sur Guye
Reportage sur la restauration d’une autre cadole, au cours d’un stage animé par les « Laviers-muraillers de Bourgogne » : Ils_restaurent_une_cadole_a_St_Clement
Rendez-vous à Saint Clément sur Guye : 2024 animations Saint-Clément-sur-Guye

La commune de Saint-Clément-sur-Guye et son riche patrimoine

dessins de Michel Bouillot

En Bourgogne, au centre du département de Saône-et-Loire, la commune de Saint-Clément-sur-Guye se situe aux confins du Charolais, du Clunisois et de la Côte chalonnaise.
La colline de Saint-Clément, qui constitue l’extrémité sud-ouest de la Côte chalonnaise, domine la vallée de la Guye, rivière qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ne traverse pas le territoire communal mais s’écoule à quelques mètres de sa limite occidentale (altitude : 230 m).
A une altitude de 30 mètres moins élevée que le sommet dit « La Carraponne » culminant à 437 m, s’est établi le bourg qui domine lui-même le hameau de Corcelles, situé sur le versant ouest de la colline (altitude : 340 m environ).
Au pied de la colline, vers le sud-est, se répartissent le hameau de la Grenouille et les écarts appelés en Bourges, le Plain, les Chaumes, la Plâtrière et l’Effondrée…. lire la suite à l’adresse https://www.stclement-patrimoine.org/patrimoine_st-clement.htm

Voir aussi : Saint-Clément-sur-Guye à travers les cartes postales anciennes :
https://www.stclement-patrimoine.org/cartes_postales_st-clement.htm
Lire également « La colline de Saint-Clément-sur-Guye des origines à nos jours. – L’évolution d’un terroir de Saône-et-Loire » par Gérard Ferrière :
https://www.stclement-patrimoine.org/colline_de_St_Clement.htm

.

MONTBELLET PATRIMOINE

Préservation du petit patrimoine bâti et paysager et de la qualité de vie dans la commune

MONTBELLET PATRIMOINE
13  Rue de l’Alambic – Hameau de Thurissey   71260 MONTBELLET
Membres du bureau : Denise Linossier, Michel Talmot et Catherine Liégeois       
liegeois.cathe@gmail.com

Édition d’une brochure avec le PAH et les habitants de la Communauté de communes, participation au choix des noms de rues, réhabilitation du lavoir de By, conférences, fêtes et expositions sur les moulins, le Moyen âge, autour du Montbellet ancien et futur.

L’Association a été créée en 2007.  Depuis 2012 l’Association est membre de la FAPPAH, Fédération des Associations Partenaires du Pays d’Art et d’Histoire entre Cluny et Tournus.

Les objectifs de l’association : un environnement de qualité

 

La Commune dispose de nombreux atouts : la Saône et ses rives, avec la Voie Bleue, une plaine de prairie, de bois et de bocage, ainsi que des espaces en zone naturelle, de vigne, teppes et taillis.

Les 12 hameaux présentent, pour le bâti ancien et le petit patrimoine, une qualité remarquable, caractéristique du terroir dans lequel se trouve insérée la Commune.
Les habitants ont constaté que la Commune perdait de sa qualité d’espace de vie et devenait un lieu de passage à grande vitesse, et s’y sentaient moins en sécurité. D’année en années, la qualité du patrimoine bâti et paysager se dégrade.
Dans ce contexte l’Association a pour objectif, avec les élus, le maintien et l’amélioration de la qualité de la vie dans la Commune, en particulier par l’environnement.

Les actions choisies sont

  • une mise en valeur des paysages, de la flore et de la faune,
  • un lieu de vie pour tous,
  • un patrimoine remarquable,
  • une circulation respectueuse,
  • un espace de réflexion et de concertation.

« Plantons la haie du Millénaire »

L’association Montbellet Patrimoine a proposé au printemps 2019, aux autres associations de la FAPPAH, la plantation d’une Haie du Millénaire.
Cette idée est bien évidemment liée au Millénaire 1019 / 2019 autour de l’Abbaye de Tournus, sur le territoire du PAH et de la FAPPAH. Elle répond à l’importance de la re/plantation des arbres qui font partie du patrimoine de notre région et qui, au fil des dernières décennies, ont disparu de notre paysage.
Il s’agit tout simplement de re/planter un millier d’arbustes — des essences locales habituellement utilisées dans les haies ­— qui sont faciles à trouver, faciles d’entretien et bien adaptées à notre territoire (charmille, érable champêtre, noisetier, arbres fruitiers ou buissons à fleurs…).
Le nombre symbolique d’un millier d’arbustes de haie, marquant pour les esprits, s’il devient un objectif des 50 associations de la FAPPAH, est loin d’être une utopie : cela représente une moyenne de 20 arbustes par association…
De plus, aux actions des associations de la plupart des communes peuvent s’ajouter celles des particuliers, avec 5 arbustes ici, 10 arbustes là. Cette idée partagée par de nombreux habitants commence à fleurir avec les coquelicots le long des friches des chemins.

1 -Une mise en valeur des paysages

Le paysage de By fait partie de la ZNIEF Bourgogne – Côte Mâconnaise, classée d’intérêt européen pour la variété d’espèces rares et protégées
Les priorités de l’Association s’inscrivent dans la nécessité de valoriser les sites dans le respect de l’eau et des espaces naturels. Une partie du hameau de Thurissey est classée en Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique. Il s’agit d’un territoire composé de grands ensembles naturels qui offrent des potentialités biologiques importantes. L’eau de la source de By alimentait le lavoir, à sa sortie abreuvait la prairie : C’est la zone humide en contact avec une prairie sèche qui crée l’originalité de ce site naturel.

La présence d’une ZNIEFF dans la commune est une chance exceptionnelle pour la qualité environnementale du milieu naturel.
Or sur la prairie embroussaillée et défoncée par les pneus, les sentiers sont goudronnés, les futaies anciennes coupées, et enfin l’eau du lavoir canalisée… Ces paysages et leurs hôtes sont menacés par l’abandon du pastoralisme, l’extension des zones habitées ou sont victimes d’une surfréquentation destructrice.

Nous nous inscrivons dans les objectifs de l’Office du Tourisme, de la Communauté de Communes et du Pays d’Art et d’Histoire dont nous faisons partie et nous sommes en accord avec les responsables des paysages pour
« Faire le plus possible AVEC, le moins possible CONTRE » ( Gilles Clément)

Le lavoir de By – « D’un lavoir à l’autre »:

Situé à la limite des hameaux de Thurissey et de la Rivière, sur un circuit de randonnée, ce lavoir a fait l’objet d’un travail important de recherche pour sa réhabilitation dès 2010 avec le concours des responsables du Grand Site de Solutré puis en 2014 avec Emmanuelle Limare, Paysagiste du CAUE et avec l’association Tremplin Hommes et Patrimoine,  rencontre avec Monsieur Jondot.

Les abords du lavoir de By ont été nettoyés, des plans et des devis de remise en état et de reconstruction complète du lavoir (Tremplin Hommes et patrimoine), des dossiers constitués (Fondation du Patrimoine) approuvés par Madame Le Maire en 2014.
À la « Journée des lavoirs » ; une centaine de personnes élus des communes avoisinantes et sympathisants des associations sont venues découvrir le site de By. (reportage sur FR3)

En 2021 Emmanuelle Limare, paysagiste du CAUE a réalisé une étude approfondie, assortie de préconisations pour restaurer ce site remarquable :

pour consulter le document du CAUE, cliquez sur : LavoirByMontbellet2021

En Février 2021, une évaluation des travaux a été à nouveau réalisée par Monsieur Jondot de l’Association Tremplin Hommes et Patrimoine.

2 – Une circulation respectueuse

Au cours des générations les hameaux, caractérisés par un habitat dense et des voies étroites, se sont construits harmonieusement autour de leurs habitants. Le développement de la vitesse des véhicules et de leur nombre oblige à un aménagement cohérent de la circulation, pour notre sécurité, et parce qu’un lieu d’habitat n’a pas pour vocation d’être un lieu de grande circulation.

3 – Un lieu de vie pour tous

 

L’association a contribué à la rédaction du dépliant consacré à la commune de Montbellet, édité par le Pays d’Art et d’Histoire entre Cluny et Tournus :
www.pahclunytournus.fr/documents/portal651/laissez-vous-conter-200×200-montbellet-vect.pdf
Ainsi qu’à « Itinérances en Bourgogne du Sud, 10 circuits-découverte des ponts », édité par la FAPPAH.

Notre projet, en phase avec les politiques d’aménagement, est de permettre les activités de tous, des enfants aux plus âgés, au cœur de structures villageoises dignes de ce nom, ayant gardé leur âme et leur identité, où les espaces pour le jeu et les lieux de repos coexistent sans heurts avec une circulation fluide, respectant les piétons et les cyclistes.

Images de la place de l’alambic (extraits de l’enquête 2015 et réalisation municipale 2021)

Spectacles

Le spectacle “Contes et Magie”, organisé par “Montbellet-Patrimoine” a réuni à la salle des fêtes de Montbellet près de 80 spectateurs.

Conférence : « les moulins à l’âge de pierre »

Conférence présentée par Gérard Mignot, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, vice-président de l’Association Moulins en Saône-et-Loire, et vice-président de la SEHN (Société d’Etudes Historiques et Naturelles du Pays de Grosne et Guye) :

  • Histoire et technique des moulins.
  • Leur importance fondamentale pour les activités humaines.
  • Les moulins en Saône-et-Loire et particulièrement sur la Commune de Montbellet.

Jusqu’à 11 moulins fonctionnaient sur la commune de Montbellet en 1847, dont 9 sont encore habités, certains ont conservés leur roue à aube et leur machinerie, mais aucun n’est en activité.


Cette carte postale ancienne montre le moulin de Cécile et Jérôme, une campagne de replantation des haies est prévue en 2021.

4 – Un patrimoine remarquable

La Commune présente une qualité architecturale remarquable. Citons les éléments liés au Moyen Âge : la Commanderie des Templiers et le Château de Mercey, une partie de la Chapelle de Saint-Oyen, l’Eglise du Bourg, le Château de Buffières, le Château de Mirande, mais aussi les moulins, les maisons anciennes caractéristiques du « Pays » dans lequel se trouve insérée la Commune.

église Saint-Didier


Le petit patrimoine est aussi très présent. Ainsi le PLU a retenu 78 éléments à protéger : murs et murets de clôture, ensembles bâtis, ouvrages liés à l’eau avec les ruisseaux et moulins, puits, petits édifices, bornes et sculptures, parcs et boisements…


L’Association s’attache à mettre en valeur tout autant le bâti prestigieux que le petit patrimoine, la vocation d’un tel espace construit à l’échelle humaine depuis plusieurs siècles n’étant pas d’être transformé en zone urbaine, mais d’intégrer le nouveau dans le respect de l’ancien.
Avec l’Unesco nous définissons le patrimoine comme l’ Héritage du passé, dont nous profitons aujourd’hui et que nous transmettons aux générations à venir .
En 2014 le thème des Journées européennes du patrimoine était « Patrimoine culturel, Patrimoine naturel ». Il soulignait que «  La notion stricto sensu d’objet patrimonial s’enrichit ainsi de celle, plus large, de site patrimonial et d’espaces culturels . »
Il est important d’établir des synergies entre les différentes formes de patrimoine : bâti et non bâti, naturel et culturel.

5 – Un espace de réflexion et de concertation

Que les adhérents soient des habitants permanents ou non, des objectifs communs stimulent l’expression des compétences de chacun dans la collectivité.
L’action de Montbellet Patrimoine s’inscrit depuis plusieurs années dans un travail global de sensibilisation et de consultation des habitants, de proposition auprès des élus, et de diffusion d’information.
Une collection de livrets se constitue, pour une meilleure connaissance de l’histoire et de l’évolution de la Commune :

  • le sentier des poètes,
  • en quête d’un paysage à venir,
  • les légendes et les fêtes locales,
  • les objets de la vigne et du vin.

Projets

« En quête d’un paysage à venir »

« J’ose dessiner mon point de vue sur le paysage. Dessiner ça n’a rien à voir ! »
Il s’agit d’une enquête dont le résultat sera publié sous forme d’album, contenant dessins, collages, poèmes, graffitis, reliefs et gravures.
Pour consulter l’enquête, cliquer ci-après : En quête d’un paysage


Site de la commune de Montbellet : www.montbellet.fr/

Cercle Généalogique de Saône et Loire – CGSL –

Aider les chercheurs à réaliser leur généalogie et plus généralement à reconstituer l’histoire de leur famille

Dépouiller les registres paroissiaux, d’état civil et les archives de notaires puis les diffuser notamment sur notre site internet

CERCLE GÉNÉALOGIQUE DE SAÔNE-ET-LOIRE
78 Rue des Épinoches
71000 MÂCON
Dominique HANNOT, présidente
Tél : 03.85.38.95.51
E-Mail : contact@cgsl.fr
Site Internet : www.cgsl.fr
www.facebook.com/cgsl71

Le Cercle Généalogique de Saône-et-Loire a principalement pour objet :
– d’entreprendre toutes recherches généalogiques, d’histoire sociale, régionale et familiale,
– d’organiser la formation et le perfectionnement de ses adhérents dans ces disciplines,
– de diffuser par tout moyen utile les résultats de ses travaux et ceux de ses adhérents,
– d’établir un échange constant avec les autres centres généalogiques, de participer aux actions entreprises aux échelons nationaux et internationaux pour développer et coordonner la recherche généalogique.

QUELQUES ACTIVITÉS DE L’ANNÉE 2022

– Notre assemblée générale à Charolles en avril 2022 avec Dominique Hannot notre nouvelle présidente :

– Au forum des associations « 123 Mâcon » en septembre :

           

QUELQUES-UNES DE NOS ACTIVITÉS EN 2019

– Participation à la commémoration du 150ième anniversaire de la mort de Lamartine avec la diffusion de l’arbre généalogique du poète sous forme de « roll-up » en mairie, à la médiathèque et au musée des Ursulines à Mâcon.

– Notre assemblée générale à Chalon-sur-Saône en avril :


– Comme les précédentes années, participation au forum des associations « 1,2,3 Mâcon » en septembre :

D’AUTRES ACTIVITÉS PLUS ANCIENNES :

– En novembre 2018 participation aux commémorations de la fin de la Grande Guerre avec une exposition à l’Espace Carnot de Mâcon, présentant des documents familiaux et des arbres généalogiques de plusieurs « Poilus » :

Saint-Martin de Grevilly

Participer à la sauvegarde, la valorisation, l’entretien du patrimoine de Grevilly.

ASSOCIATION SAINT-MARTIN DE GREVILLY
71700 GREVILLY
Michèle BLONDEL, présidente – 06 42 70 91 97
ass.stmartindegrevilly@gmail.com

Église (1er quart du XIIe siècle) : l’association, dans les années passées, a financé la restauration des lithographies du chemin de croix et la mise en place d’une nouvelle statuette de la Vierge dans l’oculus extérieur.
Les projets ont été poursuivis et réalisés en 2020 et 2021.

L’Association Saint-Martin de Grevilly, créée le 2 décembre 2015, a pour but de participer à la sauvegarde, la valorisation, l’entretien du patrimoine de Grevilly.
À ce jour, elle compte 65 adhérents. Grevilly, petite commune rurale de 29 habitants, possède une église romane qui domine le village et un panorama assez exceptionnel.

Comme l’église et le village, nos ambitions sont modestes :

En 2020, nous avons recherché les financements possibles pour les travaux d’assainissement autour de l’église et nous avons participé en abondant la souscription publique à la Fondation du Patrimoine.

 En 2021, ces travaux ont été réalisés par la nouvelle municipalité. Ils ont consisté en :

  • la pose d’un drain en profondeur tout autour de l’église pour capter les eaux d’infiltration ;
  • la construction d’un caniveau en pavés en surface, au dessus de ce drain, pour capter les eaux superficielles ;
  • la pose de chéneaux tout autour de la sacristie pour envoyer les eaux de pluie dans le drain ;
  • la pose d’abats-sons sur deux baies du clocher pour empêcher la pluie venant de l’ouest de rentrer et mouiller le choeur ;
  • la construction d’une allée en pavés conduisant de la grille du cimetière jusqu’à l’entrée de l’église.

Nous avons aussi aidé la commune en payant directement certains frais.

Grevilly 3 caniveau

La tranchée pour le drain

 

Grevilly 4 caniveau

Le caniveau en pavés

 

grevilly 5 sacristie

Les chéneaux de la sacristie

grevilly 6 abats-sons

Les abats-sons

 

L’allée nouvellement pavée

 

Grevilly inauguration 2021

L’inauguration

Nos réalisations précédentes

Lithographie du Chemin de Croix, restaurée par Françoise Lajénie.

 

Statuette réalisée par Frédéric Leroy.

Voir la liste des lithographies du chemin de croix

Nos projets

Suite des travaux à l’église : nous participons à la réflexion, avec la municipalité, sous la conduite de l’architecte dédié à ce chantier.

 Année 2022 : choix des travaux à réaliser et recherche des financements : reprises diverses sur l’extérieur de l’église.

Année 2023 : réalisation de ces travaux s’ils sont décidés par le conseil municipal.

Activités et animations diverses

  • En 2019, un public nombreux et enthousiaste a assisté à deux concerts dont l’un fut animé par les Ensemblions (musique à travers les âges).

Grevilly 1 2019

  • 17 juillet 2022, après-midi musical et artisanal :

                      

 

 

Le groupe lyonnais Floriano Canali interpréta de la musique ancienne.

Grevilly 17.07.2022

 

 

Sous les magnifiques tilleuls, aubade donnée par les BandaBron.

Participation aux Journées européennes du patrimoine.

Visite des cadoles du village réservée à nos adhérents.

Une église romane dans un village de 29 habitants :

La construction de cet édifice trapu remonte au début du XIIe siècle, son style roman demeure,
bien que remanié à plusieurs reprises. Mais il conserve tout son cachet et jouit d’une situation remarquable.

Le site, constitué par l’église, le cimetière avec ses magnifiques tilleuls encadrant la grille d’entrée et le mur de clôture en pierre sèche, est classé au titre des monuments historiques depuis le 24 février 1942. L’église, elle, a été inscrite à l’inventaire supplémentaire en 1941. (Inventaire du patrimoine, Archives départementales de Saône-et-Loire)

L’église a été restaurée à deux reprises : l’intérieur en 1978 et l’extérieur en 1994. Les toitures de la nef et de la sacristie ont été refaites récemment en tuiles mécaniques, alors que l’abside a conservé sa couverture en lauzes.

Statue en bois polychrome de la Vierge couronnée.

Détails de la tablette du XVIe, en pierre, qui supporte la statue.

    

Pour plus d’informations sur l’église de Grevilly et le village, consulter :

  • Sonnerie en volée de la cloche de l’église de Grevilly ; Cette cloche, qui porte le nom de Sophie-Aymée, est l’œuvre de Gédéon Morel, fondeur de cloches à Lyon, en 1858. Elle est ornée de nombreuses frises et de 5 lignes de texte  :

http://www.cloches71.com/grevilly.html

 

Lournand notre Patrimoine

Mise en valeur des richesses architecturales de Lournand. Aménagement et embellissement du petit patrimoine bâti, notamment du XIX ème siècle.

LOURNAND NOTRE PATRIMOINE
Mairie – 71250 LOURNAND
Gisèle PEY REGAD-PELLAGRU, présidente
06 20 06 17 37
prgpho@gmail.com

Restauration des lavoirs, fontaines, calvaires grâce aux manifestations suivantes : concerts, fêtes champêtres, expositions, conférences.

L’association Lournand, Notre Patrimoine a été créée en 1993 afin de préserver et entretenir le patrimoine du village, notamment de la chapelle de Collonges, et les lavoirs de la commune, au nombre de 5. La Tour de guet a été restaurée grâce à la Fondation du patrimoine et à la détermination des habitants. Des travaux de rénovation ont été accomplis sur les lavoirs dans le passé et plus récemment en 2016. L’association a également pour vocation d’animer le village grâce à des activités diverses : concerts, marches guidées à la découverte du patrimoine, repas champêtre, mais aussi des conférences.

Quelques exemples des activités de l’association :

Nettoyage et restauration de petits édifices :

L’esplanade devant le lavoir du Bourg de Lournand a été nettoyée avant la réfection du pavement en 2018. Le toit du lavoir du Bourg a été refait grâce aux fonds propres de l’association en 2020.

Évènements culturels organisés par l’association :

Concert de l’ensemble «Le Chœur Léger» en 2016.

 

Marches guidées

Des marches à la découverte de notre patrimoine local sont organisées chaque année.

La « Marche des cadoles nous conduit sur les hauteurs des hameaux de Collonges et de La Chaume à la découvertes de ces petits trésors attachants du patrimoine vernaculaire, dissimulés dans les bois ou, plus souvent, dans l’épaisseur des murgers.

Marche « sur les pas des Moines » : des hauteurs de Saint-Claude à la vallée de la Grosne.
Itinéraire au départ de Lournand en direction de la colline de La Cras, puis vue sur Cluny, descente vers les Pendaines et la chapelle de Cotte.
Illustration : depuis La Cras, vue sur le château de Lourdon (2019)

Marche prévue : « De Lournand à Massilly », habitat rural et maisons de maître.
Des visites insolites de pigeonniers, orangeries, chapelles et glacières ainsi que d’autres particularités architecturales du XIX ème siècle.

 

Des conférences

Des conférences sont organisées sur le patrimoine, l’histoire et nous permettent d’approfondir nos connaissances.

Ainsi, en 2018, nous avons commémoré la Grande Guerre.

Autres conférences :

  • « Cluny et la fondation de monastères en Espagne du nord »;
  • « François Dulac et l’architecture scolaire en Saône et Loire : contribution au développement de l’éducation ».


L’association a de nombreux projets de restauration, d’amélioration du bâti. Venez nous rejoindre !

_________________________

Le patrimoine de Lournand

Tout proche de Cluny, Lournand bénéficie d’une situation exceptionnelle avec son paysage vallonné et ses côteaux face à l’est, propices autrefois à la culture de la vigne; les « murgers », construits grâce à l’épierrement du terrain pour en faciliter la culture, délimitent encore aujourd’hui les parcelles et les chemins.

A la découverte du petit patrimoine de Lournand

Les cadoles : cabanes de vignerons, guérites de bergers ou de chasseurs à l’affût, ces petits abris sont parvenus jusqu’à nous.

Fontaines et lavoirs : lieux de labeur et de convivialité

La fontaine de Chevagny (construction du bâtiment vers 1876) : la voûte en plein cintre renforce l’impression de chapelle. L’eau jaillit dans l’abside et canalise la source vers le lavoir.

Le lavoir de Chevagny

Le lavoir de la Chaume Le lavoir de Collonges

L’abreuvoir de Collonges L’abreuvoir de Chevagny

Les abreuvoirs ou bachasses (patois local), destinés aux animaux, ont été nettoyés par l’association et les joints refaits en 2017.

Deux lieux de culte entichissent le patrimoine et la commune :

L’église Sainte Marie :

elle domine le village avec son clocher octogonal de style « clunisien » et fut achevée en 1846. De l’origine romane, il ne reste plus que la travée sous le clocher. Une souscription auprès de la Fondation du patrimoine va permettre la restauration du système électrique de la cloche en 2021

La nef de l’église Sainte Marie lors d’un concert de l’ensemble Olivier Marcaud en 2015

La chapelle Saint Laurent de Collonges

Reconstruite au XVI ème siècle, elle a connu bien des vicissitudes. Toujours ouverte au visiteur, elle possède un charme modeste qui séduit le passant et le pèlerin sur les chemins de pèlerinages. La restauration de son toit en lauzes fait partie des projets de l’association pour l’avenir.

Autre édifice incontournable à Lournand :
La tour du gué, ou tour du Colombier

L’origine de cette tour de guet remonte au XIII ème siècle. Elle devait avoir une fonction de « guet » et assurer la garde de Lournand et du château de Lourdon.
De section carrée à sa base d’époque médiévale, la tour a été surmontée d’une partie circulaire, plus récente. La corniche ou « radière » à mi-hauteur dans la partie cylindrique était destinée à dissuader les rongeurs. A gauche de la porte, une meurtrière. Les deux petites ouvertures dans le partie supérieure semblent indiquer que cette tour a servi de pigeonnier . La tour est recouverte d’un toit de lauzes que vient couronner un épi de faîtage.

Visible seulement de la route à la sortie du bourg de Lournand, propriété de la commune mais située sur un terrain privé, cette tour a été restaurée en 2013 grâce à la souscription de la Fondation du Patrimoine et l’action conjointe de la commune et de l’association.

Afin de mieux connaître les monuments que nous vous avons présentés, consultez notre livre paru en 2020 : « Murmures de Pierre : le petit patrimoine bâti de la commune de Lournand »
Pour plus d’information sur cet ouvrage : cliquer sur ce lien

Groupe Patrimoines 71

Connaissance, sauvegarde et protection des patrimoines du département de Saône-et-Loire

GROUPE PATRIMOINES 71
BP 62  71300 MÂCON CEDEX
Annie BLETON-RUGET, présidente 03 85 48 71 93
presidence.GP71@groupepatrimoines71.fr
http://www.groupepatrimoines71.fr

Publication de la revue trimestrielle « Images de Saône-et-Loire », organisation de deux rencontres annuelles, promenades en patrimoines.

Le Groupe 71, aujourd’hui devenu Groupe Patrimoines 71, a été créé le 23 mai 1969.

Depuis 48 ans, notre association œuvre sur l’ensemble du territoire de la Saône-et-Loire, pour la connaissance et la valorisation des patrimoines, la mise en valeur du patrimoine humain et naturel et contribue ainsi à leur sauvegarde. Elle a signé une convention de partenariat avec le conseil départemental en 2017 autour de ces objectifs.

Le Groupe Patrimoines 71 publie depuis sa création une revue trimestrielle Images de Saône-et-Loire. Cette revue est ouverte aux associations historiques, aux associations de sauvegarde du patrimoine et à toute personne désireuse de publier un article relatif aux patrimoines historique, naturel, littéraire, artistique, matériel ou immatériel, etc. La revue, en outre, fait état des publications (revues et ouvrages) concernant le département.

Depuis l’anniversaire du cinquantenaire de l’association (2019), les revues des numéros 1 à 176 sont consultables intégralement sur le site internet des Archives départementales : https://www.archives71.fr/article.php?larub=33&titre=patrimoine-mobilier-et-immobilier

Parmi les activités du Groupe, figurent deux Sorties en patrimoines annuelles dans divers lieux du département, en lien avec des associations patrimoniales locales, dans une commune ou un secteur du département. S’y ajoutent des Promenades en patrimoines, qui proposent la découverte des petits patrimoines au cours de randonnées. Ces promenades s’adressent à tous les publics.

Quelques exemples de nos visites à travers notre département :

Sortie à l’automne 2013 : découverte du lavoir de Nourrice à Rosey en Chalonnais.

L’année suivante, nous nous déplaçons dans le Verdunois, à Allerey, où nous visitons l’église de style classique. En octobre, nous nous retrouvons en Brionnais, à La Clayette.

2015 amène le Groupe en Autunois : nous sommes accueillis par la municipalité de Mesvres pour notre assemblée générale annuelle, suivie de la visite du château et du prieuré. L’après-midi nous nous rendons à Uchon, la « perle du Morvan ». La journée se termine à Dettey perché sur son piton granitique.

Dettey, La charité de saint Martin, bois, XVe siècle.

Mesvres. Le maire et son adjoint nous parlent de leur village.

Printemps 2016 : Louhans, son Hôtel-Dieu et son extraordinaire apothicairerie.

Automne 2016 : nous voici en Mâconnais, d’abord à Saint-Martin-Belle-Roche en matinée puis à Laizé après le déjeuner pris au restaurant sur les bords de Saône.

Retraversons le département et retouvons-nous à Saint-Christophe-en-Brionnais en avril 2017 ; les membres du CEP nous reçoivent dans leurs locaux et nous guident tout au long de la journée.

L’association qui nous reçoit présente ses activités.

Un paysage typique du Brionnais, au hameau de Giverdier à Symphorien-des-Bois.

15 octobre 2017 : l’association « UNESCO » de Tournus nous accueille pour la journée : visites guidées de l’Hôtel-Dieu, de l’abbaye et de la ville dont le patrimoine riche et varié a surpris nombre de nos fidèles participants. Sans oublier notre traditionnel déjeuner préparé par une bonne table tournusienne! Et pour terminer cette belle journée très ensoleillée, les Amis du Villars nous ont fait découvrir leur église, unique en Bourgogne puisqu’elle comporte deux nefs accolées sous le même toit.

Le Groupe devant l’hôtel de ville et à côté de la statue de Greuze. La chapelle de l’Hôtel-Dieu de Tournus.

Sur le site internet de l’association http://www.groupepatrimoines71.fr, on peut lire les comptes-rendus des sorties et promenades et chaque trimestre un article de la revue Images de Saône-et-Loire dans son intégralité, tiré du dernier numéro paru. Ce site permet aussi de consulter la base de données de tous les articles parus depuis l’origine, avec de nombreuses entrées possibles : recherche par le nom des auteurs, des communes, des lieux, ou même des personnages évoqués.

Lugny Patrimoine

Redécouverte, préservation et mise en valeur du patrimoine historique et naturel de Lugny, qu’il soit public ou privé, matériel ou immatériel.

LUGNY PATRIMOINE
Mairie – 7, place du Pâquier – 71260 LUGNY
Président : Emmanuel NONAIN
03 85 20 15 93
lugnypatrimoine@gmail.com
Site internet :  https://fr.geneawiki.com/index.php/Lugny_Patrimoine

Ouverture de la chapelle Notre-Dame-de-Pitié de Fissy tous les week-ends (de Pâques à la Toussaint), marche du patrimoine bisannuelle, Nuit des églises (juillet), Journées européennes du patrimoine, conférences.

Au printemps 2009 a été fondée Lugny Patrimoine, association créée dans une démarche d’animation et de promotion de Lugny avec, pour objectifs, la redécouverte, la préservation et la mise en valeur du patrimoine historique de la petite capitale du Haut-Mâconnais. L’association a également vocation à s’intéresser au patrimoine naturel.

 

La création de cette association présidée par Frédéric Lafarge (avec Jean-François Bordin pour vice-président) est intervenue alors que Lugny, depuis la fin des années quatre-vingt-dix, avait fait beaucoup dans les domaines de la préservation et de la promotion de son patrimoine : restauration de bâtiments et de monuments (monument aux morts cantonal de la guerre franco-allemande de 1870-1871, pavillon de vignes de Macheron, lavoir à Fissy, puits communal à Macheron, gisant de l’abbé Jacques Brun au cimetière de Lugny, etc.), parution d’ouvrages (publication de « Si Lugny m’était conté… en images » en 1999 et de « Lugny, mémoire de pierres, mémoire d’hommes » en 2006, réimpression de la « Notice historique sur Lugny et ses hameaux » de l’archiviste Léonce Lex parue en 1892), pose d’une dizaine de plaques explicatives, rénovation d’œuvres d’art (restauration de la Vierge à l’Enfant du XVe siècle de l’église Saint-Denis, restauration et sécurisation de la statue de saint Pierre des XIVe ou XVe siècles), visites guidées, « marche du patrimoine », journées européennes du patrimoine, expositions, conférences.

 

Les actions que conduit l’association permettent de préserver, de faire connaître et de faire vivre le patrimoine de Lugny ; elle est aussi une force de proposition et apporte son aide à la municipalité – et aux particuliers – dans ces domaines. L’une des activités de Lugny Patrimoine est, notamment, de faire connaître le patrimoine de la commune à l’occasion des Journées européennes du patrimoine à laquelle Lugny a participé pour la toute première fois en 2007.

Les adhérents réunis lors d’une réunion organisée en salle événementielle Michèle Broutchoux (6 décembre 2021).

Une année 2021 à minima, dans le prolongement de 2020

L’association a doté le Grand Bois, « écart isolé » de Lugny, d’une notice explicative illustrée (sous la forme de trois plaques en aluminium de type Dibond) destinée aux promeneurs et randonneurs et incité la commune à signaler par un panneau l’Ail, affluent de la Bourbonne, dans sa traversée du hameau de Vermillat.

Malgré la crise de la Covid-19, les bénévoles de l’association se sont investis, successivement

  • dans la réinstallation à l’intérieur de l’église d’un harmonium ayant autrefois appartenu au mobilier de l’édifice ;
  • dans la mise en place en mairie d’une exposition portant sur les ponts (en partenariat avec le pays d’art et d’histoire) ;
  • dans la pose d’une signalétique explicative au lavoir du bourg puis dans la 14e participation de Lugny aux Journées européennes du patrimoine.

Nos projets pour 2022

Deux autres dossiers sont par ailleurs sur le point d’aboutir. Le premier, assez ambitieux, repose sur la volonté de doter Lugny, en collaboration avec la commune et avec le soutien financier de la Cave de Lugny, de plaques explicatives rénovées, vingt ans après la pose de onze plaques en plexiglas, projet incluant la conception de dix-huit plaques supplémentaires destinées à renseigner sur des lieux qui n’avaient pu être retenus alors. Le second résulte d’un partenariat établi avec les Foyers communautaires pour concevoir un panneau explicatif illustré portant sur l’histoire du château, qui sera fixé sur le mur de clôture du parc Monseigneur Joseph Robert.

Enfin, Lugny Patrimoine s’est mise à plancher, à partir de l’automne, sur le thème de travail retenu par le pays d’art et d’histoire « Entre Cluny et Tournus » : « Vignes et vins ».

Pour rappel 2018-2019

  •  création au départ de Lugny d’un « circuit du Haut-Mâconnais » traversant six communes (Lugny, Saint-Gengoux-de-Scissé, Azé, Péronne, Burgy et Bissy-la-Mâconnaise) et invitant les promeneurs à mettre leurs pas dans ceux de l’artiste Michel Bouillot (dans le cadre d’un livret édité sous l’égide de la FAPPAH) ;

Les randonneurs réunis devant la cadole du bois de Charvanson lors de la marche « Sur les pas de Michel Bouillot, entre Fissy et Bissy » organisée le dimanche 30 septembre 2018.

  •  cérémonie de labellisation au titre d’ « Arbre remarquable de France » du hêtre pourpre bicentenaire du parc Monseigneur Joseph Robert, en lien avec Les Foyers communautaires et l’association nationale A.R.B.R.E.S. (samedi 3 novembre 2018).

Maxime Fauqueur, vice-président de l’association A.R.B.R.E.S. (Paris), peu après avoir remis le diplôme attestant du label « Arbre remarquable de France » attribué au hêtre pourpre bicentenaire de Lugny (parc Monseigneur Joseph Robert). À ses côtés, l’écologue Alain Desbrosse, représentant départemental de l’association, et les présidents des deux associations à l’initiative de cette labellisation nationale (Les Foyers communautaires de Lugny et Lugny Patrimoine) : Marie-Chantal Laurens et Frédéric Lafarge.

Le site naturel classé de la Boucherette

Ce site inscrit par la DIREN à l’inventaire régional à la fin des années quatre-vingts se caractérise par une végétation réclamant des conditions chaudes et sèches, ainsi qu’un sous-sol calcaire, et il se compose d’une forêt (chênaie pubescente), d’une lande à buis et d’une pelouse calcaire sèche (dénommée « teppe »).

Le sentier « nature et découverte »,  d’une longueur de deux kilomètres et d’un dénivelé de quatre-vingts mètres, permet au promeneur flâneur de traverser les différentes zones du site, en particulier l’ancienne carrière, la lavière, la forêt, la grande teppe.

Lugny et son patrimoine architectural

Chapelle de Fissy

La chapelle de Fissy restaurée.

Le beau retable dans l’église du bourg.

Au détour des rues…

Consulter le blog de l’abbé Tof qui a inventorié les cloches de l’église : http://www.cloches71.com/lugny.html

 

Préservation de l’Authenticité de Saint-Ythaire – PAYS

Préserver l’authenticité et le patrimoine du village de Saint-Ythaire; respecter sa richesse agricole et l’équilibre environnemental entre le bourg et les hameaux.

PRÉSERVATION DE L’AUTHENTICITÉ DE SAINT-YTHAIRE – P.A.Y.S
Montagny 71460 SAINT-YTHAIRE
Hugues POULACHON, président – 06 89 21 08 70
contact courriel : Alain LECHAT alain.lechat@nordnet.fr

Enquête auprès des habitants, participation au PLU, inventaire des cadoles. Projet : enquête sur les ruines de Montenard.

L’association P.A.Y.S. est née en 2005

de l’opposition à l’implantation de « cabanes » sur un terrain à Montagny, hameau de Saint-Ythaire, qui était dépourvu de toute valeur agronomique et que son propriétaire voulait valoriser autrement .
Ces cabanes, préfabriquées en bois, avec couverture en shingle et posées sur une dalle béton auraient été placées à l’entrée du hameau  à l’entrée d’un virage.
Après une longue campagne et de nombreux débats  le Conseil Municipal a rejeté le projet à bulletins secrets, par une voix d’écart .

L’association a, en 2008 , établi un questionnaire – enquête sur « vivre à St Ythaire » -, qui abordait, outre les aspects architecturaux et patrimoniaux, les sujets qui touchent le quotidien des habitants : eau, électricité, internet, voirie, transports, vie en commun etc
Le dépouillement de ce questionnaire, qui a montré l’attachement de la population au petit patrimoine architectural , à l’aspect préservé du Bourg et des hameaux , a été restitué à la population et fourni à la municipalité .

En 2010, après avoir demandé au maire de participer aux travaux de la commission PLU , l’association a publié un document d’une vingtaine de pages donnant sa position sur ce que devrait contenir le projet de PLU de St Ythaire .
Après de nombreuses péripéties et notamment un changement de municipalité et une évolution des directives ministérielles, le PLU qui va bientôt être soumis à l’enquête publique n’est pas si éloigné de celui-ci.

L’association a également pris position contre un projet éolien très préoccupant car beaucoup trop proche du village, implanté en partie entre Bierre et le Bourg et/ou surplombant Montagny à une distance des habitations vraisemblablement illégale. La communauté de communes a refusé de voter le projet compte tenu de l’opposition des habitants, la suite du même projet a été soumise à la population de Burnand, qui l’a refusé  le promoteur a abandonné.

Projets

L’association a réalisé un inventaire des cadoles de Montagny ( position GPS , photos ) et réhabilité l’une d’entre elles avec l’accord du propriétaire et va continuer sur les autres hameaux .
Avec quelques membres du Conseil Municipal actuel, l’association est intéressée par les ruines de Montenard et souhaite mener une enquête sur la fonction (signal ?) et plus généralement l’histoire de ce bâtiment proche de Saint-Ythaire qui a  été en grande partie utilisé comme carrière .

Saint-Ythaire

Une vue depuis Saint-Ythaire

La population (215 habitants) est répartie principalement sur 4 lieux de vie : le Bourg et les hameaux de Bierre, Vaux et Montagny. Les lieux-dit Morlay, Les Genièvres, le Brouillard ne comptent que quelques maisons .
Les maisons se situent entre 270 et 330 m d’altitude et le point culminant de la commune, « le Chassignot « , point géodésique situé à 413m, est agrémenté d’une table d’orientation qui permet de repérer les éléments d’un panorama remarquable .

Le village et ses hameaux recèlent de nombreux éléments d’un petit patrimoine architectural ( lavoirs, croix de chemins, puits, fours, pompes et auges, cadoles ), et de nombreuses maisons paysannes à galerie typiques de la région.

Un peu d’histoire :

Selon des recherches sur l’histoire du village aux Archives Départementales, Saint-Ythaire aurait changé 22 fois de nom entre l’an 862 et 1845 !….. Parmi ces noms :

Sancto Eptadio en 1030 ;
Sancti Hilarii en 1513 ;
Saint Eustade en 1757 ;
Monteynard en 1793 ;
Saint-Ythaire depuis 1845.

À l’époque gallo-romaine :

( selon l’ouvrage de M l’abbé Chaume « Les anciens domaines gallo-romains de la région Bourguignonne ») la commune de Saint-Ythaire offre cette curieuse particularité de posséder les vestiges de trois centres successifs :

  • Bierre (Baiodurum), le village gaulois ;
  • Montagny (Montaniacus), la villa gallo-romaine ;
  • « Mont-Aynard », qui ne subsiste plus qu’à l’état de lieu-dit, et dont le vocable ecclésiastique (Sanclus Eustadius *) se trouve appliqué, par un curieux phénomène, à l’agglomération moderne, l’actuel village de Saint-Ythaire.

Outre Bierre, la villa Montaniacus avait pour dépendances Vaux (Vallis), Besanceuil (Besansnacus ) et sans doute Angoin (Engoenum, villa Engoniacus).

(*) saint Eustade paraît être le premier abbé de Saint-Bénigne de Dijon mort en odeur de sainteté vers 550

Au XVIIIe siècle :

D’après le ‘Nouvel état général de 1781’, la paroisse de Saint-Ythaire comprenait  Angoin (paroisse de Besanceuil), Bierre, Besanceuil (annexe de Saint-Ythaire), le Brouillard, Monteynard, les Bois, Montagny, Morlais et Vaux.
En 1789, Angoin dépendait alternativement, deux ans de la paroisse de Salornay-sur-Guye et un an de la paroisse de Besanceuil, annexe de Saint-Ythaire.

Au XIXe siècle :

En 1867, le hameau de Besanceuil, qui appartenait jusque là à la commune de Saint-Ythaire, fut rattaché à Bonnay.

Quelques autres éléments remarquables à Saint-Ythaire :

  • Le Brouillard (anciennement Le Bruillat) – cf bulletin de la SEHN de 2003 – METZINGER M-H p 51/60 St Ythaire La tour du brouillard – La grande maison –
  • Maison seigneuriale à tourelle, XVIIe siècle
  • le ‘Vieux château’, ancienne tour de Montenard (Monteynard, Mont-Aynard)
  • l’église paroissiale Saint Barthélémy, avec un clocher roman : www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Saint-Ythaire.pdf
  • la table d’orientation de Chassignot – panorama   – point d’observation et de comptage de migrations d’oiseaux (Bondrée apivore, cigogne noire, etc.)
  • la traditionnelle Fête des Jonquilles sur le plateau de La Roche, fin février /début mars (buvette, gauffres, etc.)

Castrum Lordo

Préservation et mise en valeur du site du château de Lourdon.

CASTRUM LORDO
Mairie – 71250 LOURNAND
Dominique BÉRUARD, président 06 88 27 19 75
castrum.lordo@gmail.com
chateaudelourdon.fr

Campagnes d’études, ouverture du site au public à l’occasion des Journées du patrimoine, exploitation de vignes, visites guidées, animations, conférences.

L’association Castrum Lordo

Le site de Lourdon est longtemps resté à l’abandon, sévèrement gardé mais repérable puisque la façade Est, de la colline sur laquelle il se trouve, dévoile à la plaine de la Grosne, les restes d’un imposant jeu de paume. De nombreuses théories et légendes circulent encore aujourd’hui à son sujet, mais le site reste peu connu malgré ses liens étroits et sa proximité immédiate avec l’abbaye de Cluny.

Vue aérienne

L’association, constituée en 2012, réalise bénévolement, tout au long de l’année,  un travail d’aménagement du paysage et de sécurisation du site afin de faciliter les recherches du CECAB et l’accès au site. Elle organise plusieurs évènements, dont l’ouverture du site pour les journées européennes du patrimoine.

Dégagement de l’escalier d’accès à la terrasse sud

          Tour de la poudrière,reprise de maçonnerie     Coupe pour pose de la clôture

 

Fabrications des piquets en acacias pour réaliser la clôture du site (3,5ha à sécuriser)

Travaux de la vigne

Repas lors de la campagne du CECAB (Centre de Castellologie de Bourgogne)

Journées Européennes du Patrimoine : l’assistance lors d’une conférence de Florence Ducruix, Céline Mathiron et Hervé Mouillebouche, membre du Centre de castellologie de Bourgogne et directeur des recherches et fouilles

Animations lors des journées du patrimoine

Vue de la terrasse sud sur le mur du jeu de paume

Lourdon, ancien doyenné et château de l’abbaye de Cluny

Le site du château de Lournand est un lieu auquel les habitants clunisois sont attachés, avec ses imposantes ruines livrées à la forêt de chênes.

« Depuis l’an 888, date de sa première mention connue dans les textes, il aura tout connu ou presque. Des ventes, des assauts, la légende d’être imprenable. La démolition à l’explosif un jour de 1632 aussi, puis l’occupation d’une de ses tours à usage d’habitation jusque dans les années 1950. »

Lourdon, situé à 3km au nord de Cluny, a connu en effet trois étapes architecturales successives : castrum, doyenné et château des abbés de Cluny.

  • En 888, un acte est passé au « castrum lordo », ancien lieu de pouvoir carolingien, antérieur à la fondation de l’abbaye de Cluny
  • C’est ensuite le premier doyenné mentionné dans les chartes de Cluny, et l’un des plus productifs. Il pourvoyait au « mesaticum » de Cluny pendant deux mois de l’année. C’était un lieu privilégié pour la signature des chartes, avec de 140 actes datant de 910 à 1150.
  • Le château était devenu au XIIIe siècle le refuge des moines et du trésor de l’abbaye. Il fut ravagé successivement par les troupes de Louis IX, de Charles le Téméraire, restauré par l’Abbé Jean de Bourbon, puis pris par les protestants, et enfin agrandi en 1586 par Claude de Guise, Abbé de Cluny. Jusqu’à un démantèlement effectué à coups de mines par Richelieu en 1632, à la demande des États du Mâconnais (source : Itinérances autour des doyennés clunisiens et du ban sacré – FAPPAH)

Campagnes d’études menées par le CECAB

Le Centre de Castellologie de Bourgogne a entrepris depuis 2012 des études et un relevé des vestiges de Lourdon, jusqu’alors méconnus et oubliés.
Le château fut doté au XIIIe siècle d’une tour ronde de 18 m de diamètre (l’une des plus grosses de France) ; il était entouré d’un parc à gibier encore largement visible aujourd’hui dans le paysage ; et la grande salle de 13 x 40 m qu’on appelle traditionnellement « le jeu de paume » est réellement une salle de jeu de paume, construite par et pour les abbés de Cluny entre la fin des guerres de Religion et le début de la Ligue.
(cf l’ouvrage « Le château des abbés de Cluny à Lourdon : le parc, le jeu de paume, la tour philippienne », Hervé Mouillebouche – Chagny, 2012)

Le parc s’étendait sur 20 hectares, clos par un mur en pierre long de 3200 mètres et de 12 tours dont 4 sont encore visibles.

plan du château, image extraite du rapport de recherche scientifique du CECAB (2016) :
cecab-chateaux-bourgogne.fr/activites-2016-pdf-rapport-lourdon

et restitution hypothétique du Jeu de Paume , selon Arthur Millet – Étude du mobilier archéologique issu des prospections 2015 – Mémoire de master :
cecab-chateaux-bourgogne.fr/activites-2016-pdf-etude-mobilier-lourdon

Laviers & Muraillers de Bourgogne

Promotion des métiers de la pierre.

LAVIERS & MURAILLERS DE BOURGOGNE
rue de la Riclaine – 71240 NANTON
Martin MURIOT – 06 88 14 70 66
contact@laviers-muraillers-bourgogne.fr
http://www.laviers-muraillers-bourgogne.fr
https://www.facebook.com/laviers.muraillers.bourgogne/

Informations sur les couvertures en laves, murs de pierres sèches, pavages, taille de pierres, organisation de stages, bulletin d’information.

L’association « Laviers & Muraillers de Bourgogne » a pour objet la promotion des métiers de la pierre (maçonnerie à pierre sèche, couverture de laves, taille de pierre). Elle est constituée de professionnels passionnés.

Le lavier est l’artisan qui réalise des couvertures d’édifices avec des pierres plates, les lauzes, appelées « laves » en Bourgogne :  couverture de laves – lauzes
Le murailler est l’artisan qui réalise des murs de pierre sèche, c’est à dire, sans avoir recours à un mortier liant. La solidité des ouvrages est garantie par une méthode constructive rigoureuse : murs de pierre sèche

L’association apporte des conseils techniques pour l’étude et la réalisation d’ouvrages (murs de pierre sèche, toitures en laves, taille de pierre) :

montage d’un mur de pierre sèche

Elle organise des stages de formation, des évènements dédiés à la sensibilisation et à la promotion des métiers de la pierre  (expositions, démonstration, balade-lecture du paysage, conférences-débats, colloques) :

stage de formation initiale mur de pierre auprès des habitants de la communauté de communes Haute Seille-Jura

stage de formation initiale mur de pierre sèche au lycée de l’horticulture et du paysage de Tournus

Les Laviers & Muraillers éditent une revue trimestrielle « Pierres qui roulent« , consultable en ligne ou sur abonnement, voir http://laviers-muraillers-bourgogne.fr/actualite

La pierre sèche au patrimoine immatériel de l’humanité :

Le mercredi 28 novembre 2018, l’UNESCO a inscrit « l’art de la construction en pierre sèche : les savoir-faire et la technique », sur la liste du patrimoine immatériel mondial : site de l’Unesco
Cette candidature transnationale avait été portée par la Société scientifique internationale pour l’étude pluridisciplinaire de la pierre sèche : SPS
Communiqué du ministère de la culture français : communiqué de presse .
Célébration en présence du ministère de la culture et de l’ambassadeur auprès de l’Unesco : célébration

Une Fédération nationale :

L’association est membre de la Fédération Française des Professionnels de la Pierre Sèche (FFPPS)
www.professionnels-pierre-seche.com

Burgy Patrimoine

Participer à la sauvegarde, la valorisation, l’entretien du patrimoine de la commune de Burgy et aider à la mise en œuvre de ces objectifs.

BURGY PATRIMOINE
Mairie, rue du bourg, Cidex 314 -71260 BURGY
Marie-Rose GEOFFROY, présidente
03 85 33 26 34
association@burgy-patrimoine.fr
http://burgy-patrimoine.fr/

Rénovation de l’église de Burgy.

L’association a été créée en 2016, pour relayer l’action de la commune auprès des personnes intéressées par la rénovation de l’église.

photos F Mouron – JSL

Les subventions obtenues par la commune ne couvrant pas la totalité des travaux, une convention de mécénat a été ouverte avec la Fondation du patrimoine. Cela a fait l’objet d’une opération tripartite entre la mairie, l’association Burgy Patrimoine et la Fondation du Patrimoine

Une réunion de chantier


Le toit en cours de réparation et l’intérieur de l’église (murs et voûte de pierre débarrassés de leur enduit de ciment)

Les travaux ont démarré en 2017 et se sont terminés en 2018, pour remanier le toit en laves, reprendre la maçonnerie extérieure et piquer des enduits intérieurs afin d’assainir le bâtiment.

Autres activités de l’association :

Depuis 2017, l’association ouvre l’église et organise des visites à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine.

Une exposition de photos anciennes des alentours a été organisée en 2017 à la salle communale de Burgy.

Le site internet de l’association permet de découvrir des photos, des cartes postales de Burgy et de la pépinière Letourneau, dont voici quelques extraits :

   

L’église de Burgy

L’église romane Saint-Jean-Baptiste, classée MH, est perchée sur la « montagne du Belvédère », à 400m d’altitude à environ 1.5 km du village. Du sommet de cette colline s’ouvre un large panorama sur la vallée de la Saône et les monts du Jura.

L’église date du XIe, début du XIIe siècle et a été remaniée à l’époque gothique et au XIXe siècle.
Il s’agit d’une petite église rurale, d’aspect massif, construite en pierres rosées, son toit est recouvert de laves. L’intérieur présente une nef couverte par une charpente apparente, le sol est revêtu de dalles intégrant des pierres tombales. La nef est ornée d’une statue de Saint Jean Baptiste portant l’agneau, dans le chœur on note la présence d’une piscine liturgique murée.

Pour plus d’information sur l’église :
www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Burgy.pdf

Un petit village à flanc de coteau

Burgy est un village viticole de 117 habitants, qui domine les collines et vignobles de la région de Lugny

Dans une niche aménagée dans le mur extérieur d’une maison qui borde la rue principale du bourg, on découvre une Pietà ou Vierge de Pitié, en pierre du début du XVIe siècle, inscrite aux Monuments Historiques en 1932 (Pour plus d’information : La pieta de Burgy) :

La commune possède une mairie-école bâtie sur les plans de l’architecte Dulac, voir
site www.ecomusee-creusot-montceau Burgy :

Une anecdote : la pépinière Letourneau et la naissance du crémant de Bourgogne

C’est une histoire bien originale que celle la maison Letourneau à Burgy : dans les années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, elle fut l’une des toutes premières de Bourgogne à produire et à commercialiser du vin effervescent, dénommé mousseux, et devenu « crémant de Bourgogne » par la suite.
En effet, un œnologue champenois, à l’occasion de la livraison de greffes de chardonnay, pinot noir et pinot meunier en Champagne, proposa de vinifier deux pièces de vins bourguignons avec la méthode champenoise. C’est ainsi que 1952 – après la prise de mousse du millésime précédent– marque la première année de commercialisation en bouteilles de ces « mousseux ».

Sauvegarde du Patrimoine de Buffières

Restauration et mise en valeur de l’église romane Saint- Denis.

SAUVEGARDE DU PATRIMOINE DE BUFFIÈRES
Le Bourg – 71250 BUFFIERES
David YARD, président
patrimoinebuffieres71@gmail.com
www.buffieres.fr/patrimoineF.html
www.facebook.com/association.sauvegarde.patrimoine.buffieres

Chantier REMPART de restitution des peintures murales de l’église, brocantes.

Née en 1995, l’association pour la Sauvegarde du Patrimoine de Buffières regroupe 80 membres parmi les 240 habitants du village. Elle s’est essentiellement attachée à la restauration de l’église, qui, bien que son chevet soit roman et sa nef principale gothique, n’est pas inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques.

Description de l’église :
www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Buffieres.pdf
et http://www.bourgogneromane.com/edifices/buffieres.htm

Les peintures murales

En 2004, des peintures murales très intéressantes ont été mises au jour dans le cul-de-four. Sous l’impulsion de l’association, plusieurs campagnes de chantiers bénévoles, mises en œuvre avec la collaboration de SMBS-Rempart, ont permis de les dégager et de les étudier.

La fresque représente le Christ en figure centrale, entouré des figures symboliques des 4 évangélistes. Deux décors sont apparus :

  • 1ère couche : ange (symbole de l’Evangéliste Saint Matthieu) et taureau (Saint Luc); cette couche de peinture pourrait appartenir à la deuxième moitié du XIIe siècle, début XIIIe. La technique picturale rappelle encore la peinture romane.
  • 2ème couche : les symboles des évangélistes sont repeints à une époque postérieure (XVe – XVIe siècle), l’emplacement des éléments n’est pas le même. Une patte d’animal empiète sur la tête de l’ange. Cette seconde peinture est réalisée sur une strate très fine et sa technique est plutôt « grasse ».

L’association a obtenu l’accord des services des Monuments Historiques afin de pouvoir «restituer» ces peintures. Des chantiers Rempart menés depuis 2009 ont entamé cette restitution. En 2012, le chantier de bénévoles mené par Christine Guilloud, restauratrice professionnelle, permit la poursuite de ces travaux avec une technique particulière : le trattegio à l’aquarelle, qui consiste à tracer des traits fins à l’aquarelle qui se rapprochent le plus possible de la couleur originale, ce qui permet de faire resurgir la peinture.

Organisation de brocantes

L’association organise une brocante annuelle en août, au profit de la rénovation de l’église. Les stands des vendeurs, particuliers ou professionnels, sont installés au centre du village, sur la place, l’ancien champ de foire et dans la rue qui monte vers l’église.


Brocantes 2012 et 2016 : l’association vend aussi des objets, des meubles et des livres qui lui sont confiés par des donateurs de la région.

« Buffières, havre de paix au cœur du Clunisois »:

voir le site web de la commune de Buffières, royaume du vent selon son étymologie : http://www.buffieres.fr/

Château-Patrimoine

Identifier, étudier, sauvegarder, valoriser par la mise en œuvre de projets, le patrimoine de Château et son vallon.

CHÂTEAU-PATRIMOINE
Mairie, le Bourg
71250 CHÂTEAU
François Régis de BORDE, président – 06 60 77 34 17
chateau.patrimoine@gmail.com
http://mairiedechateau.fr/chateau-patrimoine

Mettre en valeur les paysages de la Vallée du Repentir, ses points de vue remarquables et sa biodiversité  référencée NATURA 2000 au patrimoine européen ; faire découvrir le patrimoine vivant  de Château au cœur de ses hameaux : patrimoine paléontologique et archéologique, agriculture biologique et biodynamie, art de la céramique, bière artisanale, fromages « bio », élevage des bovins et des chevaux de selle…
Et aussi, mettre en valeur  le patrimoine immobilier rural avec, en particulier, la restauration des lavoirs et des pompes à eau.

L’association a été créé en octobre 2015.

Les membres fondateurs sont Jacqueline Argant, Armand Boulanger, Claudie Creutz, François Régis de Borde, Martine de Borde, René Dufour, Solange Lacorne, Antoinette Martin, Alexandre Mazuir, Fabrice Pasquer .

Ses actions :

  • restauration de la couverture en laves du chœur de l’église, grâce à une souscription avec la Fondation du Patrimoine.
  • organisation d’une journée de découverte du patrimoine de la commune
  • participation aux Journées Européennes du Patrimoine
  • organisation de concerts, ateliers, expositions, visites, conférences
  • organisation d’un concours photo annuel

Restauration et installation de la croix de Château : restauration-installation-croix-chateau

Projets en cours :

  • signalétique de 5 points de vue remarquables dans la vallée du Repentir. Cette signalétique, matérialisée par des « tables de lecture », va être implantée sur nos chemins de randonnée au quatrième trimestre 2018.
  • rénovation du Lavoir des Granges.

Concours photo 2018 « Les arbres remarquables de Château », détails et règlement sur
http://mairiedechateau.fr/concours-photo-2018/

Posters et calendriers 2016 et 2017, illustrés grâce avec des photos du concours

Laissez-vous conter …

Une brochure Laissez-vous conter le village de Château et la vallée du Repentir, a été réalisée par le PAH entre Cluny et Tournus, avec le concours de la commune de Château et des associations locales ; pour la consulter,  voir :
www.pahclunytournus.fr/documents/portal651/chateau.pdf
ou http://mairiedechateau.fr/chateau-vallee-repentir/

Le village de Château, dans la vallée du Repentir

Le site Internet de la commune permet de découvrir le patrimoine du village dans son ensemble : « Parmi le patrimoine architectural du village, son église se dresse dans l’ancien emplacement de la forteresse médiévale et surplombe de son plateau, le bourg principal, offrant ainsi un point de vue panoramique vers le sud, avec le doyenné Clunisien de Mazille là où le Repentir rejoint la vallée de la Grosne.
Façonnés au fils des siècles par l’activité agricole, découvrez l’histoire de ses habitants,
découvrez le dynamisme de ses associations, notre patrimoine naturel, architectural et culturel. » http://mairiedechateau.fr/

Renaissance du Château Pontus de Tyard

Sauvegarder, aménager et mettre en valeur le château Pontus de Tyard, ainsi que son environnement ; organiser toutes activités et animations ; effectuer et publier toutes études et recherches historiques faune et la flore, ainsi que la conservation et la valorisation du patrimoine local.

RENAISSANCE DU CHÂTEAU PONTUS DE TYARD
Mairie – 71460 BISSY SUR FLEY
Claude JOUVE, président
claude.jouve@wanadoo.fr
http://www.pontus-de-tyard.com/
page facebook

Accueil des visiteurs, animations (festival ‘Bissy sous les étoiles’, marché du curieux, printemps des poètes, etc. ), recherches historiques, entretien du site, restauration du château, travaux sur l’environnement.

L’association compte un peu plus de 200 adhérents (adhésion 12€ annuel), elle est pilotée par un conseil d’administration qui se réunit environ 6 fois par an. Les activités de l’association sont très variées et sont adossées à un engagement soutenu de plus de 50 bénévoles réguliers.

Les animations

De nombreuses manifestations, portées par l’association, se déroulent tout au long de l’année, lui donnant un éclairage régulier au niveau touristique et culturel :

 

Pour plus de détails : http://www.pontus-de-tyard.com/activites/

Les chantiers de restauration et d’aménagement  : tout le monde au travail

Depuis 2001 les travaux se succèdent de façon régulière et sont réalisés parfois directement par les bénévoles, mais aussi en chantier d’insertion, chantier jeunes, ou par entreprise.
Ainsi, les années passent et le château reprend vie.
Aujourd’hui, le site est classé monument historique et attire chaque années de plus en plus en de visiteurs.

pour plus de détails, voir http://www.pontus-de-tyard.com/les-travaux/

Les travaux de restauration et d’aménagement réalisés par l’association depuis 2001 ont permis de mettre à disposition du public tout un ensemble de centres d’intérêt sur l’ensemble du domaine, à savoir :

  • Une halle d’orientation et d’information d’accès libre ;
  • Le château, situé en vis-à-vis du corps de ferme avec lequel il délimite un espace fermé communément appelé haute cour;
  • Des balades thématiques dans la garenne et autour des vignes ;
  • Deux vignes conservatoires : l’une de cépages anciens et bourguignons, et l’autre de chardonnays ;
  • Un jardin poétique d’inspiration Renaissance ;
  • Un verger conservatoire composé d’arbres fruitiers présents au XVIe siècle ;
  • Les communs, anciens bâtiments à usage agricole, datant du XIXe siècle et abritant une grange, dans laquelle a été aménagée une scène de théâtre. On y trouve aussi un ancien cuvage et un caveau de dégustation.

Un château au cœur de la Saône-et-Loire

Le château Pontus de Tyard domine depuis le XIIIe siècle le village de Bissy sur Fley,  au sud de la côte chalonnaise. Niché au cœur d’une nature préservée, c’est un lieu de promenade et de visite alliant la beauté des paysages à celle du patrimoine architectural.

Inscrit aux Monuments Historiques depuis 1933, le château, qui a appartenu à la famille des Thiard de 1350 à 1853, est le berceau de l’un des fondateurs de la Pléiade et grand poète humaniste, Pontus de Tyard.

Les extérieurs du château et son domaine sont visitables tous les jours, toute l’année. L’intérieur du château est visitable les dimanches après-midi de 14h30 à 18h30 de début juin à fin septembre.

Les impromptus

Favoriser le développement des arts en Saône et Loire, et plus particulièrement en Tournugeois, et aider au progrès et à la diffusion de la culture.

LES IMPROMPTUS
Le Bourg – 71700 La Chapelle-sous-Brancion
Anne-Catherine DUREL, présidente
info@lesimpromptus.fr
https://lesimpromptus.fr
www.facebook.com/lesimpromptus.fr

Diffusion de la culture par tous les moyens appropriés : publications, conférences, expositions, visites botaniques, festival de musique de chambre.

L’association est à l’initiative du festival de musique Les impromptus dont la première édition s’est déroulée en juillet 2016.
Alliant musique et jardin, ce festival de musique de chambre est vite devenu un rendez-vous incontournable en Saône-et-Loire pour les amateurs de musique et les amoureux des jardins.

crédit photos : les impromptus

Reconnus d’intérêt général depuis 2017, « les impromptus » proposent également des manifestations gratuites ouvertes à toutes et tous. Ainsi, ils ont participé aux Rendez-vous aux jardins 2017, manifestation nationale initiée par le Ministère de la Culture et de la Communication.

Voici le visuel qui annonce le programme 2018 des « impromptus », avec des conférences à l’occasion de la 1ère édition européenne des « Rendez-vous aux jardins » en juin et un festival de musique de chambre en Mâconnais-Tournugeois fin juillet :

crédit photos : les impromptus

Les amis des églises et du patrimoine de Malay

Toute action visant à promouvoir la sauvegarde et l’entretien du patrimoine de la commune dont deux églises romanes classées.

LES AMIS DES ÉGLISES ET DU PATRIMOINE DE MALAY
mairie de Malay – 71460 MALAY
Présidente : Sylvie BADEY,  03 85 50 14 34  abadey@wanadoo.fr
Vice-Président : Jean BONNARDIN
Trésorière : Michèle LACOLONGE
Secrétaire : Alain BADEY

Chantiers de restauration, recherche de subventions et dons, organisation de concerts, vide-greniers.

L’association, reconnue d’utilité publique, agit pour la promotion, la sauvegarde et l’entretien du patrimoine communal dont ses deux églises romanes classées. Elle participe aux chantiers de restauration, aide à la recherche de financements, subventions, dons, organise des concerts, expositions, vide-grenier…

Historique du lieu Patrimonial

La commune de Malay se trouve dans la vallée de la Grosne près de la voie romaine qui reliait Mâcon à Autun et tout près de Cormatin et de son magnifique  château du 17ème siècle. Des vestiges d’un pont romain sur la Grosne, visibles jusqu’à la seconde guerre mondiale laissent penser à une occupation gallo-romaine sur le site.

La commune accueille deux belles églises romanes classées « monuments historiques » l’une au bourg de Malay, l’autre au hameau d’Ougy.

Église Saint–Martin d’Ougy

Elle est située au cœur d’un hameau dépendant de la commune de Malay. Cet édifice est classé monument historique depuis 1929. Sa construction remonte à la fin du XIème siècle. Elle n’a pratiquement pas été remaniée depuis son origine ce qui lui a permis de garder son caractère cistercien et toute sa sobriété.

Cette église est remarquable par son unité architecturale, son authenticité et la présence de peintures murales à l’intérieur, dont un magnifique médaillon de saint Philippe au revers du portail occidental, fresque de la fin du XIIème siècle.

D’autres peintures transparaissent sous l’enduit dans l’abside et la nef. Entièrement restaurées, elles prendraient incontestablement une place de choix parmi les œuvres d’art des Intérieurs Historiques de Bourgogne.

Église Sainte Marie-Madeleine au bourg de Malay :

L’église paroissiale Sainte Marie-Madeleine plus communément dénommée « église du bourg » est située au cœur du village de Malay. Classée monument historique depuis 1931, cette église romane a été élevée à la fin du XIème, pour son chœur et son transept, et au tout début du XIIème siècle pour sa nef, selon un plan homogène et typique d’église clunisienne rustique. Un siècle plus tard elle est citée parmi les doyennés clunisiens contribuant à l’approvisionnement de l’abbaye de Cluny. L’ecclesia maleto est en effet citée dès 1095 dans le Bullarium Cluniacense. Il ne reste aujourd’hui – en dehors d’une poterne du XIIIème  siècle aucun vestige identifiable des bâtiments du doyenné en lui-même.    En revanche, son église nous est parvenue intacte.

L’église fait partie de la Fédération des sites Clunisiens.

L’Association des Amis des Églises et du Patrimoine de Malay, en partenariat avec la commune participe à la restauration de ces deux bâtiments.

En 2016, la réhabilitation extérieure de l’église d’Ougy a été réalisée grâce à la mobilisation de nombreux acteurs : état, département, commune, Association, les privés avec la Fondation Patrimoine.

En 2018, une nouvelle tranche de travaux est prévue pour l’église du bourg. Après la restauration de l’extérieur en 1998/1999 (assainissement de la nef et du bas côté sud), de l’intérieur  en 2006/2007 (réfection des enduits du transept et du chœur et  dégagement de peintures murales), la réfection du clocher sera réalisée.

Si les deux églises sont les fleurons du patrimoine architectural de la commune, d’autres édifices ne manquent pas d’intérêt :

- le pont de pierre à 5 arches à Cortemblin (XVIIème) 
 - le lavoir d’Ougy construit en 1857,
- de nombreuses maisons pittoresques à meurots et à galerie dans tous les hameaux.
- un porche du XVIIème à Seugne 

Il faut enfin noter que la commune est traversée par la Voie Verte, première du nom à avoir vu le jour en France entre Cluny et Givry. Son tracé actuel suit l’ancienne voie ferrée Mâcon-Chalon sur Saône inaugurée en 1888 et fermée au trafic voyageurs en 1968 et marchandises en 1992.

Le pont à tablier métallique enjambant la Grosne en est l’un des derniers témoins.

Les évènements organisés par l’association :

L’église de Malay bénéficie d’une acoustique exceptionnelle, de nombreux concerts vocaux et instrumentaux y sont organisés. Le réputé chœur néerlandais Hartkériana, d’Amsterdam, subjugué par l’acoustique exceptionnelle de l’église et par l’accueil des résidents,  y réalise régulièrement des enregistrements.

Cluny Chemins d’Europe

Espace laïc, lieu de rencontre propice à l’échange. Travailler ensemble sur les questions que posent nos sociétés en lien avec l’Europe.

Cluny Chemins d’Europe –
Maison des Échevins – 22, rue de la Barre
71250 CLUNY
Marie BILLET, présidente – 03 85 59 13 54
cluny-cheminsdeurope@orange.fr
cluny-cheminsdeurope.com
https://www.facebook.com/cluny.cheminsdeurope.3

Conférences, ateliers sophiaphilo, ateliers littéraires, ateliers artistiques, café du commerce.

    

Unique Maison de l’Europe en Bourgogne, avec près de 100 sympathisants, elle fait partie de la Fédération Française des Maisons de l’Europe. Ses adhérents bénéficient des réseaux et du dynamisme des Maisons de l’Europe, en France (34 maisons) et en Europe.

Son ambition est double :
– gagner le cœur des citoyens pour leur faire connaître, comprendre et aimer l’Europe en train de se construire, par des actions d’animation et de communication dans tous milieux : scolaires, universitaires, d’entreprise, associatifs etc., en Saône-et-Loire.
– offrir à ses adhérents un espace vivifiant et convivial d’échange, de rencontre, d’ouverture et de formation.

Les activités de l’association, ouvertes à tous, se déclinent en :

  • conférences
  • cafés du commerce
  • ateliers littéraires
  • ateliers d’artiste

Un fil rouge annuel ou bis-annuel précise le champ d’intérêt de l’association.

Les Amis de Cluny

Recherche et mise en valeur des richesses archéologiques, historiques, artistiques, culturelles et touristiques de la région de Cluny.

LES AMIS DE CLUNY
6 rue d’Avril 71250 CLUNY
Bruno MARGUERY, président – 06 82 85 40 50
bmarguery@free.fr
https://amisdecluny.home.blog

Acquisition et restauration de la Tour des Fromages, de l’Hôtel des Monnaies, participation à l’éclairage des ponts et à la remise en état des fontaines. Acquisition de pièces d’intérêt historique provenant de l’abbaye

Historique

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, Cluny ayant subi un terrible bombardement, quelques personnes sensibilisées au patrimoine fondent, dès Mars 1945 la société Les Amis de Cluny.

Très rapidement, le Docteur Charles PLEINDOUX, Maire de Cluny en devint le Président.

Objet social

La société se propose de mettre en valeur les valeurs artistiques et archéologiques de Cluny et de ses dépendances, de s’intéresser à la recherche historique, archéologique et artistique sous tous ses aspects à Cluny et dans la région, de l’aider et de la provoquer dans toute la mesure de ses moyens.

Quelques-unes de ses réalisations et ses actions.

Présentation au farinier de l’Abbaye des  chapiteaux du chœur  de la Maîor Ecclesia (Cluny III)


Chapiteaux du chœur de la Maîor Ecclesia (Cluny III) 

Achat, remise en état, exploitation  de la Tour des Fromages.  L’aménagement est en perpétuelle évolution (images en réalité augmentée, éclairage nocturne)

Achat et restauration complète d’une maison romane  « L’Hôtel des Monnaies ».                          Les artistes,  les particuliers, les associations peuvent la louer pour des expositions, des conférences, des réceptions .


Hôtel des Monnaies

En 1967 une nouvelle section a été créée «  les Grandes Heures de Cluny » .Les concerts de musique classique  jouissent d’une réputation affirmée et d’une audience qui débordent largement du Clunisois.

Embellissement de  la traversée de la Grosne dans Cluny, rivière classée torrentielle. L’association  a été à l’origine du Barrage  et a construit une  passerelle.

Restauration des églises :  notamment l’Eglise  St Marcel en rénovant ses vitraux, ses portes venant de l’abbaye  et en ayant en projet la remise en valeur de l’intérieur du chœur et de la nef.

Restitution de la « frise des vendanges »


Frise des vendanges

Rénovation de nombreuses fontaines, notamment la fontaine des serpents, la Fontaine de la place Notre Dame et éclairage des Ponts, Remparts…


Fontaine des serpents

Participation à la mise en place de tablettes tactiles pour la visite de Cluny .
La visite géolocalisée proposée grâce à la tablette numérique , permet au visiteur de recevoir, lorsqu’il s’approche de l’un des 10 points d’intérêt remarquable, des information sur le lieu, des textes descriptifs, de visionner des gravures et des photographies anciennes.
La tablette permet de voir la reconstitution de l’église Abbatiale de Cluny dans le contexte de la ville. Les visiteurs peuvent ainsi se rendre compte de l’emprise architecturale de l’église dans la cité.
http://www.cluny-tourisme.com/Visite-numerique-de-la-Cite-abbaye.html

 

Cortambert notre Patrimoine

Mettre en valeur les richesses culturelles, artistiques, architecturales, archéologiques et hydrauliques de la commune de Cortambert

CORTAMBERT NOTRE PATRIMOINE
Mairie – 71250 CORTAMBERT
Claire JARRY, présidente – 03.85.50.01.94
clairejarry@gmail.com

Aide pour la restauration des vitraux de l’église, réouverture d’anciens chemins, expositions sur le patrimoine, balades découvertes, balisage du « Ban sacré » autour de Cluny.

   https://fappah.fr/wp-content/uploads/2019/01/Cortambert-comp.pdf
Cliquez sur l’image pour découvrir les activités et l’environnement de l’association.

L’association a pour objet de
– mettre en valeur les richesses historiques, culturelles, artistiques, architecturales, archéologiques et hydrauliques de la commune de Cortambert, du bourg, de ses hameaux et lieux-dits ;
– apporter son concours le plus large à l’aménagement et à l’embellissement du bâti et du paysage tout en respectant le caractère de l’habitat rural ;

Déblaiement d’un four à chaux à Varanges 2016

– Préserver le patrimoine naturel local en retraçant d’anciens chemins et en sensibilisant le public à la diversité des paysages, à la faune et la flore locales.

Randonnée sur le ban sacré, balisé par l’association – pause à Collonges – 2016

En dehors d’actions concrètes sur le terrain pour réaliser les objectifs cités, l’association organise des manifestations, expositions, conférences, sorties culturelles pour faire connaître ses activités, recruter de nouveaux membres et autofinancer ses projets dans la mesure du possible :

Sortie ‘Confluences’ à Lyon 2017- Sur les traces de canalisations romaines à Boutavant 2016


Conférence sur le Ban Sacré (2014) – Exposition des œuvres de Johé Gormand, artiste du hameau de Toury (2014)

Quelques exemples des richesses architecturales, archéologiques et hydrauliques de la commune de Cortambert :

Le château de Boutavant, (ou Boutavent), ancienne possession des seigneurs de Brancion puis doyenné fortifié de l’abbaye de Cluny :
le château – faisant face à la forteresse de Lourdon – a été bâti par les Gros de Brancion au XIe siècle afin de mieux défendre leurs domaines face à la puissance grandissante de Cluny.
Mais en 1237, l’abbaye de Cluny obtint Boutavant de Joceran Gros, en échange du doyenné de Beaumont sur Grosne. A la fin du XIIIe siècle, l’abbé Yves II y éleva de nouveaux bâtiments.
En 1470, le château fut pris par les troupes de Louis XI avant d’être occupé, de 1471 à 1476, par Claude Du Blé, au nom de Charles le Téméraire. La demeure échappa aux pillages de juillet 1789 et fut vendue comme bien national en 1790.
C’est actuellement une propriété privée.


Château de Boutavant (privé), ancienne place-forte des sires de Brancion.

La chapelle de Cottes : il s’agit d’une ancienne chapelle romane, que l’on aperçoit à travers les arbres, le long de la voie verte ; « prieuré – ermitage » fréquenté par les moines de Cluny au temps de Pierre le Vénérable, elle faisait partie des dépendances clunisiennes.

Chapelle de Cottes (privée) – Photos JL Maréchal,
d
essin de Pierre-Jean Bardin (maire de Cortambert).

Les richesses hydrauliques de la commune

Lavoirs et fontaines :
Cortambert dispose d’ensembles hydrauliques, réalisés selon les plans de l’architecte Jacquelot Cadet entre 1845 et 1847, que l’on retrouve dans le Bourg et dans les deux hameaux Varanges et Toury : ce sont des fontaines avec abreuvoirs et lavoirs, identiques mais disposés différemment.


Lavoir et fontaine à Toury – Lavoir et fontaine à Varanges – Bâchasse ou abreuvoir du Bourg

Les anciens étangs

Double vannage du 18ème de l’étang des Manches (privé) du bourg de Cortambert dans le bois des Argolets.

Ensemble complexe avec pêcherie et restes de vannes, digue empierrée bien conservée.
Étang comblé actuellement par les dépôts forestiers.

Notre Dame des Roches : dominant les falaises de Varanges, la vallée de la Grosne et toute proche du chemin du Ban Sacré, elle sert de repère aux habitants et aux randonneurs. La statue a été érigée en 1951 grâce aux dons des habitants de 3 villages, (Cortambert, Blanot et Donzy le Pertuis), croyants et athées, en remerciement de la protection de la vierge Marie, lors des bombardements de Cluny, à l’emplacement d’un lieu de rencontre des résistants.

Elle a été restaurée fin 2017 par une professionnelle et des bénévoles des associations de Cortambert, Donzy et Blanot :

Lacrost Patrimoine

Défense et sauvegarde du patrimoine, mise en valeur de sites ou de bâtiments et de leur environnement.

LACROST PATRIMOINE
Mairie de Lacrost. Le Vigny -71700 LACROST
Jérome HENRY, président – 06 07 58 74 63
lacrostpatrimoine@laposte.net
Facebook Lacrost Patrimoine

Actions culturelles et artistiques. Sauvegarde d’un lavoir, expositions, randonnées.

L’association « LACROST PATRIMOINE » a été crée en 2015 . Elle a pour objet la sauvegarde ou la mise en valeur des sites, bâtiments, environnement, des us et coutumes de la commune de Lacrost, et de son histoire.
Le logo de l’association, créé à partir d’un signe gravé dans la pierre que l’on trouve dans plusieurs maisons du village, reflète bien l’esprit de l’association : patrimoine et convivialité.
L’un des objectifs de l’association est la rénovation de la toiture du lavoir, qui a la particularité d’avoir un plafond voûté en pierres, ce qui est rare dans la région. D’autres objectifs seront à étudier comme le recensement des carrières, l’histoire des puits, la recherche de documents anciens, le « Tacot », etc.

La rénovation du lavoir de Marandin

Le lavoir de Lacrost figure sur la liste des biens de la communauté dès la fin du XVIe siècle.
Il est situé au sud du village, en contrebas du chemin de Préty.
Le sol est en dalles de pierres rose. Sur ce sol est posé un bassin, de 60 cm de profondeur environ. Les margelles, également en pierres roses polies sont en pente douce pour permettre le travail des lavandières. Chaque pierre constituant la margelle est taillée avec un système dit «  en cadettes », système unique en son genre, permettant de « marier » les dalles les unes au autres. Un canal en pierre le reliant à un puits permet l’acheminement de l’eau d’une source captée plus haut dans la combe. Tout cet ensemble, sol et bassin, est en bon état.

Le bassin est abrité par une voûte en pierres, elle-même protégée par une toiture qui était en très mauvais état  (photos R. Thénadey sur le site www.lavoirs.org)

Dans un premier temps, à l’automne 2017, la toiture a été rénovée, mettant l’ensemble du bâtiment à l’abri des intempéries :

Les bénévoles ont vidé l’intérieur du lavoir qui avait été rempli de poutres et de palettes
Après cette première étape, il reste a nettoyer, enduire, crépir, les murs extérieurs.

Faire connaître l’histoire du village :  organisation d’expos photos.

en décembre 2015, une exposition photos et documents « Lacrost avant 1911 »

en 2016, une exposition des photos d’école et de classes du village en 2017, « Photos d’hier et d’aujourd’hui »

Une marche, intitulée « La Crotaise », est organisée chaque année en septembre, sur des parcours découvrant les sites et paysages de la commune :

Un loto annuel (en mars) :

Opération « nettoyons la nature » en partenariat avec la Commune :

Le patrimoine de Lacrost

Le village de LACROST est situé sur la rive gauche de la Saône, en face de la ville de Tournus.
Le village est bâti sur un éperon rocheux, son activité jusqu’au milieu du XIXe siècle était centrée sur l’exploitation des carrières de pierres. Les carriers, tailleurs de pierres, et même les Compagnons du Devoir ont laissés leurs emblèmes sur leurs maisons ou pierres tombales.
Une forte activité agricole assurait également la prospérité du village et la population a toujours avoisiné les 700 âmes depuis plus d’un siècle.
Le village de Lacrost a vu naître un enfant illustre, Gabriel JEANTON, qui présida pendant 18 ans le Tribunal Civil de Mâcon. Il a écrit de nombreux ouvrages sur le folklore et l’architecture de la région mâconnaise.

Un enfant de Lacrost…. Gabriel JEANTON

Gabriel Jeanton est né a Lacrost le 15 Mai 1881.
Il habitait dans sa maison de famille dans la cour Julienne.
Il est enregistré sur le recensement communal de 1901. Il partira à Paris pour ses études, et obtiendra son Doctorat a la Faculté de Droit de Paris en 1906.
Pendant 18 ans, il dirigea le Tribunal Civil de Mâcon. Il a également été Président de l’Académie de Mâcon pendant 10 ans, et Conservateur du Musée Greuze.
Il était aussi archéologue, et historien folklorique, et à ce titre, il sera Président de la Société des Amis des Arts et des Sciences de Tournus.
Il est mort le 6 Novembre 1943, à Mâcon, et repose au cimetière de Lacrost. Il a dédié énormément de travaux a la région maconnaise et tournugeoise.
Voici un hommage rendu à Gabriel Jeanton, accompagné de sa bibliographie, par l’abbé M Chaume, extrait des Annales de Bourgogne :  Hommage à Jeanton -1944.
L’un de ses ouvrages local, intitulé « L’ancienne paroisse de Préty en Maconnais », est disponible en ligne sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6558851b

Quelques autres éléments du patrimoine de Lacrost

La fontaine à Chagrin, sur la route de Lacrost à Préty :

Selon une légende locale, une vouivre vivant à Lacrost venait boire à l’eau de la fontain. Comme toutes les vouivres, c’était un serpent ailé en forme de dragon portant une pierre précieuse sur le front appelé escarboucle.

Voici la légende de la vuivre de la fontaine à Chagrin, rapportée par Gabriel Jeanton, dans un ouvrage intitulé « L’ancienne paroisse de Préty en Mâconnais » (VII, p. 210) l  :

« Au fond d’un vallon très frais et propre au mystère, appelé La Combe, coule une fontaine aux eaux claires et froides provenant du coteau de Beauregard, qui domine cette combe. C’est là au milieu de bosquets dont il ne reste plus de traces que venait boire le légendaire animal (…). Pour boire, la vuivre devait déposer son diamant.
Un habitant de Lacrost, nommé Chagrin, se munit d’un cuvier garni de clous très aigus et vint se cacher sous ce cuvier au bord de la fontaine. Lorsque la vuivre vint y boire, il avança lentement et plaça son cuvier sur le diamant. Le serpent volant revint où il avait laissé son précieux fardeau : en vain essaya-t-il d’enfoncer l’abri; transpercé par les pointes acérées des clous il succomba. Depuis la fontaine est réputée pour guérir les maux d’yeux. Par contre son eau passait pour occasionner des coliques. »

Selon d’autres sources, la vouivre se serait fait voler son escarboucle, alors qu’elle l’avait déposée pour boire. Aveuglée, elle en périt.

Il y a deux hypothèses pour le nom de la fontaine : la tristesse de l’histoire ou le nom du tueur de la vouivre.

La Nécropole des Près -de-l’Eau, vestige gallo-romain

La nécropole des Près-de-l’Eau occupe une superficie d’une quinzaine d’hectares à 700 mètres de la Saône sur la rive gauche. Il comporte une quarantaine de tumuli selon trois lignes approximatives orientées nord-sud parallèlement à la rivière. Les tumuli sont plus nombreux au sud, mais plus grand au nord. Leurs dimensions varient de 5 à 45 mètres de diamètre et de quelques centimètres à 1,8 mètre de hauteur.

Une urne trouvée dans un tumulus et exposée au musée Greuze de Tournus

Deux de ces tumuli sont classés au titre des monuments historiques.
Sur le site, ont été trouvés des silex taillés de l’époque néolithique et une pointe de flèche datant de la fin de l’Âge de la Pierre Polie vers 2500 av. J.-C. Cela prouve une longue fréquentation des lieux. Ont également été retrouvés des tessons de poteries et objets métalliques de l’époque gauloise bien ultérieure à celle de l’élaboration des tumuli. La forme et le décor des vases recueillis permettent de les dater de la période du bronze vers 800 av. J.-C….

Rempart Bourgogne Franche-Comté

Mouvement associatif de sauvegarde du patrimoine et d’éducation populaire. Coordination des chantiers de bénévoles des associations membres de la Fédération.

REMPART BOURGOGNE FRANCHE-COMTÉ
38 rue des Forges 21000 DIJON
Jean-Paul GUILLAUMET, président
bourgogne@rempart.com
http://www.rempart.com  
www.facebook.com/federation.rempartbfc

La Fédération REMPART Bourgogne Franche Comté est une structure régionale, adhérente de l’Union Nationale REMPART ; elle coordonne une quarantaine d’associations de sauvegarde du patrimoine qui proposent des chantiers de bénévoles.
La Fédération est agréée Jeunesse et Éducation Populaire, et reconnue d’Intérêt Général.

Les chantiers

La Fédération accompagne les associations dans la mise en place de leurs travaux.
Parmi ses tâches : faire le lien avec les services des Monuments Historiques, gérer les demandes et les attributions de financements, mutualiser les comptes de gestion des associations pour venir en aide aux associations en difficulté, recruter et former les bénévoles et les animateurs qui participent aux chantiers, gérer les dossiers administratifs des projets des associations.

La Fédération gère les relations et représente les associations au sein de l’union Nationale REMPART, du G8 Patrimoine, avec  les partenaires publics dont la DRAC, la direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, le Conseil régional, les conseils départementaux, les collectivités, les partenaires privés comme la Fondation du Patrimoine.

Une quinzaine de chantiers sont organisés chaque année en Bourgogne Franche Comté, dont la plupart gérés par les associations membres de la Fédération, certains en régie directe, soit environ 150 volontaires internationaux.

Les techniques mises en œuvre sur les chantiers sont variées, comme en témoignent les photos ci-après : restauration de peintures murales, technique du bois,  enduits à la chaux, maçonnerie, pierre sèche, taille de pierre, … Les chantiers sont également, pour les bénévoles, une occasion d’expérimenter la vie de groupe, de découvrir le patrimoine local, de rencontrer les associations et la population locale.

La grange de la Saule à St-Nicolas de Citeaux – le château Pontus de Tyard

 
La péniche Aster à St-Jean de Losnes – les jardins de la maison Jacques Copeau


Les remparts de La Charité sur Loire – pierre sèche au château de Villars

Fresque de la cathédrale Ste-Bénigne à Dijon – peinture murales à Joigny


Le domaine de Charly – peintures murales à Buffières


Décors du fort de la Motte-Giron à Dijon – entretien du site archéologique des Bolards à Nuits-Saint-Georges


Le doyenné St-Hippolyte – le prieuré du Puley

Les autres actions de la Fédération :

un service éducatif

Le service éducatif de REMPART Bourgogne Franche Comté anime des activités en direction des scolaires, de la maternelle au collège.

ci-contre un atelier de construction de cathédrale miniature, pour des élèves de 5ème

des actions de communication

 
Animations d’ateliers lors de la Journée de l’Enfant, lors des Journées Européennes du Patrimoine

Les 40 ans de la REMPART Bourgogne Franche Comté

En 2017, la Fédération a fêté ses 40 ans au château de Pontus de Thiard :

Dossier de presse : reportages FR3, France Bleu, … :

L’Union Nationale REMPART : agir ensemble pour le patrimoine

Depuis 1966, l’Union Nationale Rempart s’emploie à la sauvegarde et la promotion du patrimoine, avec la participation de 170 associations locales ou régionales.
site national : https://www.rempart.com/

Trouver un chantier :
https://www.rempart.com/participer-a-un-chantier/rechercher-chantier-benevoles-restauration-patrimoine/

Tremplin Homme et Patrimoine

Actions centrées sur le développement et l’épanouissement de l’individu en s’appuyant sur des projets de sauvegarde, de restauration et de mise en valeur du patrimoine archéologique et bâti.

TREMPLIN HOMME ET PATRIMOINE
Espace Revermont – Site médiéval de Brancion
71700 MARTAILLY-LÈS-BRANCION
Michel JONDOT, coordonnateur 03 85 32 90 30
m.jondot@tremplinhp.com
http://www.tremplinhp.com
https://www.facebook.com/tremplinhp/

Chantiers d’insertion, organisation de formations, séminaires.
Participation au renouveau et à l’animation du site de Brancion.

TREMPLIN Homme et Patrimoine propose des actions centrées sur le développement et l’épanouissement de l’individu en s’appuyant sur des projets de sauvegarde, de restauration et de mise en valeur du patrimoine archéologique et bâti. Utilisé comme outil de médiation, le patrimoine permet de redonner du sens, de développer l’approche diagnostique, de mettre en mouvement une démarche de projet. S’investir dans un projet de restauration permet d’acquérir et de développer des compétences d’employabilité durables : cohésion d’équipe, gestion de conflits, anticipation, programmation, planification… et de nombreuses compétences spécifiques : taille de pierre, limousinerie, enduits, charpente, couverture… A travers des mises en situations pratiques, le projet pédagogique de TREMPLIN Homme et Patrimoine permet de conduire simultanément et conjointement, par effet miroir, le projet au service du développement des personnes et la restauration et la mise en valeur du patrimoine.
TREMPLIN Homme et Patrimoine propose des activités et des actions en direction :

  • des cadres soucieux d’un management humain de leurs équipes,
  • des salariés inscrits dans une démarche de validation de leurs compétences ou dans un projet de conversion,
  • des demandeurs d’emploi et des bénéficiaires des minima sociaux en quête d’un repositionnement social et professionnel,
  • des professionnels du patrimoine à la recherche de performance,

des particuliers passionnés d’histoire.

Quelques réalisations sur le site médiéval de Brancion


Restauration de la“ Maison Tiger“,

Mise en place d’un jardin thématique.
Cet espace est également utilisé pour exposer des  artistes locaux dans le cadre du “Sentier de la sculpture“.

Restauration de la maison “Rabut“, considérée comme la plus ancienne du site et utilisée pour des expositions.


Réhabilitation d’un ensemble dit « Les granges Mathieu ».
Prolongé d’une terrasse et équipé d’une cuisine adaptée pour la restauration.

Autres chantiers Tremplin HP.

Bibracte, sur l’actuel Mont-Beuvray, au sud de la Bourgogne et à la pointe méridionale du massif du Morvan, fut au 1er siècle av. J.-C. une agglomération fortifiée de quelques centaines ou quelques milliers d’habitants.
L’oppidum s’étendait sur 200 hectares. Sa plus ancienne enceinte avait sept kilomètres de long.
C’était la capitale des Éduens, peuple celte qui occupait une grande partie de l’actuelle Bourgogne.

La Tour du Bost, imposant donjon quadrangulaire de 14,75 m de long sur 12,75 m de large, s’élève dans son état actuel à 30 m au-dessus du sol. C’est une tour de défense, avant-poste des anciens châteaux de Montcenis et d’Uchon, mais aussi un lieu de résidence et de prestige, chef-lieu d’une seigneurie importante de la région, riche d’événements souvent dramatiques durant toute son histoire. La date de sa construction est inconnue, mais estimée selon les spécialistes au XIVe siècle. Il s’agit d’un bâtiment unique en son genre, qui possède un escalier aménagé dans les murs et montant du sous-sol jusqu’au sommet. Détruite en partie par un incendie en 1920, elle risquait de s’effondrer. La création d’une association de sauvegarde, « La Tour du Bost », a permis de la faire progressivement renaître.


Le Conseil Départemental de Saône-et-Loire en charge de la gestion des grottes d’Azé a fait appel à Tremplin hp pour la réalisation d’une passerelle pour permettre aux visiteurs de surplomber en toute sécurité la rivière souterraine.

Chapelle de Bourgvilain
Chapelle de Bourgvilain.                                            Barbette de Martailly

Résonance Romane en Bourgogne du Sud

Créée en 2005, Résonance Romane en Bourgogne du Sud était une association chargée de valoriser et de promouvoir le patrimoine roman du département de Saône-et-Loire.

Résonance Romane était constituée de représentants d’associations culturelles spécialisées dans l’art roman, de structures touristiques et d’institutions.
Elle avait pour objectifs la mise en œuvre d’actions permettant de favoriser la connaissance de l’art roman ainsi que le développement économique et l’aménagement harmonieux du territoire. Son rôle consistait également à fédérer les initiatives et les actions relatives au patrimoine roman.

En mars 2019, les adhérents de l’association Résonance Romane et ceux du C.I.E.R ont décidé de fusionner leurs deux associations au sein du C.I.E.R Résonance Romane. (voir la page CIER -Résonance Romane/)


 

 

VMF 71 – les Vieilles Maisons Françaises

Contribuer à la sauvegarde et à la valorisation du patrimoine bâti et paysager.

VMF – LES VIEILLES MAISONS FRANÇAISES
Louis de CONTENSON,
délégué adjoint pour la Saône-et-Loire
Château de Sercy – 71460 SERCY – 03 85 92 67 68
louis.de-contenson@orange.fr
http://www.vmfpatrimoine.org/delegation/delegation-de-la-saone-loire
Claude de CHATELLUS, délégué pour la Saône-et-Loire, tél. 06 08 73 83 55 – 03 85 52 54 22   claude.dechatellus@yahoo.com
Association créée en 1958  et reconnue d’utilité publique en 1963, les Vieilles Maisons Françaises se consacrent à la sauvegarde et à la mise en valeur du patrimoine bâti et paysager.
Présidée par Philippe Toussaint (lien YouTube), l’association rassemble près de 18 000 adhérents, propriétaires ou passionnés, au sein de 95 délégations départementales qui jouent un rôle très concret sur le terrain. Les délégués aident et conseillent leurs adhérents en matière de restauration, assurances, fiscalité, montage de dossier de protection, etc. Ils ont aussi des relations suivies avec les pouvoirs publics locaux et siègent dans les commissions compétentes en matière de patrimoine, d’environnement, d’urbanisme.

Le château de Sercy

Une association, un magazine, une fondation au service du patrimoine bâti et paysager

Site national des VMF et délégations départementales : http://www.vmfpatrimoine.org/delegations/delegations-departementales/

Les VMF défendent tous les types de patrimoines (privé, public, protégé, non protégé, patrimoine historique, petit patrimoine, bâti, paysager). On note une aggravation des périls sur les monuments. Les sites paysagers font aussi l’objet de menaces : mitage, étalement urbain, banalisation des campagnes… En sensibilisant habitants et élus locaux, les VMF permettent une prise de conscience de l’état du patrimoine en France.

INTÉGRER L’ENVIRONNEMENT ET LA CADRE DE VIE DANS LA DÉFENSE DU PATRIMOINE
Préserver le bâti, c’est aussi préserver l’environnement, le cadre de vie et les paysages qui l’entourent. En matière d’énergies renouvelables, Les VMF poursuivent le combat contre la défiguration des paysages par l’implantation massive d’éoliennes, et restent vigilantes quant aux normes énergétiques qui seront appliquées au bâti ancien.

FAIRE CONNAÎTRE LES MÉTIERS D’ART, VÉRITABLE PATRIMOINE IMMATÉRIEL
Les VMF encouragent la préservation et la transmission des techniques et les savoir-faire des artisans, qui, en participant à l’entretien d’un édifice, font revivre les demeures privées.

SENSIBILISER LE PUBLIC
– Un site internet www.vmfpatrimoine.org mis à jour régulièrement, véritable outil pour suivre l’actualité du patrimoine mais aussi la vie de l’association à travers ses délégations.
– Une Newsletter
– Des opérations nationales qui contribuent à attirer l’attention sur le patrimoine : sensibilisation des élèves en classe de primaire, formation des élus au patrimoine…
– Des conférences de presse lorsqu’un sujet d’actualité cache une menace pour le patrimoine comme l’implantation massive d’éoliennes, ou l’extension de Roland Garros sur les serres d’Auteuil.
– Des colloques, tables rondes ou journées d’études en fonction de l’actualité.

POUR LES ADHÉRENTS VMF
Attribution du label « VMF Patrimoine historique » , reconnaissant la qualité architecturale d’une demeure
– Attribution de prix de sauvegarde nationaux et départementaux
– Développement du mécénat privé des entreprises et des particuliers

Maisons Paysannes de France 71

Sauvegarde du patrimoine rural, en favorisant l’entretien et la restauration du bâti traditionnel, en respectant son identité et ses qualités environnementales irremplaçables, en protégeant les paysages, en encourageant une architecture contemporaine de qualité en harmonie avec son environnement.

MAISONS PAYSANNES DE FRANCE, DÉLÉGATION DÉPARTEMENTALE :
Le Fugaud
71110 SEMUR-EN-BRIONNAIS
Hubert CATELAND, délégué Saône-et-Loire 03 85 25 09 43
hubert.cateland@yahoo.fr
http://bourgogne.maisons-paysannes.org/
Correspondant Charolais-Brionnais  et Communication MPF71
Baby CATELAND 03.85.25.09.43
communication.mpf71@gmail.com

Correspondant Autunois-Morvan Côte Chalonnaise :
Michel SERVIGNE 03 85 56 16 71
michelservigne@netc.fr

Correspondant Maconnais-Tournugeois-Clunysois :
Gilbert GUILLET 03.85.25.88.06
guilletgilbert@orange.fr

Correspondant Bresse Bourguignonne :
Jean-Pierre BACHELET-BROCHOT 03.85.74.78.84
bachelet.jean-pierre@wanadoo.fr

Revues, conseils, édition, expositions, visites.

En Saône-et-Loire, MPF 71 aide les particuliers et les collectivités locales dans leurs projets en faveur du patrimoine rural. Elle entreprend de nombreuses actions afin de mettre en lumière les techniques de construction traditionnelles et éco-responsables : stages de formation, sorties découvertes du patrimoine, visites-conseils …

Chapelle aux Moines (Berzé la Ville)

Château de Balleure
stage Peintures naturelles
visite du patrimoine bâti de la Chapelle-sous-Brancion

 Stage d’initiation aux joints et enduits à la chaux, St Clément sur Guye

Exposition « Bâti rural et paysages »  à Cluny, visite de 3 maisons contemporaines

chantier Murs en pierres sèches

Pour découvrir l’ensemble de nos activités : http://bourgogne.maisons-paysannes.org/dpt/saone-et-loire/nos-activites

Maisons Paysannes de France, une expérience unique de cinquante ans pour la connaissance et la sauvegarde du patrimoine rural bâti et paysager.

Pour découvrir nos actions (la revue, le Prix Architecture et Patrimoine, les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins, les maisons anciennes et les économies d’énergie, l’architecture contemporaine, les matériaux,etc.) nos fiches conseils, nos ouvrages, notre base documentaire, nos actualités et notre agenda, consultez le site national : http://www.maisons-paysannes.org/

Patrimoines d’Azé

Recensement, sauvegarde, entretien et mise en valeur des patrimoines historiques, paysager et populaire d’Azé.

PATRIMOINES D’AZÉ
Mairie, place Claude-Guichard – 71260 AZÉ
Simone MARIOTTE, présidente – 03 85 33 32 40
simone.mariotte@orange.fr

Patrimoines d’Azé, association créée en 2008 pour inventorier, entretenir et sauvegarder les patrimoines bâti, paysager, culturel, traditionnel et sensoriel de la commune d’Azé.
Des activités diverses concourent à ces objectifs, elles peuvent intéresser des personnes de tous âges et de toute origine.

DOMAINES INVESTIS

  

Le Bâti:
– remise en état de petits ponts sur la Mouge
– construction d’un four à pain
– rénovation du chœur de l’église



Paysage
– plantation de « petits vergers à croquer »
– balades des vieilles pierres (lavoirs, puits, moulins, cadoles, murgers…)
– réalisation d’un jardin aromatique


   


Culture et art
– exposition Halles du Az’Art
– peintres au village
– concerts
– théâtre
– conférence


Traditions et mémoire
– exposition 1915-2015 : Azéens « Morts pour la France »
– exposition « un siècle de conscrits à Azé »
– Animations : les lavandières, recettes anciennes



Sensoriel
– bourse annuelle aux plantes potagères et aromatiques
-expositions de champignons
– expositions « fruits et saveurs d’automne » avec dégustations.
Partenariats avec d’autres associations du patrimoine, les foyers ruraux et les associations azéennes pour des projets ponctuels.


Nos projets
– Mise en place de façon pérenne des oeuvres de Michel Bouillot dans l’église d’Azé.
– Nettoyage de la croix du Calvaire Saint Etienne
– Livret FAPPAH : « Sur les pas de Michel Bouillot » / le 1er juillet 2018 organisation, avec Lugny-Patrimoine, de la découverte du parcours du Haut-Mâconnais, avec les habitants des sept communes traversées.
– Réalisation et pose de panneaux signalétiques dans les « petits vergers à croquer » et sur le site du lavoir Saint-Etienne.
– Réalisation d’un album rappelant l’exposition sur « Un siècle de conscrits à Azé », pour un dépôt à la Bibliothèque et à la Mairie.
– Etude de la mise en valeur des vitraux de la façade Ouest de l’église en partenariat avec la Mairie d’Azé.
– Concours photos « Les belles pierres d’Azé » : exposition et désignation des meilleurs clichés au cours de la manifestation des Halles du Az’Art le 8 septembre 2018.

PARTICULARITÉ TOURISTIQUE ET CULTURELLE D’AZÉ

            
http://www.grottes-aze71.fr

On a dénombré sept cavités sur le site des grottes d’Azé mais seules deux sont accessibles au public
La grotte préhistorique qui a été occupée en alternance depuis 300 000 ans par les hommes et par les grand fauves du quaternaire, ours et lions des cavernes.
La rivière souterraine, par une exploration récente, en 1963, permet de remonter sur plus de 400m.

Pour plus d’information sur le patrimoine d’Azé, voir le site de la commune :
http://www.aze.fr/fr/information/95460/patrimoine

patrimoines_FAPPAH_video

Vallons Ensemble – Burgy

Maintenir et améliorer la qualité de vie ; protéger et valoriser l’environnement et le patrimoine ; favoriser la vie culturelle.

VALLONS ENSEMBLE
Le Bourg – cidex 0328 – 71260 BURGY
Aymeric MAISONHAUTE, président
03 85 33 20 29
vallonsensemble@gmail.com
http://vallonsensemble.free.fr

Information de la population et mobilisation contre un projet d’extension de la carrière de Lugny sur la commune de Burgy, balades, soirées rencontres, concert au profit de la restauration de l’église.

Le projet d’extension de la carrière :

Créée en 2009, l’association Vallons Ensemble s’est donnée pour première mission d’informer et de communiquer le maximum d’informations autour du projet d’extension de la carrière de Lugny sur la commune de Burgy, par la société Grosne Terrassement :

La carrière se situe sur le versant Ouest du Mont de la Péralle, dominant les Communes de Lugny, Burgy et Péronne, situé dans une Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Floristique et Faunistique de type II, composé de grands ensembles naturels (vallées, plateaux, massifs forestiers, landes, …).
Malgré ce classement, le site accueille une carrière produisant des granulats qui alimentent en sable de granite la briqueterie de Pont-de-Vaux.

Vue aérienne du projet : en bleu clair la carrière de Lugny, en bleu foncé le terrain en location sur Burgy, en rouge la surface d’exploitation du projet de carrière de Grosne terrassement sur Burgy.

 

Pour plus de détails, voir le site de l’association :
documents http://vallonsensemble.free.fr/documents.html et dossier de presse.

Le patrimoine :

L’association organise des rencontres et manifestations pour faire connaître et valoriser le patrimoine local :

Balades-découvertes archéologiques entre l’église du belvédère et le mont de la Péralle, décoration du village par les habitants

Un petit village à flanc de coteau

Burgy est un village viticole de 117 habitants, qui domine les collines et vignobles de la région de Lugny

L’église romane Saint-Jean-Baptiste, classée MH, est perchée sur la montagne du Belvédère, à 400m d’altitude. Elle date du XIe XIIe siècle et a été remaniée à l’époque gothique et au XIXe siècle.


Pour plus d’information sur l’église : http://burgy-patrimoine.fr/ et
www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Burgy.pdf

Dans une niche aménagée dans le mur extérieur d’une maison qui borde la rue principale du bourg, on découvre une  Pietà ou Vierge de Pitié, en pierre du début du XVIe siècle, inscrite aux Monuments Historiques en 1932.
Pour plus d’information : La pieta de Burgy

Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Clesséen

Sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine clesséen, bâti et non bâti.

ASSOCIATION POUR LA SAUVEGARDE DU PATRIMOINE CLESSÉEN
Cidex 528 route de Rousset – 71260 CLESSÉ
Christian DUMONT, président – 06 60 78 18 21
leclosdumont@orange.fr
facebook Patrimoine Clessséen

Conserver, faire connaître et faire vivre le patrimoine matériel et immatériel du village: architecture, paysages et traditions.
En premier lieu, contribution à la rénovation des toitures de l’église Sainte-Marie du bourg.


Eglise Sainte Marie.

Édifiée au XIIème siècle, cette église a été fortement remaniée au XVème siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans. Cet édifice lumineux a conservé une haute nef, voûtée en cintre brisé. Son clocher, très décoré, a été considéré par Viollet-le-Duc, comme un modèle de clocher bourguignon.
L’ Association a officiellement vu le jour, suite à l’assemblée Générale du 22 juin 2015, faisant suite à une première réunion qui s’était tenue le 23 Mars 2015
Lors de l’Assemblée générale qui s’est tenue le 20 Juin 2016, les membres ont rappelé le but de cette Association : la protection et la mise en valeur du patrimoine bâti, religieux et laïc, et non bâti.

 http://www.clesse71.fr/fr/association/1/23783/association-sauvegarde-patrimoine-clessen

 

Une loterie au profit de l’Association a été organisée pendant le marché d’été en 2015. Monsieur Leroy, sculpteur installé à Clessé, a gravé en public un panneau de bois, spécialement dédié à cette opération.


Concert du quatuor Marmont et 1er concert de l’Association dans l’église de Clessé, par le groupe mâconnais Buxtehude , dirigé par Roland MENEGUZ .


Concert du Trio Crescendises 2017

Visite guidée.
Une souscription auprès de la fondation du patrimoine est ouverte jusqu’à la fin des travaux)

 https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/eglise-a-clesse

Mise en vente de la cuvée du patrimoine, opération de « produit/partage » avec la coopérative de Clessé et vente de gaufrettes Mâconnaises au printemps du cru Viré Clessé


Nettoyage annuel des 3 lavoirs municipaux

Organisation de deux jours d’hommage à Emile Violet :
Emile Violet, né à Clessé en 1877, mort à Mâcon en 1965, descendait d’une lignée de vignerons de Clessé. Il fut à la foi un vigneron et un érudit autodidacte, membre titulaire de l’Académie de Mâcon et auteur de nombreux ouvrages
Il a consacré son énergie à faire connaître la vie paysanne dans les villages du Mâconnais et les traditions qu’il voyait s’effacer peu à peu. Il s’est consacré également à la préservation du patrimoine bâti, public et privé.
Sa contribution à la préservation et à la mise en valeur du patrimoine architectural et culturel de nos villages mérite l’hommage qui lui a été rendu les 3 et 4 décembre.
Le Conseil départemental de Saône-et-Loire, l’Académie de Mâcon, les Archives départementales de Saône-et-Loire ont été partenaires de cet événement organisé par l’Association pour la sauvegarde du patrimoine « clesséen » en collaboration avec la Municipalité de Clessé.


Exposition de costumes traditionnels                       Groupe folklorique    
Soupe paysanne et Conférence de J.P Sylla sur la société rurale en Mâconnais au temps d’Emile Violet.

Le mégalithe de Belange

Dans le but de mieux faire connaître les richesses parfois méconnues de Clessé, une équipe de l’association a réalisé le recensement des chemins communaux et des puits collectifs. Un état des lieux est maintenant disponible et un rendez vous avec la Municipalité a permis de faire le point et de discuter de l’utilisation qu’on pourrait en faire.

Ouverture d’un chemin de promenade au « Clos Chantôt »

CLESSÉ : L’ART ET L’ARTISANAT À L’HONNEUR

En 1990, la municipalité a ouvert dans le tinailler de la maison Guiochon, généreux donateur de son patrimoine à la commune de Clessé, une galerie d’exposition très connue dans la région « La mémoire de pierre »
De nombreux artistes viennent exposer leurs œuvres et de magnifiques maquettes des monuments de la région, en pierre de lave réalisées par Jean PIERRE y sont présentées en permanence.


Expositions d’artistes dans la salle « La mémoire de pierre »

pour plus d’information : http://www.clesse71.fr/fr/information/39523/musee-pressoir

Société des Amis des Arts et des Sciences de Tournus – SAAST

Promouvoir le maintien et la mise en valeur du patrimoine local.

SOCIÉTÉ DES AMIS DES ARTS ET DES SCIENCES DE TOURNUS – SAAST
Le Pas Fleury – 71700 TOURNUS
André TALMARD, Président – 03 85 51 36 31
contact@saast.fr
https://saast.fr
https://www.facebook.com/saast71/
www.facebook.com/GRAT71

Bulletin annuel.
Fouilles, relevés, découvertes archéologiques.
Restauration de cadoles en pierres sèches avec REMPART. Événements : anniversaires de Tournusiens célèbres, histoire de la cité.
Sorties, voyages, expositions, conférences.

Depuis sa création en 1877, la Société des Amis des Arts et des Sciences de Tournus joue un rôle essentiel dans la préservation, l’enrichissement et la connaissance du patrimoine de Tournus et de sa région.

La SAAST assure, selon ses moyens, la préservation, la mise en valeur et la connaissance du patrimoine local, qu’il soit historique, architectural, archéologique, artistique, naturel ou paysager.

Dans ce but :

* Elle conduit des recherches dans les domaines de sa compétence (archéologique et historique essentiellement), réalise ou suscite des études scientifiques, artistiques (beaux-arts, littérature, etc.).
Sa section GRAT (Groupement de Recherches Archéologiques de Tournus), actuellement sous la direction de Jean DURIAUD, multiplie les prospections et les découvertes, destinées à établir l’inventaire archéologique du Tournugeois.

* Elle poursuit la publication de son bulletin annuel dont la collection 1879-2012 est disponible en version numérisée sur Gallica.

* Elle initie des événements destinés à mettre en valeur et enrichir le patrimoine mémoriel de Tournus : colloques ou événements festifs (Rencontres Albert Thibaudet en 1986 et 2007, Journées Cortot en 2012, Millénaire de la consécration l’abbaye Saint-Philibert pour 2019).
Elle organise 5 à 7 conférences par an, sur tout sujet et offre les services de sa bibliothèque.
Elle propose également des promenades découvertes.

* Elle aide à la restauration du patrimoine local. A l’initiative du président Régis DASSONVILLE, la SAAST a restauré de nombreuses cadoles et est devenue spécialiste de la pierre sèche

* Elle travaille avec l’appui de la DRAC, du Conseil régional,du Conseil départemental, de la Municipalité, et en partenariat avec d’autres associations comme le Centre International d’Etudes Romanes (CIER).

Des permanences ont lieu au local de la SAAST au Pas Fleury tous les samedis de 10h à 12h (sauf juillet/août et jours fériés).

Visites du château de Fléchères et du château de Lourdon

Pierres et Mémoire – Martailly-lès-Brancion

Entretenir et sauvegarder le petit patrimoine bâti communal. Réunir et faire redécouvrir tous documents et témoignages relatifs au passé du village.

PIERRES ET MEMOIRE
Mairie 71700 MARTAILLY-LÈS-BRANCION
Jean TOUZOT, président – 03 85 51 70 49
martaillypierresetmemoire@gmail.com
http://pierresetmemoire.blogspot.fr
http://pierres-et-m.blogspot.fr

Chantiers REMPART, restauration de l’église et du patrimoine vernaculaire, signalisation d’une cadole, organisation de brocantes, concerts, sorties, conférences, édition de brochures, descente aux flambeaux dans les vignes, etc.

Photos décrivant les travaux entrepris, nos manifestations annuelles et la convivialité  de notre association :

Les Barbettes


Rénovation du toit du lavoir de jeune fontaine,  restauration des grilles du cimetière

Restauration de la croix de mission, chantier REMPART de restauration de l’église

Brocante

Repas des membres de l’association

Descente aux flambeaux dans les vignes 2016

 

Martailly-lès-Brancion, village blotti  au milieu des vignes

Le village de Martailly-lès-Brancion, 133 habitants et 885 hectares est resté un village rural où l’agriculture est surtout tournée vers la vigne.
Il reste un village préservé aux maisons typiques du Haut-Mâconnais.

Situé au coeur du Pays d’Art et d’Histoire « Entre Tournus et Cluny », l’activité touristique y est fleurissante grâce au site médiéval de Brancion qui domine le village.

Le village, entouré de forêts est le point de départ de nombreuses balades et randonnées.

Pour en savoir plus sur la commune de Martailly : martailly-les-brancion.blogspot.fr

Fiche de l’église de Martailly : Pastourisme71 Martailly les Brancion

La Musardine – Uchizy

Valoriser le patrimoine d’Uchizy et des alentours.

LA MUSARDINE
Rue du Bief
71700 UCHIZY
Janine DELAHAYE, présidente
association.lamusardine71@orange.fr
https://www.facebook.com/lamusardine

Valoriser le patrimoine local en y organisant des manifestations artistiques et culturelles : concerts, expositions, conférences, etc.

L’association «  La Musardine » s’inscrit profondément dans la vie du village : elle a pour objet la valorisation du patrimoine d’Uchizy en y organisant des manifestations artistiques et culturelles.

Chaque fois qu’il est possible, elle recherche la collaboration  d’autres associations. Ainsi depuis sa création en 2013, « La Musardine » propose, chaque année, 4 ou 5 concerts en l’église Saint-Pierre entre mai et octobre, au moins une exposition (y ont participé le Comité de Jumelage,  les 3AT, l’Amicale philatélique de Tournus, le GRAT) et une conférence.

Elle participe activement aux Journées du Patrimoine et au Joli mois de l’Europe et implique une fois par an la participation du corps enseignant et des enfants de la commune à l’une des manifestations qu’elle organise.

Concert en l’église Saint-Pierre d’Uchizy


Quizz et buvette !

 

Uchizy, entre vignoble mâconnais et plaine de la Saône

Le village d’Uchizy s’est peu à peu constitué près d’une source abondante qui alimente actuellement le grand lavoir de la place de la Fontaine. Des villas gallo-romaines dont on a retrouvé des vestiges (Luzé, Benin) et des petites exploitations agricoles se sont installées le long du ruisseau issu de cette source et en bordure des principaux chemins.

Le village s’est vraiment constitué après qu’en 878 le roi de France Louis le Bègue l’eût donné aux moines de Saint-Philibert venus s’installer à Tournus. Pour gérer leur nouvelle possession, ils établissent autour de l’église un prieuré avec ses dépendances : puits, écurie, grange, fenils, volière, four, pressoir et grange des dîmes. Plus tard ils vont l’entourer d’une enceinte fortifiée puis d’une seconde où s’installent quelques demeures de gentilshommes et des petites maisons dans lesquelles les habitants trouvent refuge en période de danger. Protégés par de larges fossés qui se laissent encore deviner, c’est « le château », le bourg actuel.

Eglise Saint-Pierre d’Uchizy

L’église a toujours été dédiée à saint Pierre. C’est une église romane à trois nefs, de la fin du 11ème siècle. Le beau clocher carré a été rehaussé d’un étage pour servir de tour de guet.
Curieusement, l’entrée se fait par les bas-côtés, car dès l’origine une construction a été accolée à l’ouest de l’église : prieuré, puis maison seigneuriale, mairie, école et maintenant bibliothèque et salle de réunion.

Au sud du village, la chapelle Saint-Humi (nom local de Saint Hymetière, moine du Jura au VIème siècle) était un lieu de pèlerinage où l’on venait prier pour être protégé de la foudre et pour la guérison des enfants chétifs et des sourds.

Entre coteaux du vignoble mâconnais et plaine paisible de la Saône, Uchizy est l’une des communes les plus étendues et les plus peuplées du canton de Tournus. Située sur la rive droite de la Saône, elle possède en outre de vastes terrains communaux sur la rive gauche, desservis par un pont mis en service en 1865.

La Mémoire Médiévale – Brancion

Préservation et rayonnement du site de Brancion.

LA MÉMOIRE MÉDIÉVALE
Château de Brancion
71700 MARTAILLY-LÈS-BRANCION
Lisa VITALI – secrétaire générale – 03 85 32 19 70
chateaudebrancion@orange.fr
http://www.chateau-de-brancion.fr
https://fr-fr.facebook.com/brancion/

Restauration, mise en valeur et ouverture du château à la visite, expositions, fête médiévale, nombreuses animations
Point Information Touristique.

L’association La Mémoire Médiévale veille depuis 1972 à la préservation et au rayonnement du site de Brancion. Depuis 2005 elle est gestionnaire du château, Monument Historique privé, par bail emphytéotique : elle ouvre l’édifice à la visite et est maître d’ouvrage des travaux de restauration.
L’association poursuit également ses deux missions initiales : ouvrir et entretenir l’église et proposer des animations culturelles sur le site.

Depuis 2005, l’association a donc entamé des travaux de mise en sécurité sur la base du programme de travaux élaboré par Frédéric Didier, Architecte en chef des monuments historiques, et Pierre Raynaud, architecte avec un triple objectif :
Assurer la sécurité des visiteurs et permettre la réouverture progressive de la totalité du château à la visite.
Intégrer au mieux les aménagements nouveaux dans le site en figeant l’existant plutôt que de reconstruire.
Permettre aux visiteurs de distinguer la maçonnerie d’origine des restaurations.

Ces travaux sont réalisés au rythme d’une tranche par an et bénéficient du soutien financier de la DRAC Bourgogne Franche-Comté et du Conseil départemental de Saône-et-Loire.

En plus de la gestion du château, l’association
participe à la sauvegarde de l’église, l’entretient et l’anime : participation au financement des travaux de mise hors d’eau et d’assainissement, prise en charge des frais d’entretien courant et création de panneaux explicatifs et de guides de visites autour des peintures murales.
développe des animations culturelles sur le site : concerts, expositions temporaires, visites thématiques, week-end jeux anciens, fête médiévale, animations du site pour les Journées des Métiers d’Art et les Journées du Patrimoine. Des partenariats sont souvent mis en place, notamment avec le Pays d’Art et d’Histoire entre Cluny et Tournus et l’association Tremplin Homme et Patrimoine.

Journées corvée + repas !


Week-end médiéval 2017


Journées des Métiers d’Art 2016


Visite du château théâtralisée

Brancion, splendeur du Moyen-Âge

Au coeur de la route romane qui relie les abbayes de Tournus et Cluny, perché sur un éperon rocheux, Brancion vous accueille et vous emmène à la découverte d’un moyen-âge rêvé : porte fortifiée, donjon dominant le village et l’église romane, panoramas exceptionnels et flâneries dans un site entièrement piéton.

Site médiéval de Brancion (photo Buck Rodgers)

Enserré dans un écrin de verdure, le château est un lieu où le temps semble s’être arrêté. Il a la particularité de présenter plusieurs types d’architecture castrale du XIème au XIVème siècle.

Blotti entre le château et l’église, le village offre un dédale de ruelles fleuries où il fait bon flâner. Sur la place centrale (le «plâtre commun»), se dresse la halle du XVIème siècle.

D’époque romane, l’église Saint-Pierre domine un paysage préservé, forgé par des centaines de générations de paysans.
Elle abrite des peintures murales de la fin du XIIIème siècle et le gisant de Josserand de Brancion, mort à la bataille de la Mansourah en 1250 (7ème croisade).

Juste à côté se trouve le jardin de simples créé par l’association TREMPLIN Homme et Patrimoine.

Halle, château et église Saint-Pierre

Culture et Patrimoine – La Chapelle-sous-Brancion

Mettre en valeur le patrimoine de la commune, en garder mémoire et le faire connaître (demeures, église, château, menhir, lavoirs, paysages).

CULTURE ET PATRIMOINE LA CHAPELLE /S BRANCION
Mairie – 71700 LA CHAPELLE-SOUS-BRANCION
Danielle GILARDON, présidente – 06 82 48 13 90
culture.patrimoine.csb@gmail.com
www.lachapellesousbrancion.com/f21-la-chapelle-sous-brancion-culture-et-patrimoine

Souscription en cours pour la réfection de l’ancienne école EN DUROT

Construit en 1884, l’édifice communal «En Durot» a accueilli une école communale de garçons puis la Mairie qui ont été ensuite transférées à Collonge. Aujourd’hui il est devenu notre salle des fêtes.

L’année 2018 a été riche en nouveautés En Durot ! Un gîte de randonnées et un espace de travail partagé (coworking) « mon bureau à la campagne » ont été aménagés dans l’ancien logement de fonction d’instituteur.  Depuis septembre la cour de l’ancienne école accueille chaque semaine « le p’tit marché du lundi » où viennent producteurs locaux et commerçants ambulants. De nombreuses activités continuent de se dérouler à l’intérieur ou l’extérieur de la salle commune (cinéma, ateliers, spectacle, guinguette, fêtes de familles…).

Souscription pour la réfection de l’ancienne école de La Chapelle sous Brancion

 

Chantiers REMPART pour la restauration de peintures murales, animations culturelles, conférences, expositions, édition de brochures et cartes postales.

Fondée en novembre 2001, l’association a l’ambition de mettre en valeur le patrimoine de la commune, d’en garder mémoire et de le faire connaître. Il s’agit du patrimoine bâti, civil et religieux, du paysage, ainsi que de l’histoire et des traditions des Chapelons. Ce patrimoine restera vivant s’il est animé et mis en valeur en bonne entente avec tous : habitants, municipalité, communes voisines, pouvoirs publics etc. L’association rassemble, bon an mal an, une centaine d’adhérents.

Les activités de l’Association sont diverses, par exemple :

  • Restauration de la peinture murale de l’église qui occupe toute l‘abside (70 m2). Découverte en 2003, elle daterait des XIIIe et XVIe siècle. Cinq stages « Rempart » ont permis de mettre à jour une part significative de la peinture. La restauration s’est terminée en 2013 avec l’aide d’une restauratrice professionnelle. Plusieurs travaux lourds de réparation du toit de l’abside ont été nécessaires.

Restauration des peintures murales

  • Journées d’animation culturelle, par ex. :« De l’arbre à l’œuvre » en 2002« L’eau et le feu » en 2003 (près de 500 participants)« Le patrimoine, le vin, la chasse » en 2008« Savants voyageurs » en 2009. « Le petit patrimoine de la commune » en 2017.
  • Concerts à l’église, chaque année
  • Conférences, expositions, organisations d’événements.
  • Participation annuelle aux Journées du patrimoine.
  • Édition : une brochure sur l’histoire et le patrimoine du village (3ème édition) ; cartes postales, livres sur les lavoirs de la commune (50 p. éd. 2015 ), l’histoire de la paroisse et de l’église ( 100 p. éd. 2017). En projet un livre sur les écoles de La Chapelle et sur le petit patrimoine de la commune.

Travaux dans l’église


Travaux dans l’église, suite


Restauration de la toiture et pose du parafoudre


Invitation à l’inauguration des travaux

L’Association travaille avec de nombreux partenaires : la Mairie de La Chapelle-sous-Brancion, le PAH, la FAPPAH ; Les Trois Brancions (Les Cadeules de Martailly, Pierres et Mémoires de Martailly-les-Brancion et Mémoire médiévale du château de Brancion) ; Les Amis de Durot (La Chapelle-sous-Brancion,) ; Maisons paysannes de France ; Académie de Mâcon ; Musiques en voûtes ; SAAST ; La Fondation du Patrimoine ; Les Amis de l’Art Français, etc.

L’association édite également de nombreuses brochures sur La Chapelle, elles sont en vente à la Mairie aux heures d’ouverture (Tél. 03 85 51 01 59 ou 03 85 51 70 76).

  • Histoire de La Chapelle sous Brancion : 5 €
  • Lavoirs : 10 €
  • Eglise : 15 €
  • Petit patrimoine : 10 €
  • Ecole : 16 €

La Chapelle sous Brancion, un patrimoine bâti et paysager

Le patrimoine bâti et paysager de la commune est important et remarquable :

  • nombreuses demeures (XVIe, XVIIIe, XIXe siècles) dont de nombreuses maisons vigneronnes église du XIIe s. inscrite à l’inventaire des monuments historiques
  • château de Nobles (XVIe et XVIIe siècles)
  • menhir de la pierre levée à Nobles
  • cinq lavoirs du XIXe siècle
  • un des plus beaux paysages de Bourgogne avec Vézelay et Solutré, impressionnant vu depuis Brancion.

L’église Notre-Dame

www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/LaChapellesousBrancion.pdf
http://www.bourgogneromane.com/edifices/chapellessbr.htm

Cruzille Patrimoine

Préservation des peintures murales de l’église communale, et, plus généralement, préservation de l’ensemble du patrimoine de Cruzille.

CRUZILLE PATRIMOINE
Mairie – 71260 CRUZILLE
Cedric CREMONA, président
06.16.86.08.34
cremona@netcourrier.com
https://cruzille.fr/cruzille-patrimoine/

Restauration des tableaux de l’église, chantiers REMPART pour la restauration de la guinguette de Sagy, initiation au greffage, conférences, vides-greniers, concerts, visites, randonnées.

L’association, créée en 2003, s’attache à la mise en valeur du patrimoine historique bâti, paysager et populaire de la commune.

Ci-contre le bureau élu en 2015

Les activités de l’association

Des travaux de restauration

La restauration de la guinguette de Sagy, avec des chantiers internationaux REMPART :


une visite organisée par le PAH

La réhabilitation du four à pain de l’espace Liberté :
Le chantier était ouvert aux personnes souhaitant être initiées aux techniques de la construction traditionnelle, encadrés par Joël Jannet.

Joël Jannet en plein travail
  l’inauguration

Ravalement du puits situé derrière le lavoir de la place du bourg, entretien du verger conservatoire (greffé de variétés anciennes) :

Des animations

Le vide-grenier annuel :

Organisation de conférences, contes, expositions, concerts, théâtre

conférence sur les fossiles de Cruzille
conférence « Le rire, patrimoine immatériel », musique traditionnelle et danses avec le du Trio BHUG

La « chasse aux merveilles » : un jeu de piste pour découvrir le patrimoine arboricole et artisanal de la commune. Le jeu a conquis les 17 équipes familiales parties pour 4 km de balade en 12 étapes au cœur des vignobles, des prairies et des bois.

L’église Saint-Pierre de Cruzille

L’église, romane dans son ensemble, a subi de nombreux remaniements : une chapelle menaçait ruine dès le XVIIe, l’église fut dévastée en 1793 pendant la révolution, puis elle a bénéficié de plusieurs restaurations au XIXe.
Une restauration générale de l’extérieur a été menée de 1990 à 1993 : démontage et reconstruction de la sacristie, murs, toitures, clocher, escalier d’accès, menuiseries, zinguerie.

L’église et ses peintures murales

voir  http://www.bourgogneromane.com/edifices/cruzille.htm

Pour en savoir plus sur Cruzille et son patrimoine :

voir le site internet de la commune : http://cruzille.fr/

Centre International d’Études Romanes / Résonance Romane – Tournus

Faire connaître et faire aimer l’art roman.

CENTRE INTERNATIONAL D’ÉTUDES ROMANES / RESONANCE ROMANE : CIER-RR
Adresse de correspondance : Bibliothèque Municipale – Cour du Cloître – 71700 TOURNUS
Fabien CLER, Président / 06 62 76 97 18
cier.tournus@gmail.com
http://www.art-roman.org
www.facebook.com/CIER.Tournus

Informations, publications, bibliothèque, conférences, voyages, expositions.
Colloque scientifique en 2019 à l’occasion du millénaire de la consécration de l’autel de l’abbaye Saint-Philibert de Tournus.

C’est à la charnière des années 1940 et 1950 que Madeleine CHAVANON remontant du midi à Paris fut conquise par TOURNUS, en Bourgogne du sud. Elle fut d’abord subjuguée par la beauté de l’abbatiale Saint-Philibert, mais fut ensuite horrifiée par le triste état des bâtiments monastiques.

Elle décida sur le champ qu’il fallait agir. Dès son retour à Paris, elle put contacter le grand humaniste qu’était Édouard Herriot, ce dernier lui facilita les rapports avec les Monuments Historiques et une première tranche de travaux d’un montant de 250 000 F. (trente-huit mille euros) fut décidée, mais ce n’était qu’un début : Madeleine Chavanon revint souvent à Tournus et la restauration des bâtiments monastiques progressa plus que pendant la première moitié du XXème siècle.

Le C.I.E.R. fut ainsi créé en 1953 dans le but d’utiliser les bâtiments rénovés et de regrouper les amateurs d’art roman. Son conseil d’administration est composé par moitié d’amateurs et de spécialistes, l’idée de la fondatrice était de donner un public d’amateurs éclairés aux professeurs d’université, conservateurs de musées, archéologues, architectes des monuments historiques.

L’action du C.I.E.R. :

Mosaïque du déambulatoire de l’église abbatiale Saint-Philibert de Tournus

  • Etude, connaissance de l’art roman sous tous ses aspects.
  • Organisation de conférences et colloques.
  • Publications.
  • Participation à la sauvegarde de l’ensemble abbatial Saint-Philibert et de la chapelle Saint-Laurent de Tournus.
  • Bibliothèque

A noter que depuis mars 2019 l’association Résonance Romane a fusionné avec le CIER.
Les buts et objets  de Résonance Romane (connaissance, valorisation et promotion de tout l’espace roman en Bourgogne du Sud, afin de favoriser le développement économique et l’aménagement harmonieux du territoire, en s’appuyant sur un réel ancrage local) sont repris entièrement au sein de cette nouvelle entité dont la dénomination est  CIER-Résonance Romane.

En 2011,  en partenariat avec le Comité Départemental du Tourisme (désormais Agence de Développement Touristique et de Promotion du Territoire de Saône-et-Loire), Résonance Romane a édité une carte touristique répertoriant le Patrimoine roman. Cette carte est mise à jour et rééditée régulièrement.
Suite à la fusion de Résonance Romane avec le C.I.E.R, celui-ci poursuit la diffusion de cette carte touristique du « Patrimoine roman en Bourgogne du Sud ».

Art Patrimoine Ozenay – APO

Contribuer à la préservation à la mise en valeur des potentialités et au rayonnement du site d’Ozenay tant dans les domaines liés à l’architecture, à l’histoire, au patrimoine rural, qu’à celui de l’art et des expressions culturelles

ART PATRIMOINE OZENAY – APO
Mairie – 71700 OZENAY
Pierre FOURNET, président
art.patrimoine.ozenay@orange.fr

Expositions d’art contemporain, conférences.

APO Est une association qui s’est donnée pour objectif de mettre en valeur les potentialités du site d’Ozenay et de contribuer à son rayonnement.

Son domaine d’action est lié à l’architecture, à l’histoire, au patrimoine rural, ainsi qu’à l’art et les différentes expressions culturelles.

« Vivre le Lieu » est une des activités phare de l’association.
Son commissaire d’exposition Marc de Roover propose sous forme de triennale une exposition d’Art Contemporain unique dans la région. Une invitation à voir le lieu-à vivre le lieu. Un mariage d’œuvres, de lieux et de regards …. Evocation d’un étonnement propice à l’appropriation de l’authenticité, riche et sobre du site d’Ozenay.
Cinq à six artistes sont invités en juillet et août, et des visites commentées en plusieurs langues sont organisées.

Si vous voulez être informé des activités de notre association : inscrivez-vous ici à notre newsletter !

Vivre le Lieu 2017

Ozenay et ses 7 hameaux : fruit d’une longue histoire

La commune d’Ozenay se compose du bourg et de sept hameaux. Gratay est le plus important. Viennent ensuite Corcelles et Chavy, Messey, la Montagnone – où ont été construites la mairie et l’école au milieu du XIXe siècle –, Outry et le Moulin-le-Coq.

Les trois principaux monuments du patrimoine architectural d’Ozenay sont l’église (XIIème siècle), le château d’Ozenay (XIIème – XVIème siècles) et le château de Messey (XVIème siècle).
La « Table des huit hameaux » (stèle de pierre) a été inaugurée en l’an 2000 par tous les habitants de la commune d’Ozenay pour marquer l’entrée dans le nouveau millénaire.

Une maison du bourg

Au XIIème siècle fut érigée par les évêques de Chalon l’église du bourg dédiée aux saints Gervais et Protais. D’un style roman très sobre, l’église en forme de croix latine surmontée d’un clocher carré aux baies géminées, s’est vu attribuer un imposant porche au XVIIIe siècle.

Le site rare par son unité est complété par l’imposante bâtisse du château, remarquable par son authenticité et son exceptionnelle préservation. Il a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques en novembre 1997. Les dépendances, le colombier, le miroir d’eau ainsi que le jardin furent classés par arrêté en mars 2006.

Pour en savoir plus sur l’histoire du château d’Ozenay : cliquez ici !

Eglise Saint-Gervais et Saint-Protais


Eglise Saint-Gervais et Saint-Protais : détails de l’intérieur du clocher


Le château et son colombier

Les Amis du Villars

Faciliter le développement touristique de la commune et sauvegarder son patrimoine artistique et archéologique, ainsi que ses monuments historiques.

LES AMIS DU VILLARS
Mairie – 71700 LE VILLARS
Bernard VINOT – 06 10 04 14 53 –  bernard.vinot@centraliens.net

Restauration de l’église, conférences, auditions, vide-greniers.

Les « Amis du Villars » est une association dont les actions sont orientées vers :

  • La conservation du patrimoine culturel, artistique et archéologique de la commune, en particulier de ses monuments historiques.
  • La contribution au développement touristique et culturel de la commune.
  • Le développement des relations amicales entre les Vlérons.

Ses revenus sont essentiellement constitués des adhésions, des dons et des bénéfices du vide-grenier et du challenge Bornet (concours de boules) organisés chaque année aux mois de juillet et août.
L’association a ainsi pu contribuer en 2017 à la restauration du piédestal et de la croix qu’il supporte au centre de la place du village et à la réfection du portail d’entrée de la nef des Bénédictines.

Eglise Sainte-Marie-Madeleine

Au plan culturel, on peut mentionner la conférence « Gabriel Voisin », le recueil de documents anciens (cartes postales, photos, etc.), un recensement des œuvres de Désiré Mathivet (statues et terres cuites) l’élaboration d’un recueil sur le petit patrimoine et une étude en cours sur la chronologie de construction de l’église, avec ses deux nefs, et des deux prieurés adjacents.

Elle accueille, comme en 2016, les artistes des spectacles de « Détours en Tournugeois ».

Un concert au Villars de « détours en tournugeois » en 2016

Pour l’amélioration du cadre de vie, elle organise le fleurissement de la commune.
Elle a également mobilisé des volontaires pour commencer à dégager le lavoir situé au pied du prieuré, complètement ensablé et disparu sous les herbes.

Le lavoir avant et après les premiers travaux de déblaiement.

Pour le vide-grenier, l’association fait appel à de nombreux volontaires pour la préparation, l’organisation et l’installation du matériel. Elle sollicite également les habitants qui répondent chaque année massivement pour approvisionner bénévolement le buffet en nombreuses salades et pâtisseries et contribuer ainsi à la convivialité de l’événement.

Chaque année, au mois d’août elle organise le challenge André Bornet, concours amical de boules réservé aux Vlérons et à leurs amis.

La brocante et son buffet en juillet 2017

Enfin, elle est en charge des journées du patrimoine et assure à la demande des visites guidées de l’église, des prieurés et du village.

Soyez les bienvenus chez « Les Amis du Villars » !

Le village du Villars

Du haut de son éperon rocheux, il domine la Saône et une partie de la plaine de la Bresse. Situé à quelques minutes au Sud de Tournus (direction Mâcon), Le Villars vaut indéniablement le détour.

Son église romane, son point de vue hors normes, mais aussi ses hommes célèbres et une très bonne table. Bref, de quoi contenter tous les goûts !

Ancien prieuré de bénédictines, l’église Sainte-Marie-Madeleine remonte à la fin du XIème et au XIIème siècle

Cet édifice a une particularité : une seule toiture enferme deux nefs parallèles, l’une étroite et voûtée, celle des paroissiens ; l’autre, séparée par un mur mitoyen avec ouvertures, plus large et voûtée en berceau, celle des moniales.

Les  restaurations ont mis au jour sur la voûte en cul-de-four de l’abside une intéressante fresque représentant un Christ dans une mandorle, accompagné de saint Gabriel et d’un personnage malheureusement peu identifiable. La facture s’apparente fortement à la Chapelle des Moines de Berzé-la-Ville :

Photo de Patrice Dettome, voir le site « Bourgogne Romane »
http://www.bourgogneromane.com/edifices/villars.htm

Informations pratiques : l’église est ouverte tous les jours toute l’année – Entrée libre – Visites guidées sur demande pour les groupes auprès de l’Office de Tourisme Tournus Sud Bourgogne (Tél. 03 85 27 00 20).

Des célébrités

À la sortie du porche, sur le mur de la mairie figurent des plaques commémoratives des nombreux hommes célèbres qui sont nés ou ont vécu au Villars.

Parmi eux, Gabriel Voisin (1880 -1973), pionner de l’aviation, qui, dès 1905, modifiera un planeur en hydravion et effectuera sur la Seine le premier vol piloté tiré par une vedette rapide : 600 mètres de distance à une hauteur de 15 à 20 mètres.
Il concevra et construira l’avion qui permit à Farman de boucler le premier kilomètre en circuit fermé.
Pendant la première guerre mondiale, son avion, le premier entièrement métallique de l’histoire de l’aviation, sera construit à plus de 8.000 exemplaires. Il sera à l’origine de voitures et du célèbre « biscoter ».

Citons encore Alfred Cortot, pianiste (1877 – 1962), et son cousin Edgar Varèse, compositeur, plus tard naturalisé américain (1883 – 1965).

Il y eut aussi Désiré Mathivet, tailleur de pierre et sculpteur (1887 – 1966), le général Jean-Baptiste Debrun (1750 – 1831), engagé dans la guerre d’indépendance des États-Unis, plus tard incorporé dans l’Armée du Rhin.

Site de la mairie du Villars : http://www.mairie-levillars71.fr/

Les Amis de Saint-Martin de Laives

Restauration de l’église de Saint-Martin de Laives.

LES AMIS DE SAINT-MARTIN DE LAIVES
3 rue de la Gare
71240 SENNECEY-LE-GRAND
Serge PERNOT, président – 06 08 68 95 89
saintmartindelaives@wanadoo.fr
http://www.saintmartindelaives.com

Électrification, restauration du clocher, du chœur, des dalles de la nef, des vitraux ; conférences, expositions.

C’est la belle histoire d’un groupe de bénévoles
amoureux des vieilles pierres et, en particulier, d’un bâtiment de notre patrimoine bourguignon. L’Église fut classée monument historique en 1903.

Créée en 1976 sous l’impulsion du Syndicat d’initiative de Sennecey le Grand (actuel Office de tourisme) par Léon Jacquemet, rotarien, l’Association entreprend la restauration de l’Église en liaison avec l’organisme des Monuments Historiques et les élus locaux.

1995 a vu la fin de la première tranche des travaux : réfection du clocher et du chœur, installation des vitraux. En l’An 2000, l’électrification du chœur fut effectuée.
La seconde tranche des travaux, programmée pour 2019, comportera la réfection totale de la toiture ; suivront la restauration de la nef puis celle des chapelles latérales.

Ces résultats sont obtenus par le travail et l’apport financier de plus d’une centaine d’adhérents, donateurs et bénévoles ainsi que le soutien financier du Club Rotary Chalon Bourgogne Niepce et le mécénat d’entreprises.

Le rôle de notre Association est également de faire connaître et apprécier le site de Saint Martin de Laives aux quelque 2.500 à 3.000 visiteurs annuels, lors de l’ouverture au public de l’édifice.

« Le Phare de la Bourgogne du Sud ».

Nous œuvrons afin que dans 1.000 ans, cette Église, construite en l’An Mil, continue de trôner au sommet de sa colline et que l’on continue de la nommer : « Le Phare de la Bourgogne du Sud ».

L’église Saint-Martin de Laives

Visites guidées et ouverture au public :
du 1er juin aux journées du patrimoine, dimanches et jours fériés, de 15 h à 18 h.
Pour les groupes et sur RDV, s’adresser à l’OT de Sennecey le Grand  – Tél. 03 85 44 82 54.

Visite virtuelle et guidée de l’église de Saint Martin de Laives :

www.saintmartindelaives.com/V1/visite_guidee.php

Le Mont Saint Martin – Villa de Monte

Les premières traces humaines sur le Mont Saint Martin remontent au néolithique (700 ans avant JC) : une station de pêcheurs découverte au 19éme siècle par Jean Louis Bazin. (…) Il représentait un lieu privilégié et stratégique pour les Eduens de l’époque gauloise, un oppidum aurait couronné le mont Cuny au sud ouest et le sommet du mont Saint Martin lui même. Les mêmes voient un temple druidique à l’emplacement de l’Eglise actuelle. César occupe la Gaule et l’endroit (…) est occupé par un castrum dont la garnison romaine surveillait les vallées de la Grosne et de la Saône.

…pour lire la suite : http://www.saintmartindelaives.com/V1/mont_saint_martin.php

Le Trésor de Saint Martin de Laives

En 1438, (…) Ayant été averti de l’approche des « écorcheurs » au début d’octobre de cette même année, l’abbé de la Ferté envoya, par un courrier à cheval, au Prieur de Laives l’ordre de prendre d’urgence toutes les précautions utiles en cas d’une attaque prochaine et surtout mettre à l’abri le trésor du couvent qui constituait en belle chasubles brodées d’or, de vases précieux et surtout d’un nombre respectable de sacs de beaux écus et d’argent, produits de la dîme.

… pour connaître la suite : http://www.saintmartindelaives.com/V1/legende.php

Les Amis du Patrimoine d’Étrigny

Sauvegarde et valorisation du patrimoine culturel mobilier et immobilier de la commune d’Etrigny.

LES AMIS DU PATRIMOINE D’ÉTRIGNY
Mairie – 71240 ÉTRIGNY
Michel AUBLANC, président
michelaublanc@orange.fr

Édition de documents sur l’histoire des lavoirs, des moulins, du château, pose de chéneaux sur l’église de Champlieu, restauration des lavoirs, éclairage de l’église, repas champêtre.



L’église d’Etrigny, construite à la fin du 18ème siècle suite à la vétusté de l’ancienne qui avait été interdite, sur la demande des habitants. D’après Courtépée, l’église d’Etrigny est l’une des plus belles et des plus décorées du diocèse dans les goûts de Saint Pierre de Chalon. Elle est placée sous le vocable de Saint Jean Baptiste.
L’association a réalisé l’éclairage de l’église d’Etrigny afin de la mettre en valeur la nuit et la faire rayonner, comme le disait D. Niepce, « sur toute la vallée de la Grosne »


Restauration de la fontaine de Taluchot


La réfection du lavoir de Champlieu situé sur le Grison est pratiquement terminée.
Les employés de la Commune ainsi que certains bénévoles de l’Association du Patrimoine ont fait un travail remarquable qui met en valeur cet ancien lavoir.

 

RICHESSE DU PASSÉ RÉCENT ET LOINTAIN D’ÉTRIGNY


Place de la bascule.               Lavoir et fontaine de Balleure.   http://www.mairie-etrigny

Le château de Balleure, propriété privée, ne se visite  pas. Il est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Sur la Roche d’Aujoux, une plaque commémorative rappelle aux randonneurs que la Seconde Guerre mondiale a marqué l’histoire de la Saône-et-Loire. Les jeunes résistants, aidés par une partie de la population, avaient choisi la Roche D’Aujoux comme cachette privée jusqu’à la Libération de la région, le 4 septembre 1944

 

C’était la messe de minuit  à l ’église d ’Etrigny. Le seigneur de Balleure, grand chasseur, y assistait… Soudain il entendit les aboiements de sa meute, qui chassait dans les bois de la roche d ’Aujoux et il distingua la voie de son meilleur chien, Garelaut. Bien que ce fût le moment de l ’élévation, il sortit et rejoignit ses chiens qui poursuivaient un cerf magnifique. Ce fut une course folle qui dura toute la nuit et le jour suivant. Enfin au crépuscule le cerf s’arrêta au bord de l’abrupt de la roche d ’Aujoux… Le sire de Balleure, dans un dernier effort, fonça en avant… Mais d’un bond formidable le cerf s’élança et le chasseur mécréant le suivant, roula ainsi que toute sa meute du haut de la roche d’Aujoux… Le lendemain quand les gens du seigneur se mirent à sa recherche, ils ne retrouvèrent pas son corps mais, au pied du ravin, ils virent sur une pierre l’empreinte d’une large griffe. Ils signèrent dévotement et comprirent que le diable avait emporté leur maître en punition de son impiété. Et maintenant encore pendant les nuit d’hiver quand le « matenau » secoue la forêt, il n’est personne d’Etrigny ou de Veneuse qui n’ait entendu le cri répété mêlé aux aboiements d’un chien…. C’est le Fantôme du seigneur de Balleure qui revient chasser dans les bois d’Etrigny.

Ci-dessous, une collection exceptionnelle de 156 cartes postales anciennes d’Etrigny.

  http://www.mairie-etrigny.fr/cartes-postales

Association de Sauvegarde du patrimoine de Sigy-le-Chatel

Protection et sauvegarde du patrimoine historique et culturel de la commune en donnant la priorité à l’église; mise en valeur de ce patrimoine et organisation de manifestations visant à sa promotion.

ASSOCIATION DE SAUVEGARDE DE SIGY-LE-CHATEL
Mairie – 71250 SIGY-le-CHATEL
Olivier DUBLY, président
olivier.dubly@wanadoo.fr
sauvegardedupatrimoinesigy@yahoo.com

Chantiers de restauration, pose de plaques de rues et de chemins, concerts, randonnées, rallyes, festival de théâtre, brocante.

L’association a été créée en 1974 pour aider la commune à trouver des fonds pour faire face à la sauvegarde de l’église Saint-Symphorien : il y avait urgence, car une clé de voute de l’église était tombée, menaçant l’effondrement de l’édifice.

De très gros travaux ont été réalisés à partir de 1975 : réfection de la voûte, l’arc doubleau, les contreforts extérieurs, et la réfection complète de la toiture qui était en laves et a été refaite en tuiles plates.

L’association veille à l’entretien de l’église et a réalisé des travaux sur le petit patrimoine du village :
– la réfection intérieure de l’église,
– restauration d’une statue en bois du XVII° siècle de Saint Symphorien, patron de l’église et du village,
– restauration de trois lavoirs,
– aidé à la restauration d’un four à pain,
– restauration des croix du village,
– entretien de la mémoire des « lieux-dits » par la pose de plaques de rues ou de chemins,
– remplacement du grand portail de l’église à l’identique avec l’ancien.

Pour mettre en valeur son patrimoine, l’association organise des expositions, concerts, brocantes, randonnées, etc.

Nos activités  en 2019

Le 14 avril, nous avons débuté l’année par le traditionnel nettoyage de l’Eglise

19 Avril, manifestation « Art et Pinard » au Château de la Motte, Sigy le Châtel.

4 mai, sous l’égide de la Fappah et en collaboration avec Le Renouveau de St Hippolyte, St Clément sur Guye, Sauvegarde du Patrimoine de Sigy, « à la découverte sur les pas de Michel Bouillot « .

10 et 13 Août « Pinard Polard » au Château de la Motte Sigy le chatel

Le 30 juin notre 2° foire aux vieux papiers

8 septembre Promenade artistique animée par la troupe LLE et Pépète lumière

 

 

 

L’église de Sigy, une histoire tourmentée :

L’église de Sigy-le-Châtel, datée du XIIe siècle, n’est pas classée aux Monuments Historiques. Elle est seulement “inscrite”, car elle a été remaniée et reconstruite en grande partie au début du XIXe siècle.

L’ancienne église paroissiale Saint-Symphorien de Sigy, aujourd’hui disparue, se trouvait hors du village, de l’autre côté de la Guye. Elle était inaccessible lors des inondations.
Au XVIIe siècle, les paroissiens la délaissèrent donc pour la chapelle du château qui dominait le village, aujourd’hui en ruines.


La chapelle se dressait au sud du château, hors de l’enceinte, dans l’actuel cimetière (source : CECAB)

À l’emplacement de l’actuelle église paroissiale de Sigy se trouvait, au Moyen-Âge, le prieuré Saint-Nicolas.
En 1740, par décision du diocèse, l’église du prieuré, désertée par les moines, devint église paroissiale sous le vocable de Saint-Symphorien.
Elle subit au fil des siècles des transformations et des détériorations, le clocher s’effondra en 1828. A partir de 1850, la commune entreprit des travaux et notamment la construction d’un nouveau chœur, d’un clocher et d’une sacristie qui donnent à l’église son visage actuel.

pour en savoir plus : www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Sigy_le_Chatel.pdf

Le patrimoine de Sigy

Le village de Sigy-le-Châtel est très marqué par la présence des ruines de l’ancien château féodal qui fait face à l’église :

Ce château est l’un des plus anciens du Mâconnais. Il était formé d’une grande enceinte irrégulière close d’épaisses courtines. L’entrée, au nord, vers le plateau, était flanquée de deux tours hémicylindriques de maçonnerie pleine.
Il ne subsiste plus que des pans de muraille, les bases de deux grosses tours circulaires percées d’archères-canonnières et, à l’extrémité occidentale, l’angle d’un bâtiment construit en moyen appareil auquel s’accroche une échauguette.
Le château, propriété privée, ne se visite pas.


le château

Autres éléments marquants du patrimoine de Sigy :

  un pigeonnier, qui reste à restaurer…

      Le lavoir du bourg

  • de belles maisons rurales à pigeonniers et galeries à colonnes de pierre ornent le village, en particulier la Maison Monnier, XVIIIe siècle, inscrite aux monuments historiques ;
  • le Moulin de Pras, daté de 1380, moulin à eau ;
  • les hameaux de Hautecour, de Corcelle et du Gué Gallet ajoutent à la beauté du village.

Sauvegarde de l’église de Saint-Huruge

Concourir à l’étude et la réalisation de travaux de restauration et d’entretien de l’église, mieux la faire connaître.

SAUVEGARDE DE L’ÉGLISE DE SAINT-HURUGE
Mairie – 71460 SAINT-HURUGE
Sophie AVENAS, présidente – 03 85 96 24 63
sophie.avenas@orange.fr

Remise en état de la toiture de l’église, restauration du mobilier, vide-grenier, concerts.

Forte d’une quarantaine de bénévoles, l’association organise plusieurs manifestations dans l’année, telles que concerts et expositions, afin d’apporter son concours à la réalisation de travaux pour restaurer et entretenir l’église et aussi afin de la faire mieux connaître.

Ensemble vocal Acontrario                                      Béatrice Pacholec en concert


Le vide-greniers organisé par l’ « Association de Sauvegarde de l’Église de Saint-Huruge » entre dans la catégorie que nous nommerons : vide-greniers-randonnée.
En effet, cette manifestation permet aux nombreux visiteurs de visiter tout le village et ses curiosités. Les stands des exposants étant disposés dans toutes les rues et jusqu’aux moindres ruelles, le chineur peut ainsi découvrir des demeures anciennes, des granges, un ancien atelier de vitrailliste et bien sûr l’église. Tout en cherchant la pièce rare, il peut réaliser une belle marche sportive car le village présente quelques dénivelés intéressants !

 L’église Saint-Eusèbe

Cette église, en grande partie romane, existe depuis l’an 1 000. Saint Eusèbe fut évêque de Verceil en Italie vers 345 et y mourut en 371, Huruge serait, en patois, une déformation de son nom. Au XVe siècle, une chapelle seigneuriale lui est accolée au sud et en 1872, une autre chapelle a été édifiée côté nord. Cette église est inscrite depuis 1950 à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques.
http://www.monumentum.fr/eglise-pa00113434.html        

L’intérieur de l’église abrite des statues, des peintures et des vitraux restaurés au fil des ans depuis 1998. Le retable baroque du XVIIIe siècle a été restauré en 1998, mais il est vide de toute statuette, celles de Saint-Eusèbe et de Saint-Claude et celle d’une vierge à l’enfant ont été volées en 1975. Il manque l’ancien tabernacle du XVIIIe siècle qui serait celui qu’on voit actuellement dans l’église de Joncy.
En 2001, les travaux du chemin de croix (suite de lithographies du XIXe siècle, en français et en espagnol) grâce au mécénat de Louis et Majo Ferrand, deux habitants de Saint-Huruge, obtinrent le 2e prix au concours départemental du Patrimoine de Saône-et-Loire dans la catégorie “restauration d’œuvres et d’objets d’art”.
Les vitraux ont été restaurés en 2006 par la société Combex-Lumière, il reste la rosace à rénover. Un vitrail de 1920, représentant saint Eusèbe, veille sur le chœur. Ces travaux ont été financés en partie par la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et le conseil départemental.
En 2014, la mairie du village a réalisé la réfection du toit du clocher pour environ 10 000 €. En 2016, une tranche de gros travaux d’assainissement par drainage a été entreprise ainsi que la rénovation des façades nord et ouest. À la suite à la programmation de ces travaux, la Drac préconise un diagnostic pour des fouilles archéologiques.
Un dossier est en cours, pour lancer une souscription pour récolter des fonds. Les bénévoles de l’association veillent avec soin à la restauration et à l’entretien de cet édifice et pour réunir des fonds, ils organisent des concerts dans l’église, une brocante le 2e dimanche d’août et différentes expositions dans la salle commune du village.
Martine Victoroff (CLP)

https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/eglise-de-saint-huruge

Quelques détails particuliers de l’église.
 
Mur en opus spicatum      Claustra flamboyant                     Le clocher

Sauvcluni3g

Association de Sauvegarde du pays Clunisien autour de Grosne, Guye et Grison.

SAUVCLUNI3G
c/o Etienne PETRINI POLI
16 rue La Bretagne
71460 GENOUILLY -06 80 92 89 48
Joël JOUVE, président
joeljouve@yahoo.fr

Défense et mise en valeur du patrimoine Bâti et Paysager du Sud Bourgogne.

Sauvcluni3G est une association créée en mars 2010 qui compte une centaine de membres. Son terrain d’action recoupe en grande partie le territoire du Pays d’art et d’histoire Entre Cluny et Tournus.

Elle a pour but de :

SAUVEGARDER l’environnement : espaces naturels, paysages, sites architecturaux (édifices religieux, en particulier clunisiens, châteaux, bâtis remarquables ou authentiques) du territoire correspondant administrativement aux communautés de communes : AUTOUR DU MONT SAINT VINCENT, ENTRE GROSNE ET GUYE, ENTRE SAÔNE ET GROSNE.
Et le cas échéant des communes environnantes.

SENSIBILISER l’opinion publique aux problèmes du patrimoine et d’environnement et informer ses membres sur le patrimoine, les paysages, la connaissance des espèces animales et végétales ainsi qu’à l’écosystème du territoire précité.

DÉFENDRE le patrimoine et l’identité culturelle des paysages ainsi que leurs intérêts économiques et sociaux.

LUTTER contre les atteintes qui pourraient être portées à ce patrimoine et cet environnement et notamment chaque fois qu’elles toucheront à l’intégrité du patrimoine, aux espaces naturels et aux paysages, aux équilibres biologiques auxquels participent les espèces naturelles et végétales et par conséquence à la santé des habitants, y compris, le cas échéant, par la voie d’action en justice.

ÉVITER la dégradation des ressources naturelles.

PROPOSER toute mesure destinée à améliorer la revalorisation du patrimoine, de l’environnement et des paysages, en respectant les critères précédents.

Les Randonneurs Clunysois

Organisation de randonnées pédestres

LES RANDONNEURS CLUNYSOIS
LA CRAS SAINT LAZARE
71250 CLUNY
François MILLET, président – 06 32 25 52 65 – milletrando@gmail.com
Daniel VOUILLON – 03 85 59 21 00 – randonneurs@orange.fr
randonneurs@orange.fr
http://rando.cluny.free.fr

Sorties hebdomadaires et mensuelles, organisation de la randonnée des moines; travaux de balisage des chemins GR, PR, de la portion Cluny-Tramayes du sentier de Compostelle; travaux de remise en place de la Croix Micaud, signalisation de la Fontaine des Croix.

Notre association « Les Randonneurs Clunysois » regroupe 163 adhérents qui participent à différentes sorties : hebdomadaires dans le Clunisois (le lundi et le jeudi après-midis) ou mensuelles (nous proposons une sortie par mois le dimanche).

Nous organisons aussi des sorties de plusieurs jours : une sortie de 2 jours au printemps (à Paris en 2017) et une sortie fin juin, à la montagne.

L’ambiance est très conviviale et nous avons toujours du plaisir à nous retrouver pour marcher ensemble ou lors de soirées plus festives.

Sortie à la montagne 2017 : arrivée à Roche Courbe (1545 m)

Exemples de sorties : à Bourgvilain, à Saint-Gengoux-Le-National

 

Le point d’orgue de l’année reste la « Randonnée des Moines » coorganisée avec une autre association de Cluny. Elle a toujours lieu le 11 novembre et fait découvrir le Clunisois à plusieurs milliers de randonneurs (3896 en 2015).

 

Association Julien Griffon 1625

Sauvegarde et mise en valeur du patrimoine de l’Hôtel-Dieu.

ASSOCIATION JULIEN GRIFFON 1625
Centre Hospitalier de Cluny
13, place de l’Hôpital – 71250 CLUNY
Roland BILLET, président 03 85 59 59 50 – 06 84 28 84 93
julien.griffon.1625@net-c.com

Restauration du plafond, de tableaux et du mobilier de la chapelle. Ouverture au public : visites libres de la chapelle et de la salle des malades, visites guidées sur rendez-vous (apothicairerie). Expositions.

Origine du nom :
Julien Griffon était un prêtre de la paroisse Notre-Dame de Cluny qui a légué en 1625 l’ensemble des ses biens pour la fondation d’un nouvel hôpital Notre Dame pour accueillir les pauvres et les malades de la ville et dont « la conduite et l’économie seraient confiées aux échevins et syndics de la ville à perpétuité ».

But :
L’association a pour but de regrouper toutes les personnes physiques et morales qui s’intéressent au passé architectural artistique, mobilier et culturel dont l’Hôpital de Cluny a hérité au cours de son histoire.

Bâtiment construit à partir de 1703, à l’initiative du Cardinal de Bouillon, l’Hôtel-Dieu de Cluny est un des rares témoignages de l’architecture civile de cette époque de la fin du règne de Louis XIV. L’accès à la chapelle se fait par un escalier dont le garde-corps a été réalisé par le frère Placide.


La salle des malades et les boiseries 17ème, le mobilier, les vitrines d’ornements religieux et de reliques saintes dont les éléments du bâton de Saint-Hugues (10ème siècle)

La chapelle de l’Hôtel-Dieu, lieu de conservation de rares éléments mobiliers de l’abbaye et où il est possible d’admirer le plafond peint de la chapelle, œuvre contemporaine de Marc-Camille CHAIMOWICZ réalisée en 2003 avec les élèves de l’école Nationale des Beaux-Arts de DIJON. Il s’agit de la représentation du ciel vu par l’artiste inspiré par un séjour en Italie et notamment à Rome.

A gauche du cœur de la chapelle, Frédéric Maurice de la Tour d’Auvergne, duc de Bouillon, est vêtu en général romain, et s’appuie sur un trophée de guerre. Il tient un bâton de maréchal.
A droite, Eléonore de Bergh, son épouse et mère du cardinal de Bouillon, vêtue dune robe ample et d´un manteau d´hermine ouvert, montre les termes de l´abjuration tenue par un ange, témoignant de son influence pour convertir son époux, protestant, au catholicisme.


L’Apothicairerie de l’Hôtel-Dieu de Cluny est adhérente du « Réseau des Hôtels-Dieu et Apothicaireries » dont les membres valorisent et font connaitre les richesses des sites qu’ils représentent  .http://www.apothicaireries.eu/

Visite de l’Hôtel-Dieu lors de la sortie annuelle du « gui l’an neuf » organisée en 2017 par la fappah

Centre Rural de Charly

Gestion d’un domaine agricole de 42 ha, établissement d’enseignement par alternance, dépendances aménagées à usage associatif et locatif.

CENTRE RURAL DE CHARLY
71250 MAZILLE
Michel POTDEVIN, président – 06 42 54 41 36
natetmi.potdevin@orange.fr

Restauration du patrimoine architectural et environnemental par les chantiers Rempart et chantiers d’insertion – Accueil d’associations intercommunales participant à l’animation locale.

LE CENTRE RURAL DE CHARLY AUJOURD’HUI

Le Centre Rural de Charly s’est vu confier il y a plus de 50 ans un domaine remarquable, situé en plein cœur du Clunisois et œuvre depuis selon les volontés de la donatrice du domaine.

un esprit … un investissement humain …
pour entretenir et sauvegarder un patrimoine foncier et bâti
pour un monde rural vivant et solidaire dans l’esprit de la donatrice.

Patrimoine et activités du Centre Rural

L’allée principale, avec les pierres levées

Une ferme de 42 ha avec dépendances agricoles louée sous statut du fermage.

Un « château » et son parc de 3 ha mis à disposition de l’association Maison Familiale Rurale qui dispense des formations selon le rythme de l’alternance dans les domaines de l’orientation – l’agriculture – le commerce et pratique des activités d’accueil de groupes durant les week-end et vacances.
Maison Familiale Rurale du Clunisois : voir le site http://www.mfr-mazille.fr/

  Les bâtiments de la MFR

D’anciennes dépendances du château (écurie et tinailler) aménagées en salle polyvalente et gérée par l’association Amicale Intercommunale de Charly,  regroupant les habitants des trois communes de Château, Mazille et Sainte Cécile), où se déroulent diverses activités culturelles et de loisirs (club des anciens – centre aéré …) :

 
La salle intercommunale

Le logement de la ferme, en cours d’aménagement pour l’accueil de stagiaires, étudiants, ou groupes associatifs :

Un pavillon situé à l’entrée secondaire de la propriété, récemment rénové et mis en location :

En résumé, un patrimoine bâti important qui nécessite un entretien onéreux au regard des faibles ressources de l’association propriétaire. Le Centre Rural s’est tourné depuis près de 20 ans vers un partenariat avec des associations de sauvegarde comme Rempart ou d’insertion pour organiser des chantiers de bénévoles.

C’est ainsi qu’ont été entrepris au fil des années : la reprise de murs d’enceinte, l’aménagement de l’allée principale avec pierres levées, les façades de trois bâtiments (salle intercommunale – pavillon d’entrée – logement de la ferme). Ces chantiers Rempart ont permis de bénéficier de la participation de la Fondation du Patrimoine et de collectivités territoriales.

Quelques exemples de rénovations avec les chantiers REMPART :

 
Chantier REMPART dans les dépendances (2008 -2009)

  Le chantier du logement de la ferme (2012)

Pour participer à la vie associative locale, le Centre Rural organise régulièrement des animations, notamment autour du tilleul à danser lors de la fête du Mai, tilleul planté en 2009 à l’occasion du 50ème anniversaire du Centre Rural.

L’inauguration du tilleul à danser en 2009 – diaporama : www.tilleuls-a-danser

L’HISTORIQUE DU LIEU :
UN DOMAINE DE 24 HA LÉGUÉ PAR Melle DE LA MOUSSAYE EN 1959

Le domaine de Charly trouve son origine au XVe sous l’appellation « Fief de Thury », du nom du lieu-dit. Propriété d’un riche bourgeois de Cluny, celui-ci revient à la maison de Montchanin puis à celle de Saint Georges.
Jugeant le château de Thury placé dans une zone trop humide, près du ruisseau du Repentir, la famille de Saint Georges transfère le château à Charly.

C’est en 1688 que furent édifiés le château et ses dépendances.

Acquise le 18 novembre 1785 par Bruyes de Charly, cette propriété traverse sans difficulté majeure semble-t-il la révolution de 1789. En 1809 elle comporte une superficie totale de plus de 165 ha sur Mazille et 2 ha sur Jalogny ; en 1810 le domaine comporte 23ha de vigne représentant 18 vigneronnages faisant vivre 24 familles à Mazille.
Gilbert Bruyes de Charly fut maire de Mazille, député du corps législatif et plusieurs fois président du Conseil Général sous le 1er Empire.

Gilbert Bruyes de Charly décède en 1827, laissant pour héritiers 2 filles, dont Antoinette Suzanne Elisabeth qui épouse son oncle Philibert Bruyes des Gardes, secrétaire des commandements du Comte d’Artois, 1er commis au Ministère de Paris en 1791 et maire de Blanot.
Leur fils unique Emilien Bruyes des Gardes, conseiller à la Cour de Dijon, hérite du château, des dépendances et d’une partie des terrains. Il fut maire de Mazille. Il crée le parc et reconstruit une partie du château.
Son fils, Achille Henri Bruyes des Gardes épouse en 1867 Marguerite Paillard, dont le père Alphonse Paillard était ancien Préfet.
De cette union naquit une fille qui épouse le Colonel Comte de la Moussaye, et c’est en 1898 que naît leur fille Anne de La Moussaye, décédée en 1982, laquelle a légué le domaine de Charly le 26 février 1959 au Centre Rural, association créée pour recevoir ce legs.

L’association Centre Rural de Charly ainsi créée a pour objectif :
« l’encouragement à la profession agricole, à la formation technique et morale du monde rural et généralement l’étude de toutes questions s’y rapportant, enfin la bonne gestion du patrimoine lui appartenant ».

Les Amis de Michel Bouillot (AMB)

Perpétuer le souvenir de l’homme et l’artiste que fut Michel Bouillot, faire connaître et reconnaître son œuvre abondante.

LES AMIS DE MICHEL BOUILLOT
71250 MAZILLE
Jean-Claude VOUILLON, président – 03 85 50 84 23 ou ou 07 89 88 83 61
jean-claude.vouillon@orange.fr

Conférences, expositions, publications, rencontres, actions partenariales.
Projets : poursuite des actions fédératrices lancées en 2017 pour les 10 ans de la disparition de M. Bouillot, création d’un lieu de mémoire à Mazille.

Michel Bouillot

Michel Bouillot est né le 24 mars 1929 à Chalon sur Saône, où il effectue sa scolarité. Sa curiosité d’enfant est parallèlement aiguisée par une succession de rencontres assez extraordinaires. A 18 ans, il entre à l’école nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris pour une formation de dessin et de peinture. Il fréquente ateliers de peinture et d’architecture, tout en explorant les musées. De retour en Bourgogne, il suit à Beaune une formation de tailleur de pierre, et obtient un CAP.
Après le service militaire en Allemagne, Michel Bouillot cherche alors un mode de vie communautaire et rejoint le Mâconnais en 1949. A Lugny, il débute l’enseignement du dessin et la surveillance d’internat au sein de la structure éducative constituée à Lugny à l’initiative du père Joseph Robert, curé du lieu et fondateur d’une communauté pastorale. Là se révèlent ses talents de pédagogue. Il passe ensuite par le lycée Ozanam de Mâcon, le petit séminaire de Rimont et le pensionnat Sainte-Marie à Saint-Didier-sur-Chalaronne.
En 1959, Michel Bouillot arrive à Cluny, et il passera toute la suite de sa carrière professionnelle dans la cité abbatiale, comme maître d’internat au lycée « La Prat’s », où il enseigne parallèlement le dessin, jusqu’à sa retraite en 1989. Michel Bouillot a été membre du conseil municipal durant trois mandats à partir de 1965 dans l’équipe de Gérard Galantucci, 3ème adjoint (chargé de la culture) jusqu’en 1971. Après avoir habité la cité abbatiale, il vient rapidement s’installer dans une maison ancienne du hameau des Varennes à Mazille.

Passionné par le patrimoine bâti ancien et soucieux de le défendre, Michel Bouillot s’est employé pendant des décennies à faire connaître les richesses du « petit patrimoine de pays ». Il arpente ainsi toute la Bourgogne du Sud et au-delà, sur son vélomoteur joliment appelé le « pétouillot », sinon dans la voiture de l’un ou l’autre. Surtout il marche beaucoup, car « on ne voit bien qu’à pied » disait-il. Et il dessine et dessine encore, utilisant le crayon, la plume ou l’aquarelle.

Ses dessins sont reconnaissables entre tous : maisons rurales en premier lieu, églises, paysages, cadoles, puits, lavoirs, pigeonniers et autres calvaires, les paysages aussi…

Michel Bouillot a fini par emmagasiner plus de 70 volumes de croquis, et des dessins par dizaines de milliers. Il a publié une vingtaine de livres (notamment avec la fédération départementale des Foyers Ruraux 71), en ajoutant des textes explicatifs précis et souvent pleins de poésie. Quantité d’articles sont parus dans des publications de l’Académie de Mâcon, Maisons Paysannes de France (MPF), Images de Saône-et-Loire ou du Centre d’Etudes Clunisiennes.
Il a été responsable dans de nombreuses associations et instances, membre titulaire de l’Académie de Mâcon et délégué départemental MPF 71. Ses ouvrages et articles sont étudiés et servent de référence.

Michel Bouillot  conduit une visite guidée du bourg de Mazille

Artiste au coup de crayon remarquable, érudit, Michel Bouillot avait également le talent de raconter. Il a ainsi animé quantité de visites, en guide pas ordinaire, et donné de nombreuses conférences, captivant son auditoire par la richesse de son savoir et de savoureuses anecdotes. Il a également animé des classes du patrimoine pour les scolaires, apprécié par ses qualités de pédagogues.

Michel Bouillot a par ailleurs assuré des missions pour le clergé, sollicité par les curés du diocèse d’Autun-Chalon-Mâcon, après le concile œcuménique Vatican II, afin de revoir l’aménagement liturgique des églises, pour donner un conseil sur le choix des peintures intérieures, ou intervenir directement sur la décoration. Il associait souvent des artisans à ce travail, qui lui permettaient de traduire ses intentions dans des domaines aussi variés que la sculpture, le vitrail ou la ferronnerie. Lui-même a laissé une empreinte personnelle principalement par la peinture, sous des formes diverses : fresques, tableaux, retables, calligraphies. C’est un aspect de son œuvre peu connu.

Peintures et calligraphies de Michel Bouillot dans le chœur de l’église de Sainte-Cécile

Michel Bouillot a fait don au musée d’art et d’archéologie de Cluny de quelque 70 carnets de dessins réalisés entre 1949 et 1995, et légué à l’Académie de Mâcon une grande partie de ses dessins et des peintures tout à fait insolites.

Michel Bouillot est décédé le 29 janvier 2007 à Cluny, et il repose dans le petit cimetière de Mazille entourant l’église romane clunisienne, non loin du hameau des Varennes où il a longtemps résidé. Pierre Griot, tailleur de pierre à Cluny et ami de Michel Bouillot, a gravé l’épitaphe en suivant strictement le modèle qui lui a remis son ami Michel une dizaine d’années avant son décès, avec l’inscription suivante « La nuit même est lumière à celui qui sait voir ».


Épitaphe gravée par Pierre Griot, tailleur de pierre,
selon le modèle remis par Michel Bouillot

Dans la ville de Cluny une seule voie de circulation est appelée ruette, et porte le nom de « Michel Bouillot, érudit et artiste, 1929-2007 », inaugurée le 22 mars 2013 à l’occasion de la publication de son dernier ouvrage, consacré à l’habitat rural en Beaujolais. L’on a de cette ruette (diminutif aussi charmant que peu usité, correspondant bien à Michel Bouillot) une vue exceptionnelle sur le cœur de la cité abbatiale, dont Michel Bouillot a fait profiter un grand nombre d’élèves du lycée « La Prat’s ».

 

Les activités de l’association

Depuis sa création en 2008, l’association des Amis de Michel Bouillot a œuvré à faire connaître et reconnaître l’œuvre de Michel Bouillot, conformément à ses statuts.

Inauguration de la ruette Michel Bouillot à Cluny

Cérémonie inaugurale le 22 mars 2013, en partenariat avec la municipalité de Cluny et l’association « Maisons Paysannes de France 71 », suivie de la présentation du dernier ouvrage de Michel Bouillot « L’habitat rural en Beaujolais », et apéritif campagnard.

Journées du Patrimoine à Mazille

En 2011 : exposition sur les œuvres de Michel Bouillot (dessins, peintures) et concert de l’ensemble « Les Symphonies du Roy », dans la chapelle du doyenné.

En 2013 : visites guidées de l’église romane Saint-Blaise (extérieurs et intérieur de l’église, historique du bâtiment, avec des textes et dessins de Michel Bouillot).

En 2017 : visites libres et commentées de l’église Saint-Blaise de Mazille, en partenariat avec la municipalité de Mazille suite aux récentes restaurations intérieures, hommage à Michel Bouillot, concert par Catherine Delpeuch (violoncelle) et Aurélie Gauthier (chants).

Participations aux actions de la FAPPAH

Le 2 juin 2013 : accueil au domaine de Charly à Mazille d’une étape du rallye-découverte FAPPAH, en partenariat avec le « Centre Rural de Charly », avec proposition de deux énigmes locales : trouver le nom de la donatrice du domaine de Charly au Centre Rural, reconnaître le lavoir d’Ameugny parmi cinq dessins de Michel Bouillot.

Le 24 mars 2017 : accueil salle de l’Amicale Intercommunale de Charly à Mazille de l’assemblée générale annuelle FAPPAH, en partenariat avec le « Centre Rural de Charly ».

Le 25 juin : accueil à l’église de Mazille pour une étape de la sortie-découverte FAPPAH en Clunisois  en partenariat avec la municipalité de Mazille : visite de l’église restaurée avec les commentaires de Jacques Bourgeois, adjoint au maire, et passage sur la tombe de Michel Bouillot dans le cimetière entourant l’église.

Réalisation du livre « Connaître Mazille, village de Bourgogne du Sud »

Le projet d’une publication sur l’œuvre de Michel Bouillot, qui figurait parmi les premiers objectifs des AMB, a pu être mené à bien grâce à un travail partenarial avec l’Académie de Mâcon et la délégation « Maisons Paysannes de France 71 ».
Durant un an, la commission « communication » des AMB, s’est attelée à réaliser un recueil de 160 pages, regroupant des articles de Michel Bouillot publiés dans le bulletin municipal Vivre à Mazille entre 1984 et 1999 (textes, dessins, illustrations diverses). Le volume de ces articles, la variété et la richesse des textes, ainsi que le caractère inédit des dessins a guidé ce choix des AMB. « Leur regroupement est une manière de les valoriser et de constituer une mémoire sur le village, tout en rendant hommage à Michel Bouillot ».

Le livre, co-édité par MPF 71 et les AMB, réalisé avec l’appui technique de l’Académie de Mâcon, est sorti le 12 septembre 2015 avec présentation officielle salle de l’Amicale Intercommunale de Charly. Les 295 exemplaires tirés ont été aussitôt vendus.

Balade dans le bourg de Mazille sur les pas de Michel Bouillot

Dans la suite de la publication du livre, les AMB ont organisé à l’automne 2016 une visite guidée du bourg du village, sous la conduite de Josiane Gaubert. Les participants ainsi déambulé à la découverte des petites rues et leurs maisons typiques, du patrimoine vernaculaire cher à Michel Bouillot (murgers, cadoles, lavoirs, pigeonniers, croix…), sans oublier les sites clunisiens et les paysages.

VIDEO 2017 – « Fasse la main ce que le coeur sait »

Film vidéo, réalisé par Cluny TV, à l’occasion de l’exposition « Fasse la main ce que cœur sait », consacrée au travail de Michel Bouillot, installée en juin et juillet 2017 dans la salle Saint-Lazare de l’Hôtel-Dieu à Cluny :

Mazille et son patrimoine

L’église romane Saint-Blaise dans le vallon du Repentir (XIIème siècle, site clunisien), classée « Monument Historique » en 1913, et le Carmel de la Paix sur la colline de Chaumont (1971, selon les plans de l’architecte espagnol José-Luis Sert), classé « Patrimoine du XXème siècle ».

Le doyenné de Mazille, qui fournissait des céréales à l’abbaye de Cluny, a accueilli un synode en 1103, auquel ont assisté les évêques d’Autun, de Mâcon et de Belley, trois prélats anglais et le légat du pape.

  Deux gros domaines : Charly et Champrouge (dessins de Michel Bouillot)

Au pays des belles pierres dorées :

Chapaize Culture

Organisation de manifestations culturelles à Chapaize

Chapaize Culture
71460 CHAPAIZE
Marie Laure LANFRANCHI, présidente – 09 88 18 64 98
contact@chapaize-culture.fr
www.chapaize-culture.fr

Concerts, spectacles, expositions, éveil musical.

Chaque saison estivale, l’association CHAPAIZE CULTURE propose des événements culturels de qualité dans l’église Saint-Martin, ainsi qu’à l’auberge rurale ; des musiciens de renommée internationale viennent s’y produire ; d’autres artistes viennent s’y faire connaître.
L’association organise également des séances d’éveil musical pour les enfants de 3 à 12 ans, des expositions, spectacles et soirées à thème.


L’affiche 2017 reflète la diversité de la programmation durant 20 années de spectacles


Chœur de chambre, concert des élèves de piano


Concert de musique classique, concert de jazz

Chapaize, commune verdoyante aux mille paysages pittoresques,

avec ses hameaux au milieu d’une ruralité authentique, ce village de 160 habitants se préoccupe d’art et de culture artistique, mais pourquoi ? « Nous pensons que ces activités humaines, la musique, la peinture, les arts de la matière sont un rempart pour la protection de notre liberté, liberté de connaître, d’apprendre. »
Été comme hiver, Chapaize, qui compte deux églises romanes – Saint-Martin de Chapaize et Notre Dame de Lancharre -, trois restaurants, des artisans d’art, des boutiques et un marché bio dominical, est un village animé et accueillant.


Le clocher de l’église de Chapaize et l’église de Lancharre Douze piliers ronds de 4,80m de circonférence soutiennent la nef de Chapaize

Malgré un nombre important de visiteurs, le village a conservé son charme rural

Au XVIIIe siècle, Nicolas Genost de Laforest,

curé de la paroisse, était grand amateur de chasses et fut immortalisé par le marquis de Foudras dans son livre « Les gentilhommes chasseurs ». On rapporte que pour dix minutes de messe, il passait dix heures sur son cheval.


Mort d’une chute de cheval, en plein exercice de sa passion, ses chasses sont à l’origine d’un chant, « La d’Aubigny » dont voici le refrain :
« La d’Aubigny sonne en Chapaize
Ses plus fiers accords
Et l’on entend quand le vent s’apaise
Raire un vieux dix cors. »

Le Renouveau de Saint-Hippolyte

Sauvegarde et promotion de l’église et du site de Saint-Hippolyte.

LE RENOUVEAU DE SAINT-HIPPOLYTE
Mairie – 71460 BONNAY
Yves DEDIANNE, président – 03 85 87 70 84
renouveaush@orange.fr
www.saint-hippolyte-71.org
www.facebook.com/renouveaush

Chantiers de restauration REMPART, organisation de concerts et spectacles en plein air, conférences, visites guidées, fête annuelle.
Projet : participation à la restauration des toitures en lave du chevet.

Saint-Hippolyte est une église romane qui remonte à la fin du XIe siècle.  Jusqu’au début du XXIe siècle, l’église était la propriété de particuliers qui possédaient l’ensemble des bâtiments constituant le doyenné. En 2003, elle a été cédée pour 1 euro symbolique à la commune de Bonnay.
L’association, créée la même année, participe à la conservation du monument, favorise son ouverture au public et organise des animations sur le site; elle s’était fixé comme premier objectif de permettre un accès sécurisé du monument aux visiteurs, objectif atteint en 2008.
Puis en 2010, deux colonnes avec leurs chapiteaux ont été mis en place, afin de donner au visiteur une idée de l’espace occupé par le site.

Visite de la FAPPAH en avril 2012 –  Vue sur le chevet

Tous les ans depuis 2007, le site accueille des chantiers de bénévoles REMPART pour la sécurisation et la sauvegarde de l’édifice.

Certains chantiers nécessitent un échafaudage important


Chantiers REMPART de réfection du haut du mur nord (2015-2016)

L’association organise régulièrement des événements pour animer le site : projet pédagogique avec les écoles, conférences, concerts en plein air, spectacles, fêtes, visites guidées.

Une vente de tableaux, à l’occasion de la fête annuelle de 2014

Concert « Voca Mundi », spectacle équestre « Les Chevaux Célestes »

Les toitures du chœur, couvertes en laves,

sont en très mauvais état. Les fuites et l’humidité rongent les voûtes et les murs.

Propriétaire, la commune décidé d’entreprendre ces travaux. Le coût des travaux est partiellement financé par l’Etat et les collectivités. Malgré ces aides, il reste à la charge de la commune une somme importante qui dépasse les capacités budgétaires d’un petit village de 330 habitants. C’est pourquoi la commune, en partenariat avec la Fondation du Patrimoine lance une souscription publique : www.fondation-patrimoine.org/51488

Saint-Hippolyte, ou le témoin de la puissance de Cluny

L’ancienne église de Saint-Hippolyte présente un aspect particulièrement insolite :

Extrait de l’émission « Des racines et des ailes », commentée par Jean François Coulais

L’église romane d’origine est datée de la fin du XIe siècle. Elle a été fortifiée au XIIIe siècle : le clocher a été englobé dans un grand massif rectangulaire faisant office de donjon et des remparts ont été construits sur les bas-côtés.
C’était l’église prieurale d’un doyenné de l’abbaye de Cluny, c’est à dire une exploitation agricole, dirigée par quelques moines et chargée d’alimenter l’abbaye en céréales, vin, etc. Le doyenné s’étendait sur 3 paroisses, avait planté de la vigne sur le coteau voisin du Mont Rachet, possédait 7 moulins, un étang, produisait des céréales, du vin, du foin, du bois, élevait des veaux, des ânes, des porcs, des volailles et utilisait une trentaine de bœufs pour ses travaux.
Le toit de la nef s’est écroulé et l’église est partiellement ruinée depuis le XVe siècle, mais les parties subsistantes sont impressionnantes.

Au début du XXe, bien que classée Monument Historique en 1913,

l’église de Saint-Hippolyte, faisant partie d’une propriété agricole, était envahie par la végétation. En 1971, les tous premiers chantiers de bénévoles REMPART ont permis de la dégager de sa gangue.

La restauration du site a contribué à la création des chantiers REMPART en Bourgogne .

plus d’informations à la page : www.saint-hippolyte-71.org/les-chantiers-de-restauration/

Pour en savoir plus sur le village de Bonnay :

le Pays d’Art et d’Histoire entre Cluny et Tournus a édité un dépliant consacré à la commune de Bonnay, dans la collection « Laissez-vous conter les villages » :
www.pahclunytournus.fr/documents/portal651/laissez-vous-conter-bonnay.pdf

Préty Patrimoine de Pays

Développer toutes actions culturelles et artistiques permettant de promouvoir et dynamiser le patrimoine de Préty et des villages environnants.

PRÉTY PATRIMOINE DE PAYS
Mairie 71290 PRETY
Didier BADET, président – 03 85 32 10 88
nathalie.lartaux@orange.fr

Animations « patrimoine » à destination des adultes et des enfants, restauration du petit patrimoine, stage de vannerie, ouvrages artistiques.

Les activités de l’association

Créée en 2002, elle a été relancée par une quinzaine de sociétaires particulièrement motivés et a mis en place de nombreux programmes : animations patrimoine avec les enfants, intéresser les adultes à leur environnement, restaurations directes (puits, four à pain …), animations diverses.


Remontage du four à pain  :
Des bénévoles ont démonté et transféré un four à pain offert par la famille Bourgeois.

Organisations de conférences : « Hommages aux femmes résistantes de Préty », …

Expositions de cartes postales anciennes avant/après :

Stages de vannerie

 

Des stages de vannerie sont organisés régulièrement chaque année, depuis 2015.

 

Participation aux activité de la FAPPAH :

Organisation de la soirée « Au Gui l’An neuf » 2017, avec Lacrost Patrimoine

Le patrimoine de Préty

Un peu d’histoire :

Le nom de Préty – Presty, Pristiniacensis ager, Pristiacum – serait dérivé de celui du propriétaire d’une villa romaine : le village de Priscius. Une autre hypothèse est un dérivé du mot latin « pistor » (meunier, boulanger), car le territoire est particulièrement riche en meules de moulins et en fours.

Ce village était autrefois célèbre pour ses carrières de pierres roses qui furent utilisées dans la construction de nombreux bâtiments anciens de la région, notamment les tours de l’abbaye romane de Tournus, l’Hotel-Dieu de Louhans, …. Le centre du village est  intégralement construit de cette pierre : voir les « courts », maisons rurales de laboureurs, avec dépendances autour d’une cour carrée s’ouvrant sur les rues par un porche plein cintre. La carrière n’est pas totalement épuisée, son exploitation est réservée, de manière exceptionnelle, à la restauration de certains monuments historiques.

Au XVIe siècle, Préty subit les guerres de religion. Preuve des ravages : aucune maison actuelle ne porte de date antérieure à 1580.
En 1852, le hameau de Lacrost, situé sur les bords de Saône en vis-à-vis de Tournus devient une commune autonome.

Pour plus de détails sur l’histoire de Préty, consulter « L’Ancienne Paroisse de Préty en Mâconnais », de Gabriel Jeanton  et l’abbé Léon Ravenet. L’ancienne paroisse de Préty était constituée des localités de Lacrost, La Truchère, la Froidière et Préty ; cet ouvrage a été élaboré au sein de la Société des Amis des sciences et des arts de Tournus, dont faisaient partie les deux auteurs.
Il est disponible en ligne sur Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6558851b

Préty possède

Une église du XVe siècle construite sur l’emplacement d’une église détruite par les troupes de Maximilien d’Autriche.
Elle a pour particularité de disposer d’une clef de voûte représentant une composition relativement rare : Dieu le Père portant le Christ en croix (ou « trône de grâce »)  – cf « Le trône de grâce de Préty », article de Claus-Peter Haverkamp paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 152 de décembre 2007 )

Pour en savoir plus sur l’église de Préty :
http://www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/prety.pdf

Un platane monumental bicentenaire : planté en 1801 pour le Concordat, sur un tertre à l’emplacement d’un « orme de justice ». Classé Monument Historique en 1909, sa hauteur atteint  33,5 mètres

Un lavoir en forme de temple grec, construit en pierres de calcaire rose en 1838 par l’architecte Vaillant, place de La Montre.

Le lavoir a fait l’objet d’une importante restauration, notamment pour dégager les colonnes, comme en témoigne la  carte postale du début du siècle ci-contre.

– Trois manoirs, dont une magnifique propriété du XIXe siècle disposant de dépendances louées comme gîtes et chambres d’hôtes.

ASP St-Louis – Saint-Gengoux

Sauvegarde et restauration de toutes les églises et autres monuments religieux de la paroisse Saint-Louis (30 clochers)

ASP SAINT-LOUIS
La Cure 2 rue des Fossés – 71460 SAINT-GENGOUX-le-NATIONAL
Louis de CONTENSON, président
 louis.de-contenson@orange.fr

Objet de l’association :

– Sauvegarde et restauration de toutes les églises et autres monuments religieux de la paroisse Saint-Louis entre Grosne et Guye, dans le respect des associations existantes poursuivant localement le même objectif
– En concertation avec les autorités concernées, définir les priorités et conseiller en matière d’affectation des aides
– Recherche de subventions, dons et legs faire l’inventaire des objets d’art, de culte et du mobilier se trouvant à l’intérieur des édifices.

Pour connaître les églises de la paroisse : les églises de la paroisse Saint-Louis

Un ouvrage de 52 pages, concernant l’église de Saint-Gengoux-le-National, est disponible à la cure de Saint Gengoux,
au prix de 20 € :

Les amis des églises de Chapaize – Lancharre

Collecte des fonds pour la restauration des églises de CHAPAIZE et de LANCHARRE

LES AMIS DES ÉGLISES DE CHAPAIZE – LANCHARRE
71460 CHAPAIZE
Hubert de La Faverie du Ché, président – 03 85 50 10 09 hduche@wanadoo.fr
vice présidents : Pierre Jaricot – Bernard Delaval – 03 85 50 13 97
Yvonne Courson, secrétaire
eglise.lancharre.free.fr

Chantiers de restauration (vitraux), recherche de subventions et dons, organisation de concerts avec «Chapaize culture». Projet : aménagement intérieur de l’église de Lancharre.

L’association œuvre dans l’intérêt général. Elle contribue à la sauvegarde et à la transmission aux générations futures de bâtiments historiques dont l’accès est et restera libre et gratuit. Ce patrimoine universel, cultuel et culturel touche de nombreux visiteurs venus du monde entier.

La visite de l’église de Chapaize est estimée à 150 000 visiteurs par an, celle de Lancharre à 20 000. Ces restaurations ont une importance capitale pour la fréquentation touristique de longue durée et d’indéniables retombées économiques pour toute la région.

photo T. Roberjot, JSL

Les premiers travaux ont assuré la consolidation et l’assainissement nécessaires à la réalisation des futures tranches concernant l’aménagement intérieur :  restauration des toitures et murs du clocher, de la sacristie nord , restauration du mur nord, réfection des toitures de la nef, drainage, réfection des toitures des trois absides et leur maçonnerie.

Suite à l’accord des Monuments Historiques et grâce aux dons d’une souscription, 7 vitraux ont été remplacés depuis 2011.


l’artiste verrier Jean Marie Géron

Il reste désormais à aménager l’intérieur, reprendre les mortiers, restaurer les tons ocre, les faux appareillages, le mobilier liturgique et les trois vitraux restants…

Un ancien béguinage : les dames de Lancharre

L’église Notre-Dame de Lancharre date du XIe siècle et a été agrandie au XIIIe siècle.

Au XIe siècle, le prieuré de Lancharre est fondé par les sires de Brancion comme lieu de prière pour des jeunes filles nobles et pour des « dames », veuves de chevaliers ou de seigneurs.
De noble extraction, les dames de Lancharre ne faisaient pas de vœux perpétuels, vivaient de leurs revenus et pouvaient habiter un petit logement individuel dans l’enceinte monastique. Elles portaient une tenue simple, chapeau de feutre et voile, sans bijou.
Conduites par leur prieure et soumises à la seule direction spirituelle d’un prêtre nommé par l’abbé de Cluny, elles ne dépendaient d’aucune abbaye.
Au XIIIe siècle, trois prieurés étaient placés sous leur dépendance : Lachaux, Rabutin et le Puley.

En 1611, l’archi-prieure de Lancharre, Marie du Blé d’Uxelles, réforme le monastère en rétablissant l’observance de la Règle de Saint-Benoît. Le renouveau qu’elle insuffle est considéré comme une seconde fondation et le monastère est élevé au rang d’abbaye, à partir de Louis XIV. En 1615, les religieuses du prieuré du Puley sont transferées à Lancharre.

En 1626, l’abbaye de Lancharre est déplacée à Chalon-sur-Saône, puis devient abbaye royale sous Louis XIV.
L’abbaye sera supprimée à la Révolution.
source : www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Lancharre.pdf 

Des pierres tombales classées aux Monuments Historiques

Le transept de l’église était pavé avec des dalles tumulaires des anciennes prieures et des bienfaiteurs du monastère.
Les pierres tombales sont aujourd’hui levées et fixées au mur. Cinq ont été classées aux Monuments Historiques en 1899 :

  1 – Isabeau de Vauvry, morte en 1286 – 2- Geoffroy de Germolles, son mari, mort en 1297, sans doute frère de Marguerite de Germolles – 3 – Parelle de Saint Clément, mort en 1290, bienfaiteur du monastère – 4- Marguerite de Germolles, morte en 1302, prieure, surnommée la « grande abbesse » de Lancharre.

 

5 – Une double pierre tombale :

Fauquette de Nanton, morte en 1326, représentée avec un voile, un coussin pour sa tête et un chien à ses pieds, symbole de fidélité.

Son mari, en armure ; sa tombe est sans inscription, car il n’y repose pas. Leurs deux filles étaient religieuses à Lancharre.

 

Lancharre, un hameau de Chapaize

Le village de Chapaize se compose du Bourg, des 4 hameaux de Lancharre, Gemauge, Bessuge, Les Bidolets et du château d’Uxelles.

voir la page de Chapaize Culture

Sauvegarde et mise en valeur du prieuré du Puley

Sauvegarde et mise en valeur du prieuré

Sauvegarde et mise en valeur du prieuré du Puley
71460 Le Puley
Président : Jean PIROU [ jean.pirou71@gmail.com ]
Secrétaire :  Monique PIROU [monique.pirou1@laposte.net]

Chantiers de restauration REMPART, recherche de subventions, organisation de concerts et conférences.

L’association, créée en 1970, a pour objectif la sauvegarde, la mise en valeur et la restauration du prieuré du Puley,  dont la commune est propriétaire ; l’église priorale a été  classée monument historique en 1973. L’association conduit aussi des activités permettant l’animation du site.

Le prieuré du Puley a été fondé au début du XIIe siècle. Mais en 1877, le clocher de l’église s’est écroulé, entrainant l’effondrement de deux travées de la voûte, de la nef ainsi que de la majeure partie du bas côté au sud de l’édifice. En 1969, l’église était inaccessible, envahie par les pierres effondrées, mais sa façade ouest qui avait été préservée ainsi que le chœur, témoignait de l’intérêt architectural et patrimonial de l’édifice. L’association s’est alors attachée à dégager de ses ruines l’intérieur de l’édifice et à consolider les parties épargnées. Un immense travail a été conduit au travers de plusieurs années de chantiers REMPART. « Depuis sa fondation, le 10 mars 1970 (JO du 4 avril), l’association de Sauvegarde et de Mise en Valeur du Prieuré du Puley sauvegarde le bâtiment de l’église et ses abords, ainsi que les bâtiments du prieuré.

Vues de l’église en 1873 puis en 1969.

Visite des membres de la FAPPAH en 2015.

Chantier REMPART en 2013 pour combler les joints de pierre


Réfection du dallage par des chantiers REMPART de 2014 à 2016.

L’association valorise et anime également ce patrimoine remarquable en y organisant des manifestations culturelles (concerts, visites, etc..).


Concerts : « Les oiseaux de Passage », « La Ciaccona »

Histoire du prieuré

Le prieuré fut fondé probablement vers 1125, pour abriter une communauté de religieuses bénédictines. Quel fut son fondateur, dans quelles circonstances sa fondation fut-elle décidée, nul ne le sait. Ce sont probablement des seigneurs du Charolais, territoire dans lequel le Puley était enclavé, qui contribuèrent par leur largesse à son érection.

Au début du XVIIe siècle, la prieure du monastère, Marie du Blé, estima que les « maisons et bâtiments du prieuré étaient tellement ruinés qu’elle ne pouvait y faire sa résidence, ni les faire réédifier. » Répondant à cette requête, le 26 décembre 1615, l’évêque de Chalon supprima le prieuré du Puley et le réunit à celui de Lancharre, archi-prieuré dont dépendait le prieuré du Puley ainsi que d’autres prieurés affiliés comme Villard, Rabutin et La Chaux. Marie du Blé, prieure du Puley et ses sœurs vont décider d’abandonner définitivement le prieuré en 1615 pour se mettre sous la protection de Lancharre, devenue abbaye entre temps en 1611 et remettent l’édifice dédié à saint Christophe au curé qu’elles ont le privilège de toujours nommer.

Mais les Bénédictines ne se sentent pas plus en sécurité à Lancharre qu’au Puley, malgré les demandes de protections et d’interventions répétées auprès des baillis, du duc, et même du roi de France. Marie du Blé, devenue la première abbesse de l’ordre, décide, en 1626, de rechercher un lieu pouvant devenir couvent, dans la ville murée de Chalon-sur-Saône. Les Bénédictines quittèrent ainsi définitivement Lancharre en 1635, de la même manière qu’elles avaient quitté Le Puley en 1615, laissant à chaque fois des églises surdimensionnées et délabrées.

L’édifice du Puley subit ainsi une lente dégradation jusqu’à l’effondrement d’une partie de la nef, bien avant la chute définitive du clocher en 1877, comme cela se voit sur une vieille photographie antérieure à 1877. C’est ce que confirment les reprises maladroites de maçonnerie que l’on peut constater encore actuellement sur l’édifice.  La chute du clocher, surdimensionné, sur un édifice aux fondations ne dépassant pas quarante centimètres et sans contreforts, provoqua l’effondrement de deux travées de la voûte et de la nef ainsi que de la majeure partie du bas-côté au sud de l’édifice. C’est dans cet état de désolation que l’association trouva l’édifice, avec les premiers travaux de sauvegarde en 1969. Depuis, plus de trois cents jeunes bénévoles des Chantiers REMPART Bourgogne-France-Comté ont œuvré pour la sauvegarde d’un des fleurons de l’architecture religieuse du XIIe siècle en Bourgogne du sud. C’était là le premier chantier de Rempart Bourgogne qui du Puley essaima dans 125 autres chantiers de sauvegarde pour la Bourgogne.

PROMENADE DANS NOTRE VILLAGE

Maison des XVIIe-XVIIIe siècles : la double galerie du 3e niveau est protégée sous un auvent ; celle du niveau inférieur est de type mâconnais.

Deux témoignages du travail des tailleurs de pierre. Les carrières existent depuis très longtemps  au Puley et ont fait la renommée du village.

Oratoire d’époque Renaissance.                                 Colombier

Pour en savoir plus sur le prieuré et le patrimoine du village :

– sur le site des Archives départementales de Saône-et-Loire, archives en ligne : https://www.archives71.fr

– La pastorale du Tourisme a édité une fiche présentant quelques aspects touristiques et historiques de l’église : www.pastourisme71.com/fiches_eglises_a_imprimer/Fiche_sur_le_Puley.pdf

– Henri Batault : Notice historique sur l’abbaye des Bénédictines de Lancharre et le Prieuré du Puley. Consultable sur Gallica :  https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k213869d/f20.image

– Bulletin Annuel 2018 de la SEHN : La saga des Dames de Lancharre, Jean Pirou.

– Revue Images de Saône-et-Loire, n° 10, juin 1971 ; n° 11, octobre 1971 ; n° 67, automne 1986 ; n° 69, printemps 1987 ; n° 73, printemps 1988 ; n° 93, printemps 1993 ; n° 148, décembre 2006 ; n° 162, juin 2010 ; n° 163, septembre 2010 ; n° 168, décembre 2011. Articles consultables sur le site des Archives Départementales.

Laives Patrimoine

Promouvoir et restaurer le patrimoine communal

Laives Patrimoine – Mairie 71240 LAIVES
Roger Picat président
Françoise Dubois, secrétaire
contact@laivespatrimoine.com
www.laivespatrimoine.com
Facebook Laives-Patrimoine

Restauration des fontaines, des lavoirs, du colombier, des chapelle de Lenoux et de Saint-Bonet, couverture du colombier de Sermaisey, réfection du puits de la mairie et de la croix Fricaud ; brocantes, concerts, exposition photos, accueil de camps de scouts, participation aux manifestations de la commune.

Laives Patrimoine, c’est :

1. Le regroupement de diverses personnes du village pour créer en 1996 une association.

Elle a pour but de mettre en valeur, réhabiliter et promouvoir le petit patrimoine vernaculaire, ou celui plus important des églises et chapelles, classé ou inscrit aux monuments historiques.
Les actions s’appliquent aussi au patrimoine écrit, oral, privé, pictural, végétal…

2. Depuis 20 ans, les réhabilitations du bâti ont porté sur :

  • La rénovation des 4 fontaines du 19ème siècle, et celle qui orne la place du centre.
  • Le lavoir de Sermaisey.
  • La chapelle « Saint Bonet ».
  • Le colombier de Sermaisey et la croix Fricaud.
  • L’ intérieur de l’église du bourg.
  • Les auges, les puits et abreuvoirs.
  • La restauration complète de la chapelle de Lenoux dénommée « Notre Dame de Comfort ». Pour cette opération, la commune et l’association ont obtenu en 2013, le premier prix régional de restauration du patrimoine.

3. Environ 80 bénévoles,

Chacun apportant ses bras, ses connaissances et ses compétences en tout genre.

4. La trésorerie

est alimentée essentiellement par les cotisations, les dons déductibles fiscalement et les recettes de diverses manifestations, dont les 2 brocantes annuelles.

5. Des publications :

« La chapelle de Lenoux », les « Guillardises », « Laives et ses lieux-dits ».

6. Deux expositions :

« Les lieux-dits et les anciens cadastres » et « Eva, Florent, Grégoire, Félix et le devoir de mémoire ».

7. L’accueil des groupes de visiteurs (village et monuments).

Les projets à venir sont encore nombreux !

Quelques unes de réalisations de l’association :

Petits travaux de nettoyage – Couverture du colombier

Le colombier

Les bénévoles de la brocante annuelle

Brocante, exposition 14-18

La restauration de la Croix Fricaud

La réfection du puits de la mairie (bâtiment du XVIIIe)

Restauration de la chapelle Lenoux

Visite de la chapelle Lenoux à l’occasion des Journées du Patrimoine

Le village de Laives :

« Outre deux églises et deux chapelles, le village possède un important patrimoine architectural bâti, lié à la pierre et à l’eau.
LAIVES se situe sur un site gallo romain. Le village est constitué du regroupement de plusieurs hameaux, jusqu’à la mi-pente de la colline de Saint Martin. Ils ont donné les noms de différents quartiers : Semaisey, Lenoux, le pâquier, la ruée et Laives.
La plupart des maisons anciennes sont construites avec la pierre de Laives extraite de nombreuses carrières ouvertes sur son territoire. L’activité de tailleurs de pierres s’est prolongée jusqu’au début du XXe siècle, et nombreuses sont les réalisations publiques ou privées que l’on peut voir au fil des rues.
L’eau est très présente, de nombreuses sources alimentent les lavoirs, les fontaines, les abreuvoirs et les puits que l’on peut découvrir dans le village. D’anciens moulins, et la base de loisirs des Lacs, complètent ces richesses territoriales.
Le patrimoine religieux est abondant, la proximité de l’ancienne abbaye cistercienne de La Ferté y a contribué en partie.
Au fil des quartiers et des rues, le visiteur peut découvrir : les églises, les chapelles, les croix, le bas relief de Sermaisey, la porte de la Donne, une tête de moine sculptée, les anciennes pierres tombales du cimetière de Saint Martin du Mont. »

L’église néo-classique Saint-Martin du Bourg et l’église romane Saint-Martin du Mont


La chapelle Lenoux et la chapelle de Saint-Bonet

Le colombier de Sermesey, sa charpente

Le porche des Antonins, une fontaine

Le lavoir et l’abreuvoir de la rue des Fontaines, le lavoir de Sermesey

Le lavoir Variot de la rue des Fontaines